Priam

Staël le ramènera en France, à travers son oeuvre De l'Allemagne). Dans cette perspective, il s'observe un retour aux sources, à l'Antiquité. Ainsi, le 14 juin 1874, Heinrich Schliemann fait la découverte du site archéologique de Troie, ce "trésor de Priam" comme il le nomme, qu'il offrira au musée de Berlin en 1881. La fréquentation des "lieux de culture" provoque un engouement de plus en plus populaire dans les classes modestes comme dans celles des élites. Aussi, la capitale allemande voit la création

même hasard ! « Car, écrit Aristote, il y a beaucoup de changements dans la durée d’une vie, ainsi que des hasards de toute sorte, et l’homme le plus prospère peut tomber dans les plus grands malheurs dans sa vieillesse, comme l’épopée le raconte de Priam : or celui qui est impliqué dans de tels revers de fortune et finit misérablement ne peut passer pour heureux ». A quoi bon désirer un état qui apparaît et disparaît par hasard ? Le bonheur, affaire de chance, ne serait qu’un événement sans raison

d’une faucille, il a guidé Héraclès descendant aux enfers, il a demandé à Calypso de libérer Ulysse et a donné à ce dernier une herbe magique le préservant des sortilèges de Circé, il a libéré Hadès qui avait été enchaîné par Sisyphe, il a accompagné Priam jusqu’à la tente d’Achille…et j’en passe encore d’autres. Je pourrais vous donner une liste plus longue encore de toutes ses bonnes actions De plus, dans ses attributions, on voit bien que c’est un dieu « bon ». Il est - dieu des routes

étant considérée comme la plus belle femme. is auront une fille aha Hermione. Hélène : la reine de Sparte, réputée pour sa beauté, un jour , un bel étranger vient frapper a la porte du palais royal de sparte aka Pâris. > prince troyen, fils du roi Priam. Il frappe et car ménélas n’est pas là. PAris repart de Spartes avec héléne pour l’emmener à Troie. Ménélas ne se remet pas de cette disparition, et va voir son frr agamémnon et va décider de a situation ne peut rester telle quelle, que menelas doit

ironiquement les tueries continuées. Vous souvenez-vous de l’admirable tableau que vous a laissé Virgile de la chute de Troie ? C’est la nuit : la cité surprise est envahie par le fer et le feu, par le meurtre, l’incendie et le désespoir. Le palais de Priam est forcé et les portes abattues laissent apparaître la longue suite des appartements et des galeries. De chambre en chambre, les torches et les glaives poursuivent les vaincus ; enfants, femmes, vieillards se réfugient en vain auprès de l’autel domestique

Athènes. Les trois autres comparaisons qui suivent sont la prestance, la richesse et la puissance « prestance avait plus de grâce que celle de Tython… plus riches que Midas et Kinryas ; … plus puissant que Pélops…» (l. 4-6) Tython était le neveu de Priam roi de Troie, il était d’une grande beauté d’où la notion de « grâce » et de « prestance », quant à Pélops c’était un roi puissant depuis la Péloponnèse tient son nom. L’auteur enchaîne les comparaisons avec un rythme très rapide marqué par l’absence

de Covielle, le valet de Cléonte (futur gendre de Monsieur Jourdain). Cette année, nous avons présenté « La guerre de Troie n’aura pas lieu » de Georges Giraudoux où j’interprète le rôle de Troilus qui est le jeune et timide fils de Priam et de Hécube. Troilus n’apparaissant que dans une scène de la pièce, j’ai aussi interprété le rôle d’Ulysse, qui vient à Troie pour déclencher une guerre contre la Grèce, en prétextant le fait que Paris (Prince de Troie) a enlevé Hélène (Reine de Grèce)

Françoise WEEBER-PARISI 16D107 Devoir facultatif n°1Heinsius, auteur d’une dissertation sur Plaute et Terence, écrit : « susciter le rire n’est pas l’âme de la comédie. » Qu’en pensez-vous ? vous prendrez des exemples à la fois dans le cours et dans vos lectures personnelles. Rire au théâtre a longtemps semblé vulgaire, dans le sens où ce n’est pas ce qui était attendu par l’élite. Nous retrouvons encore aujourd’hui très souvent un jugement de valeur latent sur la prétendue moindre qualité

compositeurs « sérieux », lesquels méprisèrent souvent le génie d’Offenbach, victime de bien des préjugés infondés. La Belle Hélène est un opéra bouffe en trois actes. LES PERSONNAGES Hélène, reine de Sparte Mezzo-soprano Pâris, prince de Troie, fils de Priam Ténor Ménélas, roi de Sparte Ténor Bacchis, suivante d’Hélène– Ténor (rôle travesti) Agamemnon, roi d’Argos Baryton Calchas, grand augure de Jupiter– Basse Oreste, fils d’Agamemnon Ténor Achille, roi de Phtiotide Ténor Ajax I, roi de Salamine

neuf chiens et douze jeunes Troyens dont les corps sont jetés sur le bûcher. Le lendemain, il traîne de nouveau derrière son char le corps d'Hector, cette fois autour du tombeau de Patrocle. Achille fait pourtant preuve d'humanité en laissant le roi Priam, venu dans sa tente en suppliant, emporter le corps de son fils pour lui accorder des dignes funérailles68. Il obéit ainsi à sa mère, envoyée par les dieux mécontents du traitement infligé à la dépouille du héros. Achille tue plus de guerriers que