Prise de vues cinématographique

électroniques (y compris les tubes appareils de prise de vues en télévision) à l'exclusion de ceux destinés à la RTT, cellules photoélectriques. Cellules photovoltaïques. Lentilles, prismes, miroirs et autres éléments d'optique en toutes matières, montés, pour instruments ou appareils, autres que ceux en verre non travaillé optiquement. Lunettes solaires ainsi que les verres de lunetterie solaires, en autres matières que le verre. Jumelles et longues vues avec ou sans prismes. - Appareils photographiques

événements relatés correspondent-ils à l’exacte réalité ? C’est peu probable tant certains traits des personnages (les parents dignes d'être des champions) et certaines situations (le sacri ce) apparaissent nourris de références littéraires ou cinématographiques. Et que dire de l’apparition des fantômes ? Un secret n’est donc pas un roman réaliste. Cela l’empêche-t-il de traduire la vérité ? Non, car le travestissement de la réalité extérieure est ici un moyen de rendre la vérité plus sensible. Il faut

plus exactement de la littérature dans les débats d’idées ; – la réflexion sur le présent nécessite une ouverture sur les littératures contemporaines, qui dialoguent constamment avec celles du passé. Enfin, le souci d’ouverture se traduit dans la prise en compte aussi bien du domaine culturel français que des domaines antiques (grec et latin), européen, francophone, international. Les objets d’étude Au sein de ces domaines, tous très vastes, le programme spécifie des objets d’étude, qui indiquent

le fleuve héraclitéen, nous ne sommes plus les mêmes que la première fois, « Tout coule », tout roule, et nous-mêmes, nous ne sommes que des « Rolling stones ». « Toutes blessent, la dernière tue ». Ce que montre cette inscription, c’est la prise de conscience, non seulement du temps qui passe, mais aussi de la finitude de la condition humaine ; l’homme est cet être qui, dès sa naissance porte en lui sa propre mort, l’homme est cet être que le temps, comme autrefois Kronos vis-à-vis de

ainsi que de l’influence que ce questionnement a sur la relation qui s’établit avec son téléspectateur. Nous chercherons ainsi à expliciter tout d’abord quels sont les engagements pris par Strip-Tease. Nous procéderons ensuite à l’analyse cinématographique d’un documentaire représentatif. Ce n’est qu’alors que nous pourrons confronter les engagements que nous avons dégagés à nos observations tirées de l’analyse filmique afin de déterminer si Strip-Tease a bien tenu ses engagements. Nous verrons

trois-quarts des articles sur le sujet dans les grands périodiques nationaux de France paraissent de la mi-avril à la mi-juin de 1945. C’est à ce moment que le choc de la révélation opère, un peu plus tardivement à la radio et dans les actualités cinématographiques. En juin, le reflux est déjà net. D’autre part, l’information ne distin1 CHAP. 1 • LE MONDE EN 1945 gue alors pas de spécificité juive dans la déportation et la découverte des camps. L’idéologie officielle prévaut rapidement : les déportés

rubriques audiovisuelles sont disponibles sur le site internet : www.site-image.eu Base de données et lieu interactif, ce site, conçu avec le soutien du CNC, est un outil au service des actions pédagogiques, et de la diffusion d’une culture cinématographique destinée à un large public. Édité par le : Centre national du cinéma et de l’image animée. Remerciements : Carlotta Films. Conception graphique : Thierry Célestine – Tél. 01 46 82 96 29 Impression : I.M.E. 3 rue de l'Industrie – B.P. 1725112

des matériaux ; - réhabilitation de l'habitat existant. Qualités environnementales et paysagères : - insertion paysagère du bâti ; - habitat et environnement : maîtrise des nuisances urbaines. La ville et ses habitants : - la mixité sociale et la prise en compte des besoins spécifiques des différentes populations : personnes âgées, enfants, personnes à mobilité réduite... ; - notions d'élaboration d'un programme d'aménagement : abords d'un bâtiment public, espace public, cheminements piétons. Systèmes

milliers d'individus le message est unique mais les récepteurs sont innombrables. Le sens perçu peut être éloigné du sens voulu par l'émetteur sans qu'il s'en aperçoive forcément. Les bruits peuvent parasiter le message Les limites du modèle : non prise en compte de la nature des canaux de communication, pas de ffedback Lazarsfeld et Katz en 1955 : les messages en provenance des mass médias atteignent d'abord certaines personnes plus exposées avant d'être filtrés et relayés auprès d'un public étendu

important, il faut s'imprégner du terrain. Des problèmes déontologiques peuvent se poser : le sentiment de tromper l'enquêté ou encore de lui voler son image. => Comment rétribuer les enquêtés ? L'analyse aura préalablement demandée un travail de prise de note, il faut faire un travail de collecte des informations. Il n'existe pas de protocole strict pour mener une observation directe étant donné que les terrains sont divers et variés. Ce sont les techniques de base pour mener ce type d'enquête