Prison

le mérite ou les qualités. La valeur est la vertu guerrière, la bravoure ou la combativité. Travail forcé : personne soumise à des contraintes psychologiques ou physique pour effectuer un travail obligatoire, sorte d'esclavage. Travail pour les prisonners ● ● « Dans la vie du prisonnier, le travail occupe une place  particulièrement importante. » (p.94) « Pour tous les autres, le travail est un échappatoire (...) la  condition de prisonnier. » (p.94) ● ● ● ● ● « Il leur procure même une satisfaction dans la mesure où 

interstices d'un espace public peu à peu investi, les femmes ont agi, vécu, souffert et travaillé à changer leurs destinées. Qui mieux que Michelle Perrot pouvait nous le montrer ? Historienne des grèves ouvrières et du monde du travail, explorant les prisons dès les années 70, Michelle Perrot s'est attachée très tôt à l'histoire des femmes. Elle les a suivies du siècle dernier jusqu'à aujourd'hui, traquant les silences de l'histoire et surtout les moments où ils se dissipaient. Ce sont quelques-unes de

Les mesures d’ordre intérieur Commentaire combiné des deux arrêts Planchenault. « La justice ne s’arrête plus aux portes des prisons ». Cette phrase prononcée par la cour européenne des droits de l’Homme le 28 juin 1984 lors du jugement Campbell et Fell c. Royaume-Uni. Cette décision lancera alors une succession d’arrêt en provenance des prisons et tendant pour la plupart à faire annuler des décisions prises entre ces murs autrefois bien trop clos. Les arrêts du 29 juin 2005 et du 14 décembre

FICHE CHRONOLIQUE DE L'HISTOIRE DE L'IRLANDE AU XXe SIECLE 1868-1916 : James Connolly, né le 5 juin 1868 à Édimbourg en Écosse et fusillé le 12 mai 1916 à la Prison de Kilmainham de Dublin en Irlande, est un combattant, révolutionnaire et syndicaliste irlandais. S’il fut un infatigable rédacteur d’articles et auteur d'essais, il fut aussi un militant proche des ouvriers dont il défendait la cause que ce soit en Écosse, aux États-Unis ou en Irlande. Il est l’un des dirigeants de l’insurrection

y a quelques années, en Nouvelle-Ecosse, un Amérindien (Donald Marshall) a été relâché de prison après plus de dix ans de détention : il avait été condamné à perpétuité pour un meurtre qu'il n'avait pas commis, suite à l'échafaudage d'une fausse preuve par des policiers racistes. Un Ontarien (Guy-Paul Morin) et un citoyen de l’Ouest (David Millgard) ont été récemment libérés après plusieurs années en prison, car des tests d’ADN ont démontré qu’ils ne pouvaient être responsables des viol et meurtres

Vautrin Introduction: Vautrin (Jacques Collin de son vrai nom) est un important personnage tiré du Père Goriot et de la Comédie humaine d’Honoré de Balzac. Jacques Collin est un ancien forçat, chef de pègre (voleur), qui, après s'être évadé de la prison de Toulon et de Rochefort, prend le nom de Vautrin, Trompe-la-Mort, M. de Saint-Estève, Carlos Herrera puis William Barker afin de se soustraire à la vue des forces de l’ordre. C’est un homme bienheureux, mais qui intimide facilement. Il semble tout

en croissance, conduisant à un surpeuplement des prisons. Entretenir celles-ci coûte beaucoup à la société, donc une exécution peut lui être avantageux, économiquement parlant. Ceci n’est pourtant pas un fait certain, car avec les frais de recours, il se peut que toute la procédure conduisant au couloir de la mort coûte plus chère qu’un emprisonnement à vie. Or, si nous emprisonnons un criminel, nous risquons d’avoir plus de crimes : dans la prison elle-même, qui n’est pas totalement sûre, avec

soit totalement libre et gratuit pour toutes les personnes noires et opprimées. Nous voulons la fin immédiate de la brutalité policière et du meurtre des personnes noires. Nous voulons la liberté pour tous les hommes noirs détenus dans des prisons municipales, de comtés, d'état et fédérales. Nous voulons que toutes les personnes noires amenées en cour soient jugées par leurs pairs ou par des personnes de leurs communautés noires tel que défini dans la Constitution des États-Unis.

s’en défendre » 1. Dans Asiles, Goffman présente une interprétation de la vie hospitalière qui situe les pratiques thérapeutiques dans le cadre, plus spécifique, d’une institution totalitaire. C’est-àdire un établissement (hôpital psychiatrique, prison, camps de concentration) caractérisé par sa fonction de réadaptation de l’ordre social des individus internés. La contradiction qui existe 1 Goffman Erving – Asiles : étude sur la condition sociale des malades mentaux, Les éditions de Minuit, 1961

Un ministre du culte ; 7° Le directeur de l'établissement pénitentiaire ; 8° Le commissaire de police et, s'il y a lieu, les agents de la force publique requis par le procureur général ou par le procureur de la République ; 9° Le médecin de la prison ou, à son défaut, un médecin désigné par le procureur général ou par le procureur de la République. Art. 17. Si une femme condamnée à mort se déclare et s'il est vérifié qu'elle est enceinte, elle ne subira la peine qu'après sa délivrance. Ce document