Prise De Pouvoir Mussolini

Histoire Guerres, démocraties et totalitarisme 1914-1945 Les totalitarismes Introduction • Utilisé par Mussolini, dans les années 1920 pour désigner le régime qu’il voulait mettre en place en Italie, le mot « totalitarisme » a fini par englober les régimes de type nouveau qui, au lendemain de la 1ère Guerre mondiale, voient le jour en URSS, Allemagne et Italie. • La notion de totalitarisme pose problème. Elle a été un instrument de guerre froide qui impliquait une identité entre les régimes

contestations politiques, et l’émergence de nouvelles idéologies comme le fascisme qui revendiquaient une idéologie nouvelle.Face à une situation de crise à la fois économique, sociale et morale, l’Italie s’orienta vers le fascisme. En 1921, BENITO MUSSOLINI le « Duce » fonda le Parti national-fasciste ; le 29 octobre 1922, il devint le chef du gouvernement et instaura une dictature nationaliste, fondée sur un État fort et dominée par un parti unique.En Allemagne, avec les difficultés consécutives à

réalité beaucoup plus large car cette politique est partout. Comment repérer le politique ? Le politique se situe dans différentes dimensions de notre vie sociale, comment gouverner une population ? un territoire ? (exemple d’Hunger Games) = pouvoir autoritaire qui implique un domination forte. Est-ce un gouvernement démo ou autoritaire ? Moyen d’organiser le gouvernement mais aussi le moyen de dominer les citoyens. (Exemple de « 1984 » de Georges Orwell) = description d’une société autoritaire

et de la dictature 2.Présentation de Cuba 3.Biographie de Fidel Castro 4.La prise du pouvoir par le dictateur 5.Fonctionnement du pouvoir à Cuba 6.Exactions comises et interventions prises. 7.Bilan. 8.Conclusion. 1.Dictature et totalitarisme Totalitarisme: Le totalitarisme désigne un mode de gouvernement, un régime politique dans lequel un parti unique détient la totalité des pouvoirs et ne tolère aucune opposition (monopartisme), exigeant le rassemblement de tous les

binaire : Soit la droite, soit la gauche. Prenons le temps de nous attarder sur la droite, qui a longtemps représenté le pouvoir mais qui doit maintenant se muer dans la peau de l’opposition. a) Comment sont nés ces 2 courants de pensée ? La droite (et la gauche) sont nés à l’issue de la révolution française en 1789. Lors d’une réunion de l’assemblée nationale, les partisans du pouvoir royal (aristocrate et clergé) se sont rangés à la droite du président. Les opposants se sont alignés à sa gauche

point de capituler, la révolution gagne Berlin et la Kaiserliche Marine se mutine. Le Kaiser Guillaume II abdique et part pour les Pays-Bas avec sa famille. Le socialiste Philipp Scheidemann proclame la République. Deux jours plus tard, le nouveau pouvoir signe l’armistice de 1918. Hitler est anéanti par cette annonce. Il affirme dans dans un interview y avoir eu une vision patriotique, et d'avoir sur le coup «décidé de faire de la politique». Toute sa vie, Hitler adhéra au mythe du «coup de poignard

Koursk, à ce jour la plus vaste confrontation de blindés de l’histoire[réf. nécessaire]. Avec la prise de Tunis, le 7 mai 1943 et la reddition des troupes allemandes et italiennes, les Alliés sont maîtres de toute l’Afrique du Nord. Le 10 juillet, ils débarquent en Sicile et prennent pied sur la péninsule italienne en septembre, le jour même où Badoglio, le successeur de Mussolini, évincé du pouvoir, annonce un armistice qui préfigure un retournement d’alliance. Les Allemands envahissent le territoire

ville dans les régimes totalitaires Partout, la ville est mise en scène : défilés aux flambeaux en Allemagne, statues géantes, ornementations et inscriptions fascistes, drapeaux etc. Mais surtout projet d’urbanisme Mussolini Désir de grandeur, retour à l’empire romain….Mussolini veut que le fascisme apparaissent dans l’architecture de la ville. Au début, il n’y a pas de projet directeur, il veut seulement marquer de son empreinte les nouveaux bâtiments et s’adresse à Giuseppe Terragni qui, membre

premières pages on peut voir un discourt qu’il fait à la troisième personne du singulier, on voit une certaine prise de recul qui met encore d’avantage l’auteur en avant, page 10 celui-ci fait son éloge personnelle en utilisant une périphrase. De Gaulle se considère comme l’élu, le sauveur du peuple et fait ressortir une légère impression d’homme magicien, un être extraordinaire plein de pouvoir et de grandeur, demandé et admiré par tous. Parfois même il use de sa fierté en exagérant des qualités ou des

plus, le gouvernement instaure une icone, une sorte d’allégorie du travailleur parfait (Stakhanov), que tous les soviétiques doivent s’efforcer d’imiter. Mais encore, l’URSS montre que la parité homme-femme n’est qu’un mythe dans ce pays, et que le pouvoir est dominé par les hommes. Ceci montre bien que ces régimes sont tous les deux totalitaires, mais d’autres éléments accentuent ce côté, bien qu’il convient de les développer indépendamment de l’aspect totalitaire. L’embrigadement des masses est un