Prêtre

Le Rapport de Brodeck Philippe Claudel Le Curé Peiper XIX pages 162-164 Au chapitre XVII, Brodeck a trouvé le prêtre en train de laver sa chasuble pleine de vin ; il était venu le voir ''juste après être allé à la mairie'' pour présenter l'état de son rapport, le 3 décembre, jour de lère grande neige. Mais Brodeck digresse vers I'histoire de Zungfrost, à qui son goûter et la cruauté de ses camarades avait failli coûter la vie. Ensuite il évoque cette présentation dans la salle du conseil

profitaient à la noblesse et au clergé au détriment du Tiers-état. Sur les députés qui proposent et précisent ces mesures, un quart appartient au clergé. Il y a donc une volonté de réforme chez les membres du clergé. Les casuels, redevances perçues par les prêtres lors des offices, sont supprimés. La dîme, principal impôt touché par le clergé, est déclarée rachetable puis supprimée elle aussi. Cette perte n’est pas compensée, contrairement au mot d’ordre des réformateurs révolutionnaires. La volonté du clergé

les trois premières lignes constituent une définition objective des « Prêtres». « On désigne » à la première ligne universalise ce point de vue en montrant clairement que les critiques de l’auteur seront adressées aux Prêtres catholiques mais aussi aux représentants des autres religions. La description ironique des prêtres se fait par gradation. L’auteur commence en effet à faire le portrait de ce que devrait être un prêtre d’après le dogme et finit par la dénonciation de la prise de pouvoir au

violence, les conflits ce qui nuit au groupe est impure. Ce droit sert à maintenir la paix des dieux pax deorum. Cela signifie que la fonction du droit est de maintenir un ordre social considéré comme naturel et evident car issu de la religion. Les prètres vont donc garantir le respect de rites autant religieux que juridiques qui garantissent cet ordre cette pureté. Ex: imaginons un fait perturbateur un membre du groupe s’en prend à un autre membre (cycle de violence (vendetta) sans fin). L’ordre social

"déshellénisation". La monarchie hasmonéenne qui est issue de ce mouvement est une dynastie puis une monarchie qui s'est mise en place suite à l'indépendance de la Judée plus ou moins accordée par les Séleucides. Elle est dirigée par un grand prêtre, puis grand prêtre-roi ayant cumulé ces fonctions, d'ailleurs sans réelle légitimité, puisque les Hasmonéens ne descendent pas de la famille de Sadoq. Cette monarchie a été contestée par son rapprochement au mode de fonctionnement des royaumes hellénistiques

futurs prêtres. Ces séminaires vont être installé vers la moitié du 18e. EX: le séminaire de Clermont est fondé en 1656. Ces séminaires agissent comme des moules, c-a-d qu'ils imposent une image, un idéal. Du point de vue des fidèles, ils attendaient que les curés accordent les sacrements. Les transformations de la société vont amener des évolutions comme dans la question du célibat. On reproche aussi aux évêques de se porter sur la boisson. Les séminaires prônent l'image d'un bon prêtre, réservé

Des crises successives----------------------------------------- 4 1.Définition d'une crise----------------------------------------------------------------- 4 2.Quelques crises qui ont entachés cette organisation religieuse---------------a) Les prêtres pédophiles--------------------------------------------------b) Le discours de Ratisbonne----------------------------------------------c) Béatification de PIE XII-------------------------------------------------d) L'utilisation du préservatif-----------------------------------------------5

Fontaine ne se prive pas de critiquer les mœurs du clergé. Il nous raconte la chute inopinée d’un curé ayant la folie des grandeurs. Axes de lecture L’analyse de cette fable portera d’abord sur les aspects comiques du récit, puis sur la satire du prêtre. Commentaire littéraire : I. Le comique du récit Cette histoire est dramatique, mais La Fontaine transforme la tragédie en comédie. Dans le premier quatrain, il décrit les personnages selon un parallélisme de structure, et use de l’antonymie

; sauve-moi par ton amour.  Soyez forts, prenez courage, vous tous qui espérez le Seigneur !  Lettre aux Hébreux 4,14-16.5, 7-9.  En Jésus, le Fils de Dieu, nous avons le grand prêtre par excellence, celui qui a pénétré au-delà des cieux ; tenons donc ferme l'affirmation de notre foi.  En effet, le grand prêtre que nous avons n'est pas incapable, lui, de partager nos faiblesses ; en toutes choses, il a connu l'épreuve comme nous, et il n'a pas péché. Avançons-nous donc avec pleine assurance

Comment fonctionnait cette loi et en quoi changeait-elle la nature du clergé ? Cette constitution visait à réorganiser l'Eglise de France, voici les principaux changements : Les prêtres paroissiaux sont dorénavant des «  les prêtres paroissiaux » Les évéques ne sont plus nominés par le pape Les évéques ainsi que les curés sont élus par le peuple ( qu'importe sa religion ) Les évéques s'entourent de vicaires episcopaux Grâce à cette constitution, les membres du clergé sont élus et non