Prédelle

cartes en main, le contenu est dévoilé parce « les jeux sont faits » Œuvre en lien avec « Les joueurs de skat » Otto Dix, la Guerre « La guerre » triptyque, 1932, huile sur bois, panneau central : 204 x 204 cm, panneaux latéraux : 204 x 102 cm, prédelle : 60 x 204 cm, Musée de Dresde (Allemagne). Analyse : C'est un tableau sur bois composé de plusieurs panneaux mobiles. L’artiste montre clairement les ravages de la guerre. La dureté du panneau central, représentant des cadavres pourrissants

du soldat : ni casque, ni masque, ni arme. Ce "sauveur" avance à découvert ne craignant pas l'attaque ennemie et n'étant pas soucieux non plus de se défendre. Prédelle : Panneau inférieur au format rectangle allongé : le peintre inscrit dans ce format la représentation de ce qui semble être un caveau ou un cercueil collectif Prédelle : C'est la partie inférieure La couleur : dans cette œuvre Otto DIX utilise principalement des nuances de rouge et de brun. La couleur dominante est le brun

rectangulaire, composé de portes que l’on ouvre pour voir les peintures intérieures. Il peut avoir une prédelle, partie inférieure qui sert de support. Otto dix inscrit donc son travail dans une perspective religieuse. Il s’inspire en particulier de l’un des retables les plus célèbres : le retable d’Issenheim (Alsace) peint par Matthias Grünewald (XVIème) : Position fermée - Position ouverte Pour sa prédelle, Otto Dix s’inspire d’une peinture de Hans Holbein (peintre et graveur allemand du XVIème siècle)

Les triptyques étaient souvent ralliés à un domaine religieux, ils étaient notamment exposés dans les églises. La particularité des triptyques étaient qu’ils pouvaient se repliés sur eux même, ne effet les deux panneaux latéraux se repliaient et la prédelle (partie inférieure du tableau) sur le panneau central. Voici un triptyque qui inspira le peintre. Le Retable d'Issenheim peint par Matthias Grünewald entre 1512 et 1516 Panneau de gauche : On peut apercevoir des soldats en

montre l’arrêt des combats le soir et la relève des blessés. Il met en scène Otto Dix lui-même (autoportrait) qui s’est représenté extirpant un camarade blessé de l’enfer. Un soldat rampe au sol. Ce sont les survivants, témoins de cette guerre. La prédelle (panneau du dessous) représente des gisants, des corps sans vie. La forme du support s’apparente désormais à celle d’un cercueil. Cette composition met en scène la journée d’un soldat sur le front et, plus symboliquement, le cercle vicieux de la

rectangulaire, composé de portes que l’on ouvre pour voir les peintures intérieures. Il peut avoir une prédelle, partie inférieure qui sert de support. Otto dix inscrit donc son travail dans une perspective religieuse. Il s’inspire en particulier de l’un des retables les plus célèbres : le retable d’Issenheim (Alsace) peint par Matthias Grünewald (XVIème) : Position fermée - Position ouverte Pour sa prédelle, Otto Dix s’inspire d’une peinture de Hans Holbein (peintre et graveur allemand du XVIème siècle)

retable se constitue de plusieurs parties (deux parties : diptyque, trois : triptyque, plus de trois : polyptyque). Ici, nous pouvons parler de Triptyque, car ce tableau est découpé en 3 parties : Le panneau centrale, les panneaux latéraux et la prédelle. Otto dix inscrit donc son travail dans une perspective religieuse. Il s’inspire en particulier de l’un des retables les plus célèbres : le retable d’Issenheim (Alsace) peint par Matthias Grünewald au 18eme siècle. C’est une Œuvre figurative car

avance à découvert ne craint pas l'attaque. Prédelle:Le peintre inscrit dans ce format la représentation de ce qui semble être un caveau ou un cercueil collectif où des soldats allongés évoquent le corps du Christ mort. Ceci ce rapporte à la prédelle du retable d'Issenheim . Cette œuvre fait le portrait de divers soldats. Ils sont principalement vus en action, pendant la bataille. Il s’agit donc de portraits en mouvement. Composition : l’œuvre peut être découpée par chaque panneau. Chacun

tout d'abord la marche des soldats dans les brouillards de l’aube ; suivi du paroxysme des combats du jour ; puis du crépuscule avec ses blessés et le calme ; et enfin c'est la torpeur du sommeil, les corps allongés dans leur abris que montre la prédelle . 2 - L'œuvre est une chanson qui s’appellent « La chanson de Craonne ». Cette chanson a été chantée par les combattants dès 1916 (Chanson de Lorette) puis dans les batailles de Verdun en 1916 et du Chemin des Dames en 1917. Les paroles de

soldats. Le panneau central : Ce panneau est composé d’une prédelle (voir plus loin) Tout n’y est que ruine, calme, et désolation. La couleur dominante de ce panneau est le jaune, lequel jaune en se mêlant au coin de ciel bleu délavé prend une teinte d’un vert maladif. La partie céleste est en grande partie occultée par la partie terrestre. Une couleur dominante est une couleur que l’on voit le plus sur une œuvre. 2/10 La prédelle : Refuge du seul ordre apparent de l’ensemble du triptyque