Princesse malgré elle

Collèges de France - Ankadilàlana Classes de 1ère ES – L – S Année scolaire 2011-2012 Séquence Contenu de la séquence Lecture analytique Lecture cursive Séquence 1 Etude d’une œuvre intégrale : La Princesse de Clèves, Mme de La Fayette, 1678 Problématique : En quoi La Princesse de Clèves est-elle une femme symbole du renoncement ? Textes :  « Il parut alors une beauté à la cour […] pleins de grâce et de charmes. » (tome 1)  « Le lendemain qu’elle fut arrivée […] une passion

Les avatars du mythe d'Orphée dans les oeuvres au programme (La princesse blanche et Les cahiers de Malte Laurids Brigge) de Rainer Maria Rilke. La princesse blanche [PB] (1898/1904) et Les Cahiers de Malte Laurids Brigge [CMLB] (1904/1910) font partie d’un tournant dans l’œuvre de Rilke puisque ce sont deux œuvres qui sont postérieures à sa rencontre avec Lou Andreas-Salomé (mariée, mais restée vierge) puis à son mariage avec Clara Westhoff (peu avant la 2e version de la PB), à son départ de

rendre au bal s’être coiffées maquillées et habillées superbement. Malgré le temps qui à passé a ce niveau les mœurs on peu évolué la femme prêtre toujours autant attention a son image, le seul changement qu’on peu noté est que l’homme commence a se soucier de son apparence autant que la femme. En plus de la superficialité de la femme on trouve parmi leurs défauts la frivolité, la curiosité comme dans la Belle au bois dormant où la princesse veut essayer de filler la laine, la naïveté qu’on retrouve chez

pour Julien un titre de noblesse, qui lui permette de prétendre à Mathilde. Le bonheur, pour Julien, est total, mais une lettre de Mme de Rênal, qui l’accuse d’ambition, ruine tous ses espoirs. Julien tente de la tuer. Malgré les tentatives désespérées de Mathilde pour le sauver, malgré Mme de Rênal même, seulement blessée, qui veut obtenir sa grâce du jury, Julien ne demande que la mort, qu’il accueille avec courage. Mathilde enterre la tête de son amant décapité, Mme de Rênal meurt trois jours après

. elle reste toujours objective, elle accepte de suite l'amour du duc de Nemours pour une autre et le jeu qu'elle a du être pour lui malgré la profonde blessure causée : « M. de Nemours ne l'aimait pas comme elle l'avait pensé » ; « qu'il en aimait d'autres qu'il trompait comme elle. » souligné par les comparaisons précédente. Conclusion partielle : La princesse a une force de caractère est une pureté improbable dans une situation si délicate. Par ailleurs, on remarque, aussi, l'évolution, à la

l’arrivé des religion coréenne et chinoise (Taoïsme, confucianisme et bouddhisme). Le bouddhisme fini par prendre une tel ampleur au Japon qu’il provoque une guerre de clan qui tuera l’empereur. C’est alors une impératrice bouddhiste qui est au pouvoir. Malgré cette religion chinoise qui est prédominante à la cours impériale, les clans continu à défendre l’héritage shinto et celui-ci parvient à relier étroitement la cours au sanctuaire d’Ise, qui est celui consacré à Amaterasu. Les Kami sont des dieux

La Princesse de Clèves Marie-Madeleine de Lafayette (1634-1693) Edition Gallimard Paru en 1678 1a. Présentation de l’auteure et de son œuvre Marie-Madeleine Pioche de la Vergne, plus connue sous le nom de Madame de La Fayette, naît en 1634. Elle appartient à la petite noblesse. Son père, écuyer du roi, fait partie de l’entourage de Richelieu. Sa mère, nièce du cardinal Richelieu est au service de Mme Combalet. Elle connaît vite une élévation à la Cour grâce à sa beauté et son intelligence

entendra l'accès à la conscience, à la vie intérieure de l'homme, englobant ses sentiments, ses réflexions, ses aspirations. Le roman s’inspire de son époque. Il prend en compte le mode de vie du moment, ses règles ainsi que ses coutumes. Dans la Princesse de Clèves datant du XVIIème siècle, Madame de Lafayette prend en met en avant d’Henri II, ainsi que la vie à cette époque. L’analyse de l’époque permet alors au lecteur de en même temps que le personnage, donc de le comprendre d’avantage. A l’époque

Le monde du tigre: Deuxièmement, la scène 2 nous plonge dans l’intimité de la princesse et nous apprenons qu’elle aime Rodrigue : le trouble qui l’anime est mis en évidence par le découpage de l’alexandrin : «Je l’aime. - Vous l’aimez ! » v. 83  Mais elle favorise l’union entre Chimène et l’homme qu’elle aime malgré la souffrance qu’elle en éprouve car Rodrigue n’est pas de son rang et le sens de l’honneur et du devoir de l’Infante ne lui permet pas de laisser libre cours à ses sentiments :

Acte I: Médée se plaint à Nérine, sa confidente, que Jason la délaisse au profit de Créüse, la princesse de Corinthe, chez qui Jason et Médée se sont réfugiés. Jason réussi à convaincre Médée de l’importance de garder de bonnes relations avec Créüse, et il la persuade de lui offrir une robe qui appartenait à son aïeul. Jason avoue à Arcas, son confident, son amour pour Créüse, tout cela malgré les liens sacrés qu’il a avec Médée. Entrée de Créon, roi de Corinthe, qui annonce l’arrivée de d’Oronte