Prédelle

1929, Dix entreprend le triptyque La guerre, un constat méticuleux de la guerre de tranchée d’une incomparable puissance narrative, qu’il achève en 1932. Les dimension de ce tableau sont : panneau central 204x204, panneaux latéraux 204x102 et la prédelle 69x204 cm. Après la prise du pouvoir par les nazis en 1933, Dix sera l’un des premiers professeur d’arts à être renvoyé. En 1937, ses oeuvre sont dites « dégénérées » par les nazis, 160 d’entre elles sont retirées des musée et une partie est brûlée

anonyme ; nom de convention ; attribué à - Titre : titre de convention - Date : plus ou moins précise 1308-1311 fin du VIIIe siècle La légende Andrea Mantegna, Prédelle de San Zeno, 1457-1460. Tours, Musée des Beaux-Arts. Jan van Eyck, Vierge au chancelier Rolin, v. 1435. Paris, Musée du Louvre. La légende Andrea Mantegna, Prédelle de San Zeno, 1457-1460, tempera sur peuplier. Tours, Musée des Beaux-Arts. « Aigle » de Suger, monture avant 1147, porphyre et argent doré. Paris, Musée du Louvre

l'ambiguité. Ce personnage fait face au spectateur et avance vers le premier plan. Ce panneau est le panneau de la transition qui s'exprime par le tronc d'arbre en oblique, qui signifie le déséquilibre. Dans le panneau inférieur , que l'on appelle une prédelle, est représenté ce qui semble être un caveau ou des soldats endormis. La paix et la tranquillité sont exprimées par les lignes horizontales de la composition. L'agitation est loin de ceux qui ont trouvé le repos. 4) But de l'oeuvre: qu'a voulu

parfois virtuelles (qui n'existent que par une projection lumineuse ou un effet optique par ex) - Volume : Objets, oeuvres ou espaces en trois dimensions - Limite : Ligne ou paroi qui marque la frontière entre 2 espaces : intérieur/extérieur par ex. - Prédelle : Partie inférieure et horizontale d'une oeuvre Référence aux programmes de cinquième : - La construction, la transformation des images, les interventions, le détournement, ouvrent les questions et les opérations relatives au cadrage, au montage

qui secoure l’autre homme se trouve un arbre calciné. Derrière l’homme se trouve un gros nuage de fumé rouge et au dessus de ce gros nuage, on peut voir un bout de ciel sur la partie droite du tableau. La couleur du ciel est bleu foncée. Sur la prédelle (partie inferieure du retable, sous le panneau central) qui mesure 60 cm x 204 cm, on peut voir des soldats allongés dans un espace fermé. Cet espace est délimité par des planches de bois. La tête du premier homme est posée sur un sac marron. Le

peindre sans rien voiler de la déchéance du corps crucifié : corps amaigris, creusé par la douleur, mains et pieds abimés, chairs grises et meurtries par les clous… Otto DIX cite très directement le retable d'Issenheim : - Organisation (triptyque, prédelle, absence de profondeur, personnage empalé qui fait référence au Christ) - réalisme des blessures, caractère expressif - format gigantesque pour susciter l’émotion Description Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est

représentant le front de la 1ère Guerre Mondiale. On peut voir de gauche à droite l’ordre d’une bataille : la montée au front, la bataille, l’entraide et la fuite et mis à la place de la prédelle la mort, le repos éternel. Elle a été réalisée sur un triptyque composé d’un panneau central, de deux panneaux latéraux et d’une prédelle avec la technique de la tempera sur bois. L’artiste voulait se débarrasser de ses souvenirs. Il voulait dénoncer le manque d’humanisme, la violence de la 1ère Guerre Mondiale

l'uniforme complet du soldat : ni casque, ni masque, ni arme, ce "sauveur" avance à découvert ne craint pas l'attaque. * Prédelle : Panneau inférieur au format rectangle allongé : le peintre inscrit dans ce format la représentation de ce qui semble être un caveau ou un cercueil collectif : des soldats allongés évoquent le corps du Christ mort (aussi représenté dans la prédelle du retable d'Issenheim)

specateur. L'arrière-plan présente une fournaise infernale. Sur la prédelle, on voit le repos de réparateur de ceux qui ont combattu, la phase ultime pour la journée d'un soldat. ---------> On peut supposer que c'est une représentation d'une journée, le matin à gauche, puis la journée durant laquelle se déroule les combats, puis le soir les soldats fuient le front en essayant de sauver les blessés, puit pour finir la prédelle où ils se reposent. On peut rattacher cette oeuvre à "la tranchée"

une tranchée effondrée, près d'un abri renversé. Des cadavres achèvent de pourrir alors qu'un squelette est demeuré accroché à la branche d'un arbre. Les panneaux latéraux figurent le départ vers le front et le retour de deux blessés. Sur la prédelle, des dormeurs - ou des cadavres ? - allongés sous une toile de tente. Le triptyque, peint sur bois, est exécuté avec une minutie réaliste extrême. Alors que les dessins préparatoires décident seulement des silhouettes et de la construction, la