Primates

| | | 4) Construire l’arbre et le représenter derrière cette page, placer les innovations évolutives et entourer le clade des Primates caractérisés par un pouce opposable et des ongles puis le clade des Hominoïdes regroupant les taxons sans queue. 5) Donner la liste des caractères dérivés présents chez l’ancêtre commun hypothétique du clade des hominoïdes. Que faut-il faire

du Chimpanzé. Quelles sont les espèces fossiles qui composent la lignée évolutive humaine ? En quoi témoignent-elles d’une évolution des caractères ? 1 - Les premiers bipèdes : les Australopithèques Les Australopithèques sont les plus anciens primates bipèdes connus : ils sont, pour cette raison, considérés comme les plus anciens Homininés et appartiennent donc à la lignée évolutive humaine. Les plus anciennes espèces du genre Australopithecus sont datées de – 5 millions d’années (MA) et les plus

Dents avec large surface pour broyer  Homo premiers à consommer de la viande : o Dents plus petites o Plus gros cerveau, besoin de plus d’énergie 7. Les mâles et les femelles étaient-ils différents ?     C’est généralement le cas chez les primates, mais c’est difficile de déterminer le sexe d’un fossile ! Présence de gros bourrelets orbitaux chez Toumaï → mâle ( ?) par analogie avec le gorille mâle. Taille et taille des dents est généralement plus petite chez les femelles MAIS Ardi est un

leurs enfants si cela dépendait de leur survie pour par la suite refaire un enfant alors que chez les placentaires la mère et l'enfant mourraient. -47 millions d'années : Les marsupiaux vivaient en Europe. Il y a eu l'apparition des premiers primates ( lémuriens ). Suite à la séparation de la Pangée des marécages se créent..

acquis par le genre Homo afin d’optimiser la bipédie. La capacité ainsi que la forme crânienne sont aussi utilisées pour distinguer le genre Homo. Ils présentaient une grande capacité crânienne, supérieure aux australopithèques ainsi qu'aux autres primates, cette capacité avait tendance à augmenter avec le temps. Quant à la forme crânienne, les Homos présentent un arrondissement du crâne et un aplatissement de la face. La vie culturelle est un caractère du genre Homo, l’utilisation puis le perfectionnement

: eucaryote (-1200 Ma), vertébré (-500 Ma), tétrapode (-390 Ma), amniote (-340Ma), mammifère (-200 Ma), primate (-65 Ma), hominoïde (-25 Ma), hominidé (-13 Ma), homininé (-4 Ma). Caractères apparu successivement à différentes périodes de la vie. Place de l’homme au sein des primates Relations établies par comparaison des caractères anatomiques, moléculaires, caryotypes. Parmi primates, H proche des grand singes avec lequel il constitue le grp des hominoïdes (chimpanzé, orang outan, gorille

confondent avec des surfaces de recouvrement : peaux, broderies, tresses, fourrures. Celles-ci retiennent, raptent ou gardent en réserve l’expression humaine – Identification de ses oeuvres: La réminiscence d’une filiation lointaine avec les primates velus Species ( nom de l'une de ses expositions personnelles) renvoie à l’ « Origine des espèces » de Darwin. Mais dans un autre sens, species, espèce, signifie aspect, apparence sensible, vision – à quoi s’accordent les oeuvres exposées.

naturaliste Buffon propose de remplacer « cynocéphale » par « babouin » 2. Certains babouins ont des espaces de peau nue sur la face, sur la poitrine ou le postérieur, où ils exhibent les couleurs les plus vives : rouge, bleu ou violacé. Comme beaucoup de primates, les babouins vivent en bandes organisées. Le babouin ne se sent en sécurité qu'à l'intérieur de cette bande, dominée par quelques mâles puissants qui en assurent la défense ; ils sont aussi chargés de faire la paix à l'occasion de querelles intestines

notre état : est-il positif (dynamique, ouvert…) ou négatif (fatigué, fermé…) Nos mouvements renseignent sur ce que nous sommes en train de faire (déplacer, construire, porter…)  Verticalité et Bipédie : typiques de l’humain Nous sommes des primates qui ont décidé un jour de se redresser puis d’utiliser exclusivement nos pattes arrière pour nous déplacer. Conjointement ou en conséquence, ce redressement a assuré le développement de notre cerveau et l’apparition d’un langage articulé extrêmement

espèces ou sous-espèces de primates trouvent la limite septentrionale de leur répartition au niveau de la Sanaga (Cercopitecus n. nictitans, Colobus satanas, Cercopitecus pogonias grayi). La Sanaga constitue également la limite Sud de distribution pour certaines espèces de l’Afrique de l’Ouest (Cercopithecus nictitans martini, C. erythrotis camerunensis, C. pogonias pogonias). La prépondérance des zones dites marécageuses ne favorise pas l’installation des primates terrestres. Le chimpanzé (Pan