Prédestination

refusent l’autorité du pape. Tous sont laïcs, leurs pasteurs peuvent se marier et leurs églises sont indépendantes. Ils affirment que seul Dieu, par sa grâce, peut accorder la foi qui laisse espérer le salut. Persuadés que Dieu les a choisis par la prédestination, ils lisent régulièrement la Bible traduite en langue vulgaire, ce qui leur permet de fortifier leur foi. Seuls deux sacrements (baptême et communion) sont conservés, tandis que le culte des saints et de la Vierge sont supprimés. B- La Réforme

« attachée » et l’hyperbole « toute entière ». On est loin de l’aimable sphrodite !!!   III- L’influence du classicisme et du jansénisme   Le classicisme condamne tout excès, donc forcément toute passion. Les jansénistes quant à eux, croient à la prédestination et s’imposent une morale austère, espérant être élus par Dieu. Elevé à Port-Royal et nourri d’œuvres grecques, Racine présente la passion comme un excès et une véritable maladie.   A.    Un excès Phèdre use d’hyperboles « j’adorais d’Hippolyte » ;

Un contrat entre Dieu et les croyants « Il n'y a pas d'autres Dieu qu'Allah et Mahomet est son prophète ». les musulmans croient au prophète, aux anges, aux anges déchus (Shaitan), au livre révélé (le Coran), au jour de la Résurrection, à la prédestination. Le message divin est relayé par les prophètes et parmi eux : Adam, Noé, Abraham, Moise, Jésus et Mahomet. Il y a des Saints personnages, parmi eux les premiers califes, des ermites... Les rites Les musulmans doivent respectés les 5 piliers

manque de logique, peut-être dû à sa détresse, ou à un dernier effort de se conformer — par un 4 raisonnement cartésien — aux conseils de son ami Tiberge. Ce dernier lui reprochera plus tard d’être janséniste (121), c’est-à-dire de croire à la prédestination de l’homme, qui ne peut être sauvé sans que la grâce divine lui soit donnée. Il semble évident au lecteur en tout cas que son père ne pourrait jamais accepter Manon comme belle-fille et que le raisonnement de Des Grieux sur ces questions n’est

Bâle puis à Genève. C'est en Suisse que Calvin met en place sa doctrine dans un ouvrage L'institution de la religion Chrétienne en 1536. Calvin va plus loin que Luther, il introduit une nouvelle idée dans la doctrine : Il croit en la prédestination (l'idée que Dieu a déterminé par avance le destin de l'homme). Calvin ne croit pas en la présence réelle de Dieu dans le pain et le vin. Les sacrements furent réduits à 2 : le baptême et la scène. Une fois fixé à Genève, Calvin fixe

les préjugés inexplicables par opposition à la raison. En effet, certains philosophes de nos jours considèrent comme relevant de la superstition les pratiques et les croyances religieuses. Spinoza considérait que la croyance aux miracles, à la prédestination, à la validité des prophètes relevaient de la superstition et que le fait d’attribuer à Dieu une forme de volonté et même de transcendance relevait de la superstition. Et voltaire semble avoir adhérer à cette idée quand il affirme : « presque

sauver Hippolyte de la mort. Le héros tragique a une marge de manœuvre et de choix et son propre est de faire des choix qui ne feront que confirmer le dessein fixé par son destin. En cela Phèdre est un héros résolument tragique qui approfondit sa prédestination par les actions qu’elle accomplit. II/ La pitié, le pathétique a) Un registre tragique Cette scène utilise un registre tragique, selon les règles d'Aristote, la tragédie doit inspirer terreur et pitié, c'est bien le cas ici, le spectateur éprouve

catholiques et protestants. Zwingli sera tué durant une bataille. On a aussi J. CALVIN (1509-1564) c’est le plus extrémiste, le plus jusqu’au-boutiste. Il a radicalisé la doctrine des précédents réformateurs. Il défend la doctrine de la double prédestination = hommes se destinent soit au salut, soit à la damnation. Cette double destination est écrite et les hommes y peuvent rien, seul Dieu accorde la grâce. Il faut une vie qui soit agréable à Dieu. Cette doctrine va s’imposer en France et aux Pays-Bas

radicale, proscrivant tout culte postérieur et toute hiérarchie, ne reconnaissant pas plus le caractère d'évêque et de prêtre que celui de pape, rejetant la messe, le dogme de la présence réelle, l'invocation des saints, etc. ; il enseignait la prédestination absolue des élus et des damnés, détruisant ainsi le libre arbitre.Bossuet a tracé un admirable parallèle entre les deux chefs de la Réforme déclarant que « transportés par leurs succès ils se sont tous deux élevés au dessus de l'autorité des pères

Françoise, il continue une aventure avec Maud en lui proposant un mariage potentiel. L'un des problèmes principaux présentés dans le film, c’est une question du choix dans la vie. Le narrateur, anti-jenseiste et anti-pascal ne croit pas à la prédestination et veut être responsable de ses propres choix, il croit à la volonté et au hasard. Un homme de science, grace à ses calculs des probabilités, il peut dans une certaine mesure prévoir le hasard. Dans « Ma nuit chez Maud » on trouve des individus