Préférence nationale

du marché et un problème international. Le système économique des pays développés est guidé par une logique productiviste, qui recherche constamment une plus grande compétitivité. Pour obtenir les coûts les plus faibles sur le marché aussi bien national qu’international, les producteurs sont encouragés à adopter les méthodes de production les plus productives, et la prise en compte des incidences de leur activité sur l’environnement n‘est pas prise en compte. Dans un contexte de concurrence exacerbée

entreprise affecte des ressources à l’acquisition des biens ou services en vue de les utiliser ou d’en retirer un profit futur. Dans un sens restrictif, l’investissement consiste en l’acquisition de moyens de production. D’après la comptabilité nationale, l’investissement est la formation brute de capital fixe (FBCF). Elle correspond à la valeur des biens durables acquis par les unités de production pour être utilisés pendant au moins un an dans leur processus de production. Les différentes formes

encore si on tient compte de l’obsolescence du capital fixe des ménages, ce qui conduit à calculer le taux d’épargne net et non plus brut (net de la consommation de capital fixe), etc. Cela dit, l’épargne se mesure par des taux. La comptabilité nationale calcule deux taux d’épargne : le taux d’épargne brut, qui est le rapport entre l’épargne brute et le revenu disponible brut (non ajusté), et le taux d’épargne financière, qui est le rapport entre la capacité de financement des ménages et le revenu

d’Affaires inférieur à 7,5 millions de Dhs. 3. Le critère sectoriel Le critère sectoriel se base sur la division de l’économie aux trois secteurs (primaire, secondaire et tertiaire). Cette analyse est affinée par les outils de la comptabilité nationale, mais cette classification est devenue moins opérationnelle pour affecter une entreprise à un seul secteur. 4. Le critère économique Le critère tient compte des trois grandes fonctions dans l’économie : la production (ONE, ONCF...), la répartition

ECONOMIQUE ET A LA COMPTABILITE NATIONALE........... 139 Intégration du secteur informel dans les systèmes d’information économique et la comptabilité nationale (Hubert V. Gbossa)........................... 141 Le secteur informel dans la comptabilité nationale : cas du Sénégal (Babacar Fall)...................................................................................................... 155 La mesure des services du secteur informel dans les comptes nationaux du Ghana (K. Addomah-Gyabaah)1.

Chaque acteurs remplient des fonctions multiples comme par exemple la notion de consommateur ou de producteur ou bien encore la notion de préteur ou d’emprunteur ou encore salarier et dirigeant. Tous ces acteurs sont regroupés dans la comptabilité nationale en différents catégories. « Les économies moderne » sont des économies de marché fonctionnant d’une manière décentralisé. La coordination d’ensemble passe par l’ajustement de l’offre à la demande et les prix sur chacun des marchés. Si l’offre

étudiants de comprendre les mécanismes de fonctionnement de l’économie nationale et d’avoir un aperçu global et actuel sur la théorie macroéconomique ► Ce cours comporte cinq chapitres : - Le chapitre1 présente une vue d’ensemble de l’économie nationale à travers l’analyse des agents, des opérations et du circuit économique - Le chapitre2 traite de la mesure de l’activité économique et du rôle de la comptabilité nationale - Le chapitre3 porte sur la croissance et les fluctuations

souvent lus par un ministre n'ayant pas directement en charge le problème traité. Elles subsistent aujourd’hui, concurrencées par les « questions au gouvernement ». Ces « questions au Gouvernement » ont été introduites en 1974 à l'Assemblée nationale, et la technique a été reprise ensuite au Sénat sous la dénomination de « questions d’actualité ». Toujours en vigueur et peu à peu améliorées, elles ont redonné vie au système : présence physique des ministres, place accrue faite aux questions de

production qui produit les biens et les services permet de distribuer les revenus nécessaires pour acquérir ces bines et services. Dans le second cas, l'individu par son comportement d'échange sur le marché exprime ses préférences c'est à dire les biens qu'il désire. L'agrégation de ces préférences fournit la demande globale à laquelle les producteurs vont répondre par leur production. Les producteurs, dans cette optique se laissent guider par les consommateurs d'où la formule, « le consommateur est roi »

souveraineté nationale L’Etat est souverain. La souveraineté est un attribut essentiel. Ce concept a une dimension nationale et internationale. Au niveau international, c’est le droit pour tout Etat d’agir comme il l’entend sur la scène internationale, mais lorsqu’un Etat a signé un traité international, il doit en respecter les obligations. L’Etat ne peut donc pas faire n’importe quoi : il doit respecter les contraintes auxquelles il s’est volontairement astreint. Au niveau national, la souveraineté