Prédateur

pas de le protéger des redoutables prédateurs comme le chien ou le cochon sauvage, introduits sur l'île par l'homme. Selon les portugais, Les dodos ont commencés à disparaitre à l’arrivée des hollandais et des portugais sur l’île, car ils appréciaient leur chair, et en furent leur repas. Autre cause de l'extermination du Dodo, son nid construit à même le sol, en pyramide avec des feuilles de palmier, ne permettait pas de le protéger des redoutables prédateurs comme le chien ou le cochon sauvage

Elle repose sur trois principes: le principe de variation : au sein d'une population, certains caractères doivent présenter des variations. le principe d'adaptation : -La première possibilité est, par exemple, qu'en échappant mieux aux prédateurs, en étant moins malades, en accédant plus facilement à la nourriture, ces individus atteignent plus facilement l'âge adulte, pour être apte à la reproduction. Ceux qui ont une meilleure capacité de survie pourront donc se reproduire davantage.

essentiellement de graines, racines, fruits, baies mais aussi de feuilles, d'écorces, d'herbes... Il peut également faire des provisions dans son terrier.On trouve aussi dans son alimentation, des lombrics ou des insectes. Prédateurs : Le campagnols à de nombreux prédateurs comme les rapaces, les félins... Mais son taux de reproduction est élevé donc compense une bonne parties des pertes. Reproduction : La maturité sexuelle est atteinte au bout de deux mois, c'est alors que les mâles et les

plus que 40 000 cervidés en 1927. Puis la baisse continue, pour n’atteindre qu’un nombre très minime de cervidés après 1935. Analyse du graphique : La forte augmentation durant les vingt premières années est due à l’extermination par l’homme des prédateurs (pumas, coyotes etc…) des cervidés, qui sont alors moins la proie de ces derniers. Les cervidés sont essentiellement herbivores et ses nourrissent de végétaux. Suite à la forte augmentation du nombre de cervidés, cela entraine une baisse de la

être vivant, végétal ou animal, est adapté à son habitat par ses caractéristiques psychologiques, ses habitudes/son comportement et sa morphologie (couleur, forme, taille,...) La couleur peut donner à une espèce la capacité de se cacher de ses prédateurs. Il y a beaucoup de tribus indigènes dans la forêt tropicale. La matière première qui leur permet de fabriquer leurs sarbacanes, leurs lances et leurs flêches est disponible partout, à porté de la main. La forêt leur procure également les matériaux

(milieu du néolithique soit 15.000 ans avant notre ère !) par plaisir uniquement. De tout temps, des hommes et des femmes ont ressenti ce besoin de renouer avec le lien ancestral qui les relie à la nature. Redevenir prédateur comme à l’origine, mais progrès social aidant, un prédateur conscient, mesuré, raisonnable. Retrouver les émotions vraies du contact originel avec la nature, dans ce qu’elle peut avoir d’immuable, de sauvage, de violent parfois. Affronter le froid, l’humidité, la fatigue, la

vie, résultat de l'évolution : l'exemple de la vie fixée chez les plantes À la différence des anim aux , qui dans la m ajorité des cas sont m obiles dans leur env ironnem ent, peuv ent aller chercher leur alim entation, tenter d'échapper à leur prédateur, se prém unir contre les agressions de l'env ironnem ent par div erses stratégies (hibernation, m igration…), le v égétal est le plus souv ent un être fix é dans son substrat. Ses surfaces d'échanges doiv ent donc être optim isées pour assurer au

devenir ronds comme un ballon. Les Diodons ont une toxine, appelée étrodotoxine, dans tous leurs organes, (sauf dans leurs muscles), qui les rendent mortellement venimeux. Cette toxine est donc une arme supplémentaire, pour décourager d’éventuels prédateurs. Lorsqu’il se sent en danger, le corps du diodon se gonfle d’eau. Dans le même temps, les épines qui le recouvrent, normalement rabattues vers l’arrière, se dressent à la verticale. D’autres fois, le diodon se gonfle d’air, ce qui lui permet de

https://encrypted-tbn0.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcQSwR5UVLRPKv40hG_-ACGEoCRiTO5YF9u_HbVjY5wGzd-68SENCertains prédateurs sont très utiles et diminuent fortement les populations de pucerons en les dévorant. Les plus connus sont : Les coccinelles (adultes et larves) https://encrypted-tbn3.gstatic.com/images?q=tbn:ANd9GcQlbaGdWL0ddWqAGTuJ7CpsWwkZqStapRaRJbi7DUdrcJ4mrftZLes syrphes Cependant les prédateurs n’arrivent pas tout le temps à contenir les nombreuses populations de pucerons, à ce moment

ramener ses piquants sur le front pour se protéger la tête. En général, il ne s'enroule pas et préfère se sauver à toutes jambes ! Ce phénomène est commandé par la contraction des muscles peauciers. Ainsi protégé, il est à l'abri des prédateurs. En se contractant, ces muscles permettent de rentrer et de protéger les pattes, la tête et la queue à l'intérieur de la boule. Il ne reste plus qu'une boule de piquants tout à fait compacte : la tête est collée contre la peau, et il ne subsiste