Poésie Onirique

presque documentaire, la Corée du Sud de l’aprèsguerre. Ces films parfois gore et malsains où l’humour noir y trouve toujours sa place, critiquent une société en pleine mutation et en quête d’identité.2 Mixant les astuces du cinéma américain et la poésie du cinéma asiatique, Park Chan-Wook prône la mixité des genres allant du thriller au drame psychologique en passant par le film fantastique et ce, dans un seul et même film. C’est d’ailleurs avec la réalisation de son premier film américain, Stoker

ingénieur, trompettiste et critique de jazz, parolier et compositeur, Boris vian fut une figure du Saint-Germain-des-Prés de l’après-guerre. Ses poèmes, ses romans et ses pièces de théâtre sont d’une grande inventivité verbale, mélange jubilatoire de poésie, d’humour dérisoire et de mélancolie. Il a souvent publié sous le nom de Vernon Sullivan, et pris d'autres pseudonymes comme Bison Ravi, Baron Visi ou Brisavion (anagrammes de son nom)... Boris Vian est né en 1920 à Ville-d'Avray (Seine-et-Oise,

extrait d'Alcools (1913) (Commentaire composé)   Introduction   Guillaume Apollinaire (1880-1918) est initialement marqué par le symbolisme. Intéressé par tous les mouvements artistiques d'avant-garde, il deviendra l'un des précurseurs de l'art et de la poésie modernes. En 1901, Apollinaire est précepteur en Allemagne. Il voyage à travers ce pays. A cette époque, il est déjà fasciné par les légendes et la terre allemande, ce qui lui permet « d'enraciner », de donner une localisation à ces légendes (description

symbolise le mieux l'appel à l'union. Le titre que le poète a choisi pour ses poésies montre qu’Engelbert Mveng voudrait célébrer un rassemblement joyeux et vivifiant, et que par conséquent il a besoin d'autres êtres pour réaliser un tel projet. Le seuil devient à cet effet un symbole poétique emblématique en ce qu’il condense cette traversée. Comme l’arbre ou la mer chez Glissant, le seuil figure pour Engelbert Mveng un trajet onirique, fantasmatique, imaginaire et scriptural par quoi la sphère de l’intériorité

parce qu’il contenait le terme « Sisyphe » et nous avons décidé de le prendre dans nos œuvres littéraires parce qu’il n’y en a pas beaucoup traitant de Sisyphe de telle sorte. La difficulté de lecture pour quelqu’un de non initié à ce genre de poésie (ou à la poésie dans son ensemble) rend la compréhension quelque peu ardue et l’analyse encore plus complexe. Fiche de lecture (ouvrage critique) *Nom/Prénom de l’auteur : Camus Albert (1913-1960) *Référence bibliographique complète : Date

poétique. Lieu de proclamation de la parole => insiste sur cette oralité. La parole peut aller jusqu’à la psalmodie qui à certain moment confine (= se rapproche de) le chant. Accointance avec la poésie. Ce mouvement symboliste se développe dans tous les arts => en peinture (Nabis) mais surtout en poésie avec Verlaine et Mallarmé. Verlaine veut réintroduire le lyrisme ; Mallarmé apporte un grand travaille sur le signifiant. Mallarmé s’intéresse beaucoup au théâtre symboliste. Le théâtre est sous

(19ème siècle) influence des sciences reproduire réalité objective renforce caractère réalisme Symbolisme (19ème siècle) prolongement poésie Baudelaire contre naturalisme suggérer plutôt que nommer, décrire, raconter vers impairs, musicalité Rimbaud / Verlaine Parnasse (19ème siècle) Surréalisme (20ème siècle) Absurde (20ème siècle) Nouveau roman (20ème siècle) LA POESIE sensations, sentiments face au poème  signification littérale  sens connotatif (pourquoi ce mot ?) thème (figures de styles utilisées

solitaire, narcissique+ adepte du lyrisme + aiment faire part de leur drame personnel (leurs amours, leurs émotions, leur intimité). Ils renouent avec la religion donc remettent en question les philosophes (leurs théories). Innovations = libéré la poésie, ouvert des horizons, apporté une nouvelle façon de voir le monde, de rêver, d’aimer. L’écriture = thérapeutique. Écriture autobiographique. Ils sont en quête d’originalité et puisent la substance de leurs textes dans leur histoire personnelle ou

des nombreuses anthologies de la poésie russe parues en France depuis 1945 (et dont aucune n'a réussi à s'imposer). Préfaçant en 1947 l'anthologie de Raïs et Robert2 , l'écrivain catholique Stanislas Fumet écrivait : Jusqu'à ce que nous sachions le russe, nous devrons, hélas ! renoncer à entendre la cadence des vers dont ceux qui lui prêtent une oreille intelligente affirment qu'elle est sans égale au monde. Les traductions ne rendent que la couleur de la poésie russe ; très peu sa ligne, à peu près

comprend pas la démarche, la forme associant dessin/ poème dans la démarche de création est encore novatrice Cf réactions des contemporains qui : publient les poèmes sans le dessin (Eluard considère que sans eux, les poèmes semblent….) + apprécient la poésie éluardienne mais se montrent déçus des dessins jugés inférieurs aux photographies 2. Esthétique du dépouillement  dessins tiennent le plus souvent de l’esquisse « Avignon » le visage féminin aux yeux clos qui plane au-dessus de ce qui pourrait être