Presse écrite

Introduction La presse pour la jeunesse représente selon les sources du Syndicat de la presse des jeunes, environ 150 millions d’exemplaires diffusés chaque année en direction d’un public déclaré « jeune », soit entre 12 et 13 millions d’individus de 9 mois à 18 ans. Ce sont alors plus de 20 maisons d’édition ou éditeurs associatifs (Bayard Presse, Fleurus, Hachette…) qui offrent à ce public très ciblé un choix d’environ 125 titres. Notre objectif ici est de découvrir la presse jeunesse, de voir

aussi s'opérer dans les alentours : la gare du nord, les offices de tourisme, les commerces... * Quand ? Le 15 Mai 2010 de 10h à 19h. * Comment ? Avec des supports de Communication (tels que : des affiches publicitaires, des flyers, la presse, la télévision locale...). Pourquoi ? Afin d'améliorer la campagne publicitaire et diffuser le message à un plus grand nombre de personnes, pour faire de la fête de l'Inde une journée mémorable. Ainsi que transmettre une image positive de l'association

Comme souvent concernant l’avenir de la presse écrite, un secteur en crise depuis de nombreuses années, les débats confrontent les partisans d’une vision optimiste aux pessimistes convaincus. Pour les uns, le secteur est en constante mutation, avec un modèle économique gagnant à la clé. Pour les autres, les coûts et structures de ce vieux média en font un acteur peu impliqué dans cette révolution numérique. Réunis à l’occasion des ateliers “La Presse au futur”, de nombreux éditeurs ont pu faire valoir

au média fondé sur la participation et l’échange (forums, blogs et autres chats) qu’il attend de tous les supports. Les médias historiques ont donc rapidement adapté leurs contenus en créant des espaces participatifs (tribune et forums de débat en presse, libre antenne en radio, télévision personnelle, etc.). Dans le même temps, la fidélité de l’individu à son journal, à sa chaîne de télévision ou à sa radio sur laquelle se sont bâties les marques médias, est remise en question par des individus surexposés

:: Marie-Pierre Quévillon :: Journaliste / AMPQ Magazine :: Presse alternative : la gratuité coûte cher! :: [ Alors que les empires médiatiques figurent aujourd’hui à la Bourse, les journaux alternatifs ont du mal à garder la tête hors de l’eau. Face à leur éternelle quête de financement, les publicitaires demeurent leur seule bouée de sauvetage. ] La presse alternative s’est toujours démarquée par ses prises de position et son militantisme. Elle représente, depuis toujours, la voix

sur des événements sportifs régionaux, nationaux voire internationaux. Il collecte, sélectionne, hiérarchise et transmet l'information avec précision et exactitude par le biais de la presse écrite, de la télévision, de la radio ou des agences de presse. Ses activités varient selon différentes données : le support (écrit, radio ou audiovisuel), la périodicité (quotidienne, hebdomadaire ou mensuelle), le traitement du sujet (brève, compte-rendu de match, interview, dossier de fond) et le public visé

1-Introduction 2-Historique 3-Définition d’un journal * 1ère Définition * 2ème Définition 4-Typologie de la presse écrite 5-la presse quotidienne 6-Construction d'un journal 7-Deux types de presse quotidienne * Presse quotidienne nationale * Presse quotidienne régionale et locale 7-Fonctionnement général 8-Exemple en France des parts de marché en 2001 selon le type de presse 9-Le coût de production de l’information 11-L’équipe journalistique 12-Les fonds nécessaires pour une création

TRAVAIL SUR LA PRESSE Année scolaire 2008/2009 PROJET : CREATION D’UN JOURNAL SCOLAIRE Réalisations d’interview Séance 1 – La Presse – Généralités / La une Séance 2 – Comparaison Presse écrite – Presse en ligne Séance 3 – l’interview – Mise en page d’une interview Interview : d’un gendarme Juge du tribunal de Remiremont Cardiologue (tabac) Partenaires -le CLEMI : fournit des exemplaires de journaux scolaires / possibilité de faire intervenir un journaliste qui explique « la

 Ce travail, portant sur l’histoire de la presse québécoise au tournant du 20e siècle, expose le contexte général de transformations socioéconomiques qui ont marqué la presse québécoise entre les décennies 1880 et 1920. De plus, on y présente une observation directe d’un quotidien de cette période, soit La Patrie. En effet, on y compare les observations faites dans ce quotidien avec les transformations du contenu rédactionnel et du contenu publicitaire. Enfin, en guise de conclusion, on y fournit

surtout à partir de la fin de la 1ère guerre mondiale (propagande des belligérants, presse écrite à son apogée, apparition de la radio). Elles sont soulevées lorsque l'on ne parle plus seulement de la presse écrite mais de la nouvelle réalité sociale que constituent désormais les médias de masse. En France, la Révolution a vu l'apparition de nombreux titres mais en 1792, beaucoup ont été victimes de la Terreur, la presse est asservie sous le Consulat et l'Empire et malmenée depuis la Restauration.