Princes Les Tragiques

et à inscrire une pièce dans un genre (ici, la tragédie). Pour le spectateur du XVII° siècle, le titre fonctionne comme une promesse : une action tragique, des personnages illustres venus de l'Antiquité dont il connaît déjà l'histoire. Cependant demeure une inconnue : quel traitement racine fera-t-il du mythe, comment peindra-t-il les passions tragiques ? (R : Pour le spectateur contemporain, selon son degré de connaissance du mythe, tout peut être à découvrir) Problématique : en quoi cette scène

paisible. Pendant la fuite, ils rencontrent plusieurs obstacles, mais la reine est toujours très sage et peut résoudre tous les problèmes. Cette situation change au moment où ils arrivent à la Comoé, un des grands fleuves du pays. C’est l’heure tragique, car il n’y a aucune possibilité de traverser le fleuve. C’est une barrière géographique. Le temps presse à cause des ennemis qui suivent encore la tribu. La reine demande au devin de la tribu de consulter les oracles ce qui a pour résultat que

choses et non les choses elles-mêmes ", font écho à l'amertume du vieux Cornelius Berg, " touchant les objets qu'il ne peignait plus ". Marko Kralievitch, le Serbe sans peur qui sait trompait les Turcs et la mort aussi bien que les femmes, est frère du prince Genghi, sorti d'un roman japonais du XIe siècle, par l'égoïsme du séducteur aveugle à la passion vraie, comme l'amour sublime de sacrifice de la déesse Kâli, " nénphar de la perfection ", à qui ses malheurs apprendront enfin l'inanité du désir...

distribution des personnages à l'intérieur de l'intrigue ► Les protagonistes • Mme de Clèves : personnage fictif, elle incarne les valeurs contradictoires de la société du XVIIè. • M. de Clèves : personnage historique très modifié. Il incarne la dimension tragique de la passion. M. et Mme de Clèves partagent la même fragilité, le même désir d'absolu qui compromettent leurs chances de survie dans cette société où tout sentiment est étouffé. • M. de Nemours : il incarne l'expérience de la vie, la maturité et

Clèves s’achève par la mort paisible de l’héroïne éponyme. •Années auparavant, 1662, MDL écrit La Princesse de Montpensier, roman historique qui raconte la passion amoureuse qui s’empare du psg principal. •Princesse de Montpensier -> marié au prince de M. -> succombe au Duc de guise -> Comte de Chabannes amoureux malheureux de la princesse est pris pour son amant sur un malentendu. •Récit historique : Au même moment, préparation de la Saint Barthélémy, massacre des protestants

exprimer les singularités des personnages qui subissent l’action et de leurs choix déterminants l’avenir du roman. Dans un premiers temps, nous pouvons observer qu’un personnage de chaque texte apparait comme un amoureux passionné. En effet, le Prince de Clèves, Jean et Marie sont prêts à s’engager et à entreprendre une union. M.  de Clèves a de grandes «  qualités  » de cœur, une vraie «  sagesse  ». Il est le seul à éprouver une «  passion  », à être «  éperdument amoureux  » de la jeune femme

COMMENTAIRE DE TEXTE – PHEDRE, JEAN RACINE (Acte II, scène 5) INTRODUCTION (Phrase d’accroche)Le destin tragique de Phèdre a inspiré un grand nombre d’écrivains depuis l’Antiquité (Euripide, Platon, Sénèque…). (Développement) Jean Racine est un de ces auteurs, il a écrit Phèdre en 1677. Cette œuvre théâtrale tragique rend compte des caractéristiques du Classicisme. (Contexte de l’œuvre) Ce mouvement artistique et littéraire se développe durant le règne de Louis XIV, « le Roi Soleil ». Le château

cherche la réaction la plus appropriée face à l'affront qu'il vient de subir. Veux-t-il se venger ou priver l'assassin de l'éclat de cette mort en ce tuant sois-même ? Pour ménager sa gloire, Auguste doit-il être tyran ou martyre ? I-La logique tragique de la vengeance A)La vengeance comme une réponse politique au complot B)La malédiction du sang versé C)L'image de l'Hydre II-La lassitude du tyran A)La constat d'échec d'une politique B)Le roi figure d'impuissance ? C)La mort comme

en trouvant au moins trois preuves par élément analysé : Élément analysé Preuves dans le texte La puissance montrée par le poète maudit. ­<< Que ces rois de l’azur, maladroit et honteux>> (v.5) << Le poète est semblable au prince des nuées>> (v.13) << Prennent des albatros, vaste oiseau des mers>> (v.2) 2 Élément analysé Preuves dans le texte Le pathétisme montré par le poète maudit. << Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid!>>

extrait du roman La Mort du roi Tsongor, publie en 2002. C’est un récit épique et tragique. Il a reçu le Prix Goncourt des lycéens 2002 et le Prix des libraires 2003. L’auteur situe son roman dans une Afrique ancestrale et imaginaire et accorde une large place aux mythes et aux légendes. Il y raconte l’histoire de la famille Tsongor ainsi que la guerre sanglante qui eclata en raison d’un mariage. Le plus jeune des prince, Souba doit parcourir le royaume et construire sept tombeaux pour son père. Dans