Primates

lui permettent d’avoir une vision aussi net de loin. B. Voir copie pour le schéma C. Concernant le chien, nous avons 2 informations : 1. Il possède une bonne vision nocturne 2. Il n’est sensible qu’au bleu & au vert Chez les primates les cellules photoréceptrices responsable de la vision des couleurs sont les cônes. Au bout de ces cônes se trouvent des pigments ayant chacun des longueurs d’ondes différentes. Il en existe 3 types : * Le pigment bleu nommé opsine S (Short Wave)

de la FSH et de celui des androgènes à travers les cellules de Sertoli. Ceci peut s’expliquer par le fait qu’il a été démontré qu’en modèle primate que les cellules de Sertoli des primates infantiles pourraient avoir un nombre insuffisant d'AR et que la capacité de liaison de la testostérone aux AR pourrait être compromise pendant la petite enfance des primates. Hormone Luteinisante (LH)L'hormone lutéinisante (LH) appartient à la famille des glycoprotéines, avec une sous-unité alpha et une

L’homme est-il un être naturel ?1ère partie Lorsque nous nous posons la question sur la caractéristique naturelle de l’être humain, la réponse pourrait nous paraître évidente : En effet, si nous cherchons à comprendre la problématique, il est certain que le premier élément de notre analyse serait celui de l’homme selon la biologie. En nous intéressant à l’étymologie de ce mot nous trouvons plusieurs indices pour notre démarche. Le mot « Biologie » est formé de la composition du grec

une augmentation de la vitesse de déplacement. Ce membre sera mobilisé par une musculature efficace. Comparaison entre les membres inférieurs des primates, des anthropomorphes et des hommes : Analyse renseignant sur le type de locomotion. Rapport entre membre supérieur et membre inférieur = indes intermembral = MS / MI x 100% : = 70% chez les primates. = 68% chez les hommes. = 100% chez les quadrupèdes. L’angle Q : Il est plus petit chez les hommes que chez les singes --> pieds rapprochés

enfants sauvages, privés de langage, donc privés d’un développement intellectuel normal. b- Cette faculté est-elle exclusivement humaine? Apprentissage du langage des sourds-muets par les primates supérieurs. (Ex. l'expérience faite avec Koko, une guenon). Mais les études sur la communication des primates dans leur milieu naturel se révèlent plus intéressantes que ces expériences. Il y a une différence entre être capable d’utiliser (de façon limitée) un langage au sens fort (doublement articulé)

Monitoring Cross River Gorillas in Nigeria: Results of Recent Surveys From March to August 2009, surveys of the four gorilla localities were conducted to evaluate the status of gorillas and other diurnal primates and their habitat at four gorilla localities in Nigeria. In this article, we present a summary of the survey results and make recommendations for improving gorilla conservation and management of the sites. The surveys were conducted at three sites – the Afi Mountain Wildlife Sanctuary

(qu’il s’agisse de l’amour maternel ou du népotisme), fait cependant face à une limite évidente: elle ne parvient pas à expliquer la coopération entre des individus non apparentés, comme c’est le cas chez les humains, mais également chez de nombreux primates. Pour rendre compte de ce phénomène, les biologistes et les théoriciens des jeux ont inventé un autre mécanisme: l’altruisme réciproque ou le « donnant-donnant », théorisé en biologie par Robert Trivers43 et en science sociale par Robert Axelrod44

soldèrent par des échecs. Toutefois, grâce notamment à l'observation des similitudes du Kuru avec la tremblante du mouton notée par Hadlow en 1959, Gajdusek acquit la conviction qu'il fallait poursuivre les inoculations expérimentales, surtout à des primates, mais avec des délais d'observation très prolongés. La première transmission réussie n'eut lieu que 7 ans plus tard chez le chimpanzé, après inoculation intracérébrale. Des transmissions du Kuru ont finalement été réussies dans plus de douze espèces

ur les allogreffes. Elle est en  concurrence avec d'autres voies de recherche qui sont la substitution mécanique des  organes défaillants (« cœur artificiel ») et les cellules souches.    Le stade n'est, pour l'instant, qu'expérimental (chez les primates non humains). Le principal  obstacle reste le ​ rejet de greffe​ . L'un des gènes posant problème est le  galactose­α­1,3­galactose, n'existant pas dans l'espèce humaine​ 3    L'injection de cellules pancréatiques sécrétrices d'​ insuline​  pourrait théoriquement traiter le 

humains. Depuis, les paléontologues sont d'accord sur le fait que l'être humain ne « descend » pas du singe mais qu'il en est « cousin ». Après la Seconde Guerre Mondiale, les scientifiques voient dans les hominidés des intermédiaires entre les primates et les êtres humains. En 1974, la découverte de Lucy, un australopithèque vieux de plus de 3 millions d'années, et l'analyse de son bassin attestant de la bipédie, permet d'élaborer la théorie de « l'east side story ». Cette théorie explique la différenciation