Précipitations

propriété de se condenser tout en se déplaçant vers des altitudes élevées.. Ces nuages ne donnent pas de précipitations, car ils se situent très haut en altitude, où il fait souvent beaucoup trop froid. Ils se composent de cristaux de glace qui fondent et s’évaporent sous l’effet de la force de gravité, avant de toucher le sol. Lors d’un front chaud on a alors de la bruine, des petites précipitations pas bien méchantes, du crachin, de la petite pluie. Lorsque la perturbation est passée, des éclaircies

au transfert quantitatif entre les différents réservoirs. C. La répartition de l'eau douce utilisable par l'homme. 1) L'eau de surface. La quantité d'eau accéssible dans une région donné dépend de la différence entre les apports (précipitations) et les pertes (évaporation, utilisation d'eau ..). Ceci constitu le bilan hydrique. Ce bilan hydrique peut être négatif si les apports sont inférieurs aux pertes et positif si les apports sont supérieurs aux pertes. On peut donc dire que l'eau

cycle de l’eau : - (beaucoup plus riche) dans l’eau de mer s’évapore facilement par rapport à nuages très riches en . - (plus lourd) sera préférentiellement entraîné lors des précipitations (condensation), les nuages s’approchant des pôles seront donc de plus en plus pauvres en. Plus climat froid plus de précipitation plus l’ retourne dans la mer plus glaces qui se forment ont un rapport / faible : il y a stockage de l’ dans les glaces. Quand le climat se réchauffe glaces fondent et

qu’elle contient. Elle se soude en une masse compacte et se transforme en glace. On distingue 3 zones dans un glacier de montagne : • la zone d’accumulation, qui représente 60 à 70 % de la superfi cie du glacier : c’est la partie où les précipitations de neige se transforment en glace ; • la zone d’écoulement de la glace aussi appelée zone de transport : c’est la partie du glacier où la fonte reste limitée et où le glacier est le plus épais ; • la zone de fonte ou zone d’ablation : c’est

I- Présentation Le cycle de l’eau est un circuit naturel. Suite au réchauffement du soleil, l’eau qui se trouve à la surface va monter dans l’atmosphère et refroidir puis se condenser pour ensuite donner des précipitations sous forme de pluie, de neige… On peut voir sur le schéma ci-dessus que l’eau s’infiltre dans les nappes phréatiques. Une nappe phréatique est constituée d’eaux souterraines à faible profondeur. Le niveau d’eau de celle-ci baisse ou augmente selon les saisons.

phénomènes météorologiques et climatiques. Les précipitations sont réparties de façon inégale à la surface de la terre : on parle de répartition hétérogène. Il y a 2 conséquences au niveau de l’évaporation c'est à dire au passage de l’état liquide à l’état gazeux: * l’évaporation brute : c’est le rapport entre l’évaporation et les précipitations. Si il y a plus d’évaporation que de précipitation le bilan et négatif et si il y a plus de précipitations que d’évaporation alors le bilan est positif

Montpellier de grandes précipitations se sont abattues durant la journée sur la 8ème ville de France. Quels sont les causes et les conséquences de la catastrophe ? Dans la 1ère partie nous étudierons le phénomène naturel qui est à l'origine de la catastrophe. Dans la 2ème partie, les conséquences humaines et matérielles. Dans la 3ème partie, la gestion de la catastrophe. Tout d'abord, le phénomène naturel à l'origine de la catastrophe est constitué des précipitations extrêmement fortes et

forgés au XIX eme siecle. Leur classification doit beaucoup aux progrès de la photographie qui a permis l'élaboration d'atlas valables en tout endroit du monde. Il est souvent accompagné par un ensemble de phénomènes violents : rafales de vent, précipitations intenses ( parfois de grêle ), et quelquefois vents rabattants, trombe ou tornade. Les orages se forment lorsque l'atmosphère est instable. L'air doit alors être chaud en surface et froid en altitude. L'orage est généralement un phénomène de

le cycle de l’eau normal. L’eau va s’évaporer et se condenser en nuages ce qui cause des précipitations. Mais, à cause du changement climatique, ce cycle est perturbé. Les glaces fond à une vitesse rapide ce qui veut dire qu’il y a plus d’eau qui s’évapore. Cela cause des plus grand nombres de précipitations (pluies et neiges), principalement sur les terres8. Mais à cause des climats chauds, les précipitations sont des pluies la plupart du temps plutôt que de la neige. Par conséquence, le niveau de

réfléchissent sur des gouttes de pluie et cristaux de glace. Selon ce que traverse l’onde, elle renverra un signe au radar, qui donnera des chiffres que les météorologues analyseront. Il indique également la quantité, le taux de précipitations, la vitesse de ces précipitations, la variation des vents, les fronts de rafale et la rotation des masses d’air qui sont propices au tornades. Mais ces informations sont détectées si et seulement si l’orage étudié est dans la zone couverte par le radar (soit