Poète Vos Papiers

Le Déserteur de Boris Vian : Introduction : *Boris Vian est un écrivain français emblématique du XXème siècle (1920-1959). Il est un poète engagé qui a écrit sous de nombreux pseudonymes, dont le plus connu, Vernon Sullivan. Ses œuvres les plus renommées sont : J’irai cracher sur vos tombes, 1946 ; L’Écume des jours, 1946 ; L’Herbe Rouge, 1949. *Il s’agit d’un texte emblématique de la poésie engagée ayant pour titre le Déserteur. C’est un chant de protestation composé de 12 quatrains de

lecture du journal ( v. 21) ne différent guère de celles possibles pour un homme sur la terre ferme. Ainsi, les voyageurs peuvent retrouver leurs repères habituels, même dans un lieu différent ; ils peuvent jouer la même vie que sur terre. b) Mais le poète montre aussi que ce lieu n'est qu'un décor de théâtre : tout veut ressembler à la terre, mais tout est faux. Au vers 14, le verbe « feindre » et le terme « air » en révèlent le caractère factice : la solidité n'est qu'apparence (v. 16). La « cheminée

premier conflit mondial fait douter de toutes les valeurs. Son chef de file est Tristan Tzara. L’écriture poétique se fait au hasard du regroupement des mots, les caractères typographiques sont mélangés, on crée des tableaux avec des collages de papiers et de matériaux divers. Les mots clés sont invention et liberté. Ce qui compte est d’aller au-delà des limites du raisonnable. Le Dadaïsme opte pour l’incohérence et la provocation, tant en peinture qu’en littérature. Il exprime la violence et

Adjudication:70 € Bouches et Grilles, 1986 Galerie Maeght Lelong, Paris ; 73,8 x 49,1 cm Aquarelle avec estampage à l'encre de Chine reproduite en offset, imprimerie Moderne du Lion, Paris Gille de la mémoire ou Androgylle de Binche, 1970, encre sur papier marouflé sur toile, remarques marginales à l'acrylique, 150 x 255 cm. Bruxelles. New Delhi Surplombée, 1981-1982 encre sur carte de navigation aérienne marouflée sur toile, prédelle à l'acrylique, 130 x 146 cm Sous-Scellé, 1978 aquarelle sur pli

Conclusion INTRODUCTION « Dada n'est rien, n'a jamais eu la prétention à être quelque chose, Dada n'est rien et n'est quelque chose que dans la mesure où on n'y comprend vraiment rien, c'est comme ça qu'il faut envisager Dada », Paul Neuhuys, poète belge dada. Dada est le reflet du non-sens qui induit l’incompréhension et le rend ainsi difficile à définir. Il s'agit d'un mouvement intellectuel, littéraire et artistique, qui bouleversa l'ordre établi et les conventions, afin de tout repenser

mais il est plus précis dans sa découpe des cubes de couleurs, qui semblent avoir été fabriqués par une machine"3. L'usage général du terme « cubisme » date de 1911, principalement en référence à Metzinger, Gleizes, Delaunay et Léger4. En 1911, le poète et critique Guillaume Apollinaire a accepté le terme au nom d'un groupe d'artistes invités à exposer au Indépendants de Bruxelles. L'année suivante, en préparation du Salon de la Section d'Or, Metzinger et Gleizes écrit et publié Du "Cubisme"5 dans

 et   Idéal"   c)  Date  de  publication  :  1857  (XIXième  siècle)   d)  NOM  et  prénom  de  l'auteur  :  BAUDELAIRE  Charles     e)  Informations  :  ce  grand  poète  s'interroge,  dans  ses  poèmes,  sur  la  condition  de   l'homme,  tiraillé  entre  le  Bien  et  le  Mal,  partagé  entre  l'Idéal  et  le  Spleen  (la   mélancolie)  et

car il la transforme en nom propre. Le poète s’entend bien avec « sa » souffrance, et détient avec elle, une relation presque complice. Ce poème évolue dans un cadre urbain, sans doute même Parisien, à la tombée de la nuit. Quelques sentiments, se font remarquer assez vite, tel que les remords, les regrets, qui pour simplifier font référence à la nostalgie. Un autre poème que j’introduis dans ce dossier s’intitule « Causerie »,dans celui-ci le cœur du poète est un dépouille dévoré par les bêtes après

matériel et moral La boue comme élément matériel : • en lien avec l’état d’esprit du poète (paysage état d’âme) : lire le poème CI « Brumes et pluies » (p.160) : « Ô fins d’automne, hivers, printemps trempés de boue, / Endormeuses saisons ! Je vous aime et vous loue / D’envelopper ainsi mon coeur et mon cerveau / D’un linceul vaporeux et d’un vague tombeau » : adéquation entre le décor et l’état d’esprit du poète en proie au spleen. • « Ici la boue est faite de nos pleurs » (poème LXII « Moesta

courbe comme un ventre / La rosée brûle de fleurir.» Mais Éluard ne tient pas compte du couple qui se tient à l'ombre de l'arbre ou encore du bateau qui s'avance vers les deux personnages dessinés par Man Ray… Nous aurions donc tort de considérer le poète comme un simple illustrateur, traduisant « mot pour mot » le dessin de son ami – ce qui semble par ailleurs impossible. 3) Traduttore traditore Pour paraphraser une célèbre formule, traduire l'image revient peut-être à la trahir. Mais cette distance