Productivisme

« exception française » concernant les dégradation des conditions de T en France entre 1985 et 2000 selon Gollac et Volkoff car hiérarchies professionnelles rigides. Philippe Askenazy insiste sur le retard de la France p/r aux USA où le modèle de productivisme réactif a été élaboré vers 1980 → « néostakhanovisme » comme norme de productivité → Hausse des accidents car réduction du temps de T donc les ouvriers vont plus vite. Les compagnies d'assurance et leur informatisation ont fait freiner les accidents

d'échange, ressemble au sorcier qui ne sait plus dominer les puissances infernales qu'il a évoquées. »   Marx décrit ici l’absurdité du système productiviste. Contrairement à ce que beaucoup d’opposants au marxisme affirment, Marx se méfiait du productivisme et particulièrement du système de production capitaliste qui était porteur en son sein des crises qu’il provoquait.   Depuis des dizaines d'années, l'histoire de l'industrie et du commerce n'est autre chose que l'histoire de la révolte des forces

A priori, un pays qui exporte beaucoup c’est mieux qu’un pays qui importe beaucoup. Cependant, il y a de bons excédents commerciaux et de mauvais. Un pays, quand il a un excédent de la balance commerciale c’est positif quand il a un très bon productivisme. L’excédent est négatif si le pays est en crise. Si le pays est pauvre et que le pouvoir d’achat baisse, les entreprises n’arrivant pas à vendre dans le pays exportent leur marchandise. De la même manière, un pays peut avoir un déficit, ce sera

9:49 Page 1 Les unités de production sont sans cesse mises sous pression pour accroître leur productivité. Comment améliorer les performances sans verser dans le productivisme ? Des techniques éprouvées existent pour améliorer la performance, mais encore faut-il comprendre à quoi sert chacun de ces outils, comment les mettre correctement en œuvre et comment les combiner afin qu’ils se renforcent. Destiné aux cadres et aux responsables opérationnels dans les usines et les ateliers, ce livre commence

applaudit. Les spectateurs ne manquèrent pas de prélever un morceau de la machine détruite avant de quitter les lieux. Cet hommage à l'énergie de la ville est aussi un pied de nez à l'efficacité et à la société de consommation dans la patrie du productivisme d'après-guerre. De cette événement il reste un film tourné par Robert Breer . «J'ai senti qu'avec l'hommage à New York, j'avais fait quelque chose en avance sur son temps, parce que la conscience de l'autodestructivité de notre société n'était

d'expression politiques, syndicales et associatives »47. Écosocialisme et antiproductivisme[modifier | modifier le code] Sur la question écologique, il réfute l'idée de « capitalisme vert » et lui oppose l'écosocialisme. Fustigeant « toute forme de productivisme », il défend une « relocalisation de l’économie, la redistribution des richesses, la décroissance de la consommation des ressources non renouvelables et la remise en cause de secteurs d’activité énergétivores, inutiles, polluants ou dangereux,

d'équipement hydroélectrique lancé au début des années 60. De plus de nombreux conflits d'intérêts et d'opinions autour de la construction du barrage principal Sardar Sarovar voient le jour .Dans un camps , on trouve les industriels et partisans du productivisme agricole mais aussi de l'état du Gujarat qui possède 1,8 million d'hectares irrigués. Dans le camps opposé figure l'état du Madhya Pradesh qui situé en amont du barrage concentre 80 % des 245 villages qui seraient noyés par le réservoir et qui

fiscal. Chaque année, une dizaine de dispositions nouvelles viennent s’ajouter à l’arsenal de la législation fiscale régissant la TVA auxquelles s’ajoute la production de doctrine administrative. Le productivisme juridique se porte bien dans le domaine fiscal. En plus du productivisme juridique, le droit fiscal régissant la TVA est d’une technicité qui reflète une réalité socio-économique très hétérogène[3]. Dans son désir de cerner et d’appréhender au plus prés cette réalité

tendu ». Elle vise en deuxième lieu à répondre rapidement et efficacement à une demande diversifiée et changeante : à l’exigence de rendement, elle ajoute l’impératif de flexibilité de la production, ce qui incite Philippe Askenazy à parler d’un « productivisme réactif » (1). Elle s’attache en dernier lieu à améliorer la qualité des produits. Ces trois objectifs sont obtenus grâce à une organisation du travail reposant sur la polyvalence, la polycompétence et le travail en équipes autonomes. La polyvalence

petites productions, sans produits chimiques et très légèrement outillées. L’éthique avant tout Aujourd’hui, le rapport à la modernité se veut différent. Alors que le modèle de l’agriculture contemporaine est ciblé sur le productivisme, la critique ici porte notamment sur la valeur donnée à la terre et à l’environnement. Les techniques modernes étant moralement condamnables au niveau de la planète, de la terre, de la santé. On remarque une volonté de changement vers des techniques