Précipitations

souterraines = 0,7% => stocks varient dans le temps. Les mécanismes de transfert cycle de l’eau. Précipitations : apports en eau sous forme liquide (pluie) ou solide (neige, grêle) en provenance de la condensation de la vapeur d’eau atmosphérique (atmosphère vers océans et continents). Fortes à l’équateur et diminution vers les pôles. Interception : fraction des précipitations qui n’atteint pas le sol. Evaporation : passage de l’état liquide à l’état gazeux (vapeur d’eau). Lié au soleil

gaz et acides dissous. Ex : le CO² accélère la dissolution des roches (Pb des monuments historiques en villes) Ainsi, la dissolution des roches reste inégale à la surface de la Terre selon la latitude. La combinaison de la température et des précipitations engendre une altération plus intense et plus profonde à proximité de l'équateur. . Les autres processus chimiques induisent une destruction irréversible des minéraux des roches. Les agents principaux sont l'eau, la chaleur

caractéristiques générales. Cette période permet également d’intégrer la variabilité du climat. Les statistiques sont appliquées principalement aux températures et aux précipitations mais peuvent l’être aussi à l’ensoleillement. L’une des plus célèbres classifications est la classification de Koppen et Geiger basée sur les valeurs de précipitations moyennes annuelles ou mensuelles et de températures moyennes mensuelles. Elle divise le monde suivant 6 régions climatiques, elles-mêmes subdivisées en 24 sous-catégories

concentration de la période de pluies et de forts orages et tempêtes entre mai et novembre mais spécialement à partir d'août quand la mer est parvenue à des températures superficielles élevées (souvent plus de 25 °C). Certaines intensités horaires de précipitation à Barcelone (plus de 10 mm par minute) rappellent les climats de type chinois, et rapprochent le climat de celui du sud-est de la France qui enregistre des épisodes d'orage cévenol. Le vent d'est bute contre les reliefs littoraux et renforce la

inlandsis (calottes glaciaires des régions polaires) qui ne sont pas exploités. L'accès à l'eau dépend du cycle de l'eau et de la répartition des précipitations, très inégale selon les climats. ■Les zones arides et semi-arides du nord et du sud de l'Afrique (Sahara, Kalahari), d'Asie centrale (désert de Gobi) et de l'ouest des Amériques ont des précipitations faibles et souffrent de stress hydrique (disponibilité en eau inférieure à 1 700 m 3 par an et par habitant). ■En revanche les régions tempérées

C’est dans régime climatique de type Cs que l’on retrouve d’ailleurs la capitale du Chili, Santiago. Puis, au Sud du Chili, on retrouve un climat de toundra, soit un climat ET. On remarque d’ailleurs que plus on va vers le Sud du Chili, plus les précipitations sont accrues. Tous ces types de climat étaient situés plutôt à l’Ouest du Chili, car à l’est de ce pays, il y a la Cordillère des Andes, qui s’étale tout au long du pays avec son climat plutôt particulier. En effet, cette chaîne de montagne abrite

l’Australie et du Moyen-Orient qui couvrent 31% des terres émergées de la planète. Le bilan hydrique annuel de ces contrées est négatif car l’évaporation y est très forte et les précipitations exceptionnelles. D’autres régions encore ont des bilans négatifs, notamment au centre du continent eurasiatique où les précipitations sont faibles en hiver et l’évaporation forte en été. Toutes les autres régions du globe ont des bilans annuels positifs, même si les rythmes saisonniers sont très différents de

des pluies d’est en ouest sur les régions de basse altitude au vent de l’alizé. L’effet orographique dès que l’altitude dépasse 200 mètres L’ascendance de l’air humide provoque la condensation de la vapeur d’eau, et une augmentation des précipitations avec l’altitude environ 20 fois plus importante, sur une distance équivalente, que par effet de continentalité seul Les vents en altitude peuvent bloquer les mouvements verticaux en saison de carême ou saison sèche (janvier à juin) ou, au

Les intérêts d’un abri météorologique sont que lors de la mesure de la température et de l’humidité, les capteurs doivent être protégés des rayonnements solaires qui entraînent les variations de température. De plus cela protège les capteurs des précipitations. L’abri météorologique a donc été inventé pour répondre aux conditions nécessaires à un bon fonctionnement des capteurs, il doit donc avoir certaines caractéristiques comme avoir une bonne ventilation pour que l’air à l’intérieur soit identique

conditions expérimentales. Pour obtenir les meilleurs résultats, 0.25 v de chloroforme et 0.15 v d’éthanol sont ajoutés à l’hémolysat. Le mélange est agité pendant 30 minutes puis centrifugé. Le surnageant jaune pâle est récupéré. DIAPOSITIVE 11 : Précipitation aux sels Il s’agit d’une compétition d’hydratation entre les sels et les protéines. L’exclusion, par addition de sels, des molécules d’eau de la couche d’hydratation entraine la formation d’agrégats protéiques. Le surnageant aqueux est mis à