Poésie Oratoire

GENRES LITTERAIRES   -         Le roman : Roman d’amour, policier … -         Le Théâtre : Comédie, tragédie, drame, tragi-comédie -         La poésie : Envers réguliers, en prose. -         L’apologue : La fable, la parabole, le conte… -         La nouvelle : Fantastique, réaliste… -         L’essai : Philosophique, politique, scientifique, historique… -         Le biographique : Autobiographie, biographie, mémoires, journaux intimes. -         L’épistolaire : Romans

QUEL RÔLE LA LITTERATURE PEUT AVOIR DANS LE DEBAT DES IDEES ? La littérature possède de nombreuses formes, telles que le roman, le théâtre, la poésie, le dialogue argumentatif, le conte…La littérature peut-elle faire changer les idées ? A-t-elle des limites ? Permet-elle une évolution des idées ? Nous allons dans une première partie voir que la littérature peut faire changer les idées et dans une seconde partie qu’elle a cependant des limites. La littérature sous ses diverses formes permet

ou moins longue de termes Rien n’était si beau, si leste, si brillant, si bien ordonné que les deux armées. Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, le canons formaient une harmonie telle qu’il n’y en eut jamais en enfer. Question oratoire / rhétorique Affirmation déguisée sous la forme d’une question Ne suis-je pas adorable ? D’opposition : Antithèse Opposition très forte entre deux termes. Qui aime bien châtie bien. Ici c’était le paradis, ailleurs l’enfer. Oxymore Deux

premières années du XVIIè siècle, poètes tragiques et tragédies se multiplient. Parmi les successeurs de Jodelle, il y a deux remarquables poètes: Robert Garnier et Antoine de Montchrétien. Garnier abonde en rhétorique vigoureuse avec des phrases oratoires d'une réelle ampleur, exercé au dialogue pressé, où les répliques se choquent, courtes et vives, vers contre vers. Quant à Montchrétien, il y a dans son Écossaise des couplets d'une sensibilité pénétrante et dans certains de ses chœurs les strophes

alchimistes n'a pas été reprise par La Fontaine. Extrait du document C'est une des rares fables qui présente un personnage féminin. Construction subtile car vivacité du récit sur 29 vers et ensuite une méditation qui correspond à la morale où la poésie se laisse aller à la confidence. Idée directrice : Ne pas se laisser emporter par le rêve et gérer la situation présente. I. Les péripéties du récit   A°) Jeunes femme très agile au corps en mouvement cadre la narration (vers 1 à 6). Perette est

Jean » (1887) Lecture cursive : La Bête humaine, Zola Manuel scolaire rouge, pp.93-108 Séquence 3 Genres et formes de l’argumentation : XVIIe et XVIIIe siècles -méthodologiques : maîtriser les formes d’argumentation, l’art oratoire, les genres de l’éloquence, les règles d’élaboration du discours -culturels : contextes historique et littéraire des XVIIè et XVIIIè siècles -littéraires : auteurs et œuvres représentatifs des XVIIè et XVIIIè siècles, connaissance des genres

particulièrement dans le domaine de la poésie (avec Lamartine, Vigny,Musset, Hugo, Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé…) comme dans le domaine du roman (avec Stendhal, Balzac, Dumas, Hugo, Flaubert, Zola, Maupassant, Verne…) et dans une moindre mesure au théâtre avec le drame romantique et ses épigones (avec Musset, Hugo, Edmond Rostand…). Siècle très riche aux œuvres encore proches de nous, le xixe siècle reste pour la littérature française un âge d'or de la poésie et du roman, avec de très nombreux

LE LYRISME : corrigé LECTURE RAPIDE DU CORPUS Textes connus, souvent étudiés – tableau très connu Un genre : la poésie et deux formes : le sonnet ( Ronsard, Baudelaire ) et l’ode ( Aragon : quatorze quintils de quatre alexandrins et d’un octosyllabe au quatrième vers ), un thème : l’amour et un topos : la célébration de la femme par la promesse de l’immortalité poétique Un registre : le lyrisme et une longue tradition du XVIeme siècle au XXeme siècles. La musique est divine :

LE LYRISME : corrigé LECTURE RAPIDE DU CORPUS • Textes connus, souvent étudiés – tableau très connu • Un genre : la poésie et deux formes : le sonnet ( Ronsard, Baudelaire ) et l’ode ( Aragon : quatorze quintils de quatre alexandrins et d’un octosyllabe au quatrième vers ), un thème : l’amour et un topos : la célébration de la femme par la promesse de l’immortalité poétique • Un registre : le lyrisme et une longue tradition du XVIeme siècle au XXeme siècles. La

apartés au début. Il emploi le juron « morbleu » 2 fois. Prononce deux interrogations rhétoriques et il emploi « vil complaisant » (qui signifie lèche bottes). Il faut penser ici aux intentions de Molière. Il connaissait parfaitement cet usage de la poésie mondaine, précieuse et qu’il a critiqué bien des fois. Comme dans « Les précieuses ridicules » 1672. « Les femmes savantes » 1659. Molière critique à chaque fois les excès du langage, le manque de naturel, et à la fin de la scène, il met dans