Procede Comique Ecole Des Femmes

permet d’amplifier l’éloge et de transformer les trois personnages en êtres extraordinaires. ® Procéder par étapes Commencez par relever, dans chaque texte, les caractéristiques de ces « figures maternelles ». Comparez ensuite les trois personnages afin d’identifier des points communs et des différences. De cette comparaison pourra naître un plan. Vous pourrez par exemple chercher ce qui rend ces femmes si importantes, si rassurantes et si fascinantes. N’oubliez pas d’illustrer vos idées par des

générales concernant ces deux époques, ainsi que quelques repères chronologiques. Nous allons aussi montrer et expliquer les caractéristiques de la littérature baroque et classique en général, puis les genres et les thèmes courants, les structures et les procédés littéraires utilisés à ces époques-là, en nous référant toujours à l’œuvre de Madame de La Fayette. Les chapitres quatre et cinq sont consacrés aux explications détaillées des deux genres qui marquent la vie de Madame de La Fayette : le roman et

décoratif, lourd, abondant, exotique classicisme = sobre, simple, clair, rigide, pure, fin, réduit à l'essentiel réconcilie ces deux extrêmes et passe un message peu d'ornaments, moins abondant, une dimension constructive salons littéraires pour les femmes et clubs littéraires pour les hommes (il faut briller par la parole, montrer l'esprit de la conversation) VERS 1750: LE DESPOTISME ÉCLAIRÉ un gouvernement relativement désacralisé, orienté vers le bonheur des sujets le déclin du baroque et rococo;

sens ? Le long de quelle connexion réelle ? Par où passe le pouvoir ? 2. Analyse de la définition gaullienne de la culture générale : la culture du général et la politique. Texte de 1944, Vers l’armée de métier, De Gaulle dit : « La véritable école du Commandement est la culture générale. Par elle, la pensée est mise à même de s’exercer avec ordre, de discerner dans les choses l’essentiel et l’accessoire, d’apercevoir les prolongements et les interférences, bref de s’élever à ce degré où les

marbres. Analyse Souvent, la volonté artificielle d’exprimer une joie qui n’est pas vraiment ressentie conduit à laisser paraître la tristesse intérieure fondamentale. C’est observable dans la vie et dans l’art : la tristesse fondamentale des comiques (Molière, Chaplin, Keaton), des clowns, des lieux dits de plaisir (foires, music-halls). C’est ce qui arrive à Verlaine dans “Clair de lune”, poème où il voulait célébrer sa fiancée, lui faire un compliment galant. Ces trois quatrains de décasyllabes

Versailles, tandis que le peuple de Paris forme un gouvernement insurrectionnel, la Commune. Les communards adoptent le drapeau rouge, dénoncent l'armistice avec l'Allemagne, proposent des réformes fondamentales en faveur des ouvriers et pour l'éducation (école laïque et gratuite). Une des plus terribles répressions de l'histoire de France prend alors place: 25000 Parisiens sont fusillés, une autre dizaine de milliers sont condamnés et déportés. Le mouvement ouvrier est totalement décapité, la première révolution

stigmatiser leur puanteur 1. C’est en cela que le roman de Malick Fall peut être placé sous le signe du symbole. A ce propos, Falilou Ndiaye écrit : « Malick Fall, en effet, exploite judicieusement, en cette métaphore de la plaie malodorante, le comique d’une situation – retraçant le chemin de l’aliénation (sociale et clinique) en sens inverse, ce n’est pas le corps qui est atteint, en dépit de la plaie et de l’odeur, c’est l’esprit et l’âme qui souffrent en Magamou certes ; mais cette souffrance

Loulou » et « Voidçek »), Schoenberg (« la nuit transfigurée », les lieders, ses sujets sont le suicide, le malheur, l'inceste), Webern et sa musique brève et concentrée. Peinture: Les symbolistes: – Klimt: rapport au sacré et à l'esthétisme, femmes humaines mais éthérées, figures mythologiques (Salomé) – Egon Schiele: figures féminines à la chair triste, couleurs brunes et jaunes pour les chairs, mélancolie Les expressionnistes: – Kokoschka: gens du quotidien mais en accentuant outrageusement

Pont-Aven ; Bonnard et les Nabis ; Lautrec ; Cézanne 2. Le symbolisme en France et dans les autres pays d’Europe L’Art « naïf » d’un inclassable : le Douanier Rousseau Conclusion : L’Art Nouveau (1890-1910 environ) : Art Nouveau, Jugendstil, Ecole de Glasgow et Sécession viennoise : . Bruxelles et la Belgique (Horta et Van de Velde). . Paris (Guimard) et Nancy (Gallé, Prouvé père et l’Ecole de Nancy). . Glasgow (Mc Intosh et l’Ecole de Glasgow). . Vienne (la Sécession viennoise et les Wiener

développement de genres qui associent texte et musique(ex: le vaudeville ou l’opéra comique). b)Le roman du XVIIIe siècle. Le roman du XVIIIe siècle: par le renouvellement des formes et des contenus il est considéré comme une oeuvre de fiction en prose, racontant les aventures et l’évolution d’un ou de plusieurs personnages. Le genre, en pleine croissance est marqué par la sensibilité, par un souci d'authenticité (avec le procédé du manuscrit on trouve, l’emploi de la première personne, de l’échange épistolaire