Profil laminaire

solvants (MATS) II.5.2. Mesures d'angles de contact II.5.3. Calcul des tensions de surface, du degré d'hydrophobie et des énergies libres d'adhésion II.5.4. Surfaces modèles II.5.5. Spectroscopie de photoélectrons X (XPS) II.5.6. Cellule à flux laminaire II.6. Étude des polymères sécrétés par les algues et les cyanobactéries II.6.1. Microscopie électronique à balayage (MEB) II.6.2. Microscopie électronique à transmission (MET) II.6.3. Protocole d'extraction des polymères II.6.4. Analyse chromatographique

formation de couverture en rive droite 57 Figure 18: illustration d'un seuil en gabions 58 Figure 19 : Seuils en moellons 61 Figure 20 : Classification des seuils suivant leur géométrie 62 Figure 21: Profil en travers du seuil principal 64 Figure 22: Profil en travers du seuil principal 66 Figure 23 : profil en travers du seuil secondaire 66 Figure 24:schéma de principe du seuil 67 Figure 25: Schéma de principe pour le calcul de stabilité des seuils en gabions 72 Figure 26: Disposition courante nécessitant

purement diffusif et diffusif-convectif . . . . . . . . . . . . . . Régime gravitaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Rupture de barrage d’un volume infini (solution de Ritter) . . . . . . Rupture de barrage en régime laminaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Rupture de barrage d’un fluide non visqueux . . . . . . . . . . . . . . . . . . Rupture de barrage de volume fini sur un fond horizontal . . . . . . . TABLE DES MATIÈRES 5.3.3 5.4 5.5 Rupture de barrage

d'appartenance. Pour les commerciaux on travaille d'abord pour « Acera » ou « Sirius » avant d'être chez « Ergos ». Rassurer les salariés du groupe sur la restructuration commerciale Les partenaires sociaux « sentent » une restructuration se profiler lors d'un CCE extraordinaire et « pensent » qu'une baisse des prix serait la meilleure solution et « craignent » que la restructuration engendre une perte de marché occasionnant une charge pour les usines. Ils comptent communiquer dans ce sens auprès

 dT   dT  ϕ x = ϕ x + dx ⇒ − λ S   = −λ S   dx  x   dx  x + dx d’où Avec les conditions aux limites : dT dx = A et T = Ax + B T (x = 0) = T1 et T (x = e) = T2 d’où : T = T1 − x e (T1 − T2 ) (°C) (2.6) Le profil de température est donc linéaire. La densité de flux de chaleur traversant le mur s’en déduit par la dT , d’où : relation : φ = −λ dx λ (T1 − T2 ) φ= (2.7) (W m-2) e La relation (2.7) peut également se mettre sous la forme : ϕ = (T1 − T2 )

en régime permanent  dT   dT  ⇒ −λ S   = −λ S    dx  x  dx  x + dx ϕ x = ϕ x + dx D’où dT dx = A et T(x) = A x + B Avec les conditions aux limites : T (x = 0) = T1 x T = T1 − D’où : e et T (x = e) = T2 (T1 − T2 ) (2.6) Le profil de température est donc linéaire. La densité de flux de chaleur traversant le mur s’en déduit par la dT relation : φ = −λ , d’où : dx λ (T1 − T2 ) (2.7) φ= e La relation (2.7) peut également se mettre sous la forme : ϕ = (T1 − T2 ) e , cette relation

: L’ECOULEMENT DE POISEUILLE Afin de prendre en main le logiciel OpenFoam, nous nous sommes fixé pour objectif de simuler un écoulement de Poiseuille entre 2 plaques parallèles fixes et de comparer les profils de vitesse obtenus avec la théorie. Pour cet écoulement stationnaire laminaire 2D dans une conduite de section constante, nous avons pris : D = 2 cm : diamètre de la section L = 200 cm : longueur de la conduite V= 0,5 m/s : vitesse à l’entrée de la section 49 3.2.1 Maillage

une augmentation de température de 1°C c’est à dire: 1 dw t =   W dT 6 I-2- EXERCICES EXERCICE N°1 Du pétrole avec une viscosité dynamique égale à  = 0,0766 N.s/m² coule le long d’une section avec un profil de vitesse (u) donnée par l’expression suivante: u = 29,26 y - 351,13 [m/s] Où y est la distance à la paroi. Déterminer la contrainte de cisaillement au niveau de la paroi. CORRIGE Pour y = 0

en régime permanent  dT   dT  ⇒ −λ S   = −λ S    dx  x  dx  x + dx ϕ x = ϕ x + dx D’où dT dx = A et T(x) = A x + B Avec les conditions aux limites : T (x = 0) = T1 x T = T1 − D’où : e et T (x = e) = T2 (T1 − T2 ) (2.6) Le profil de température est donc linéaire. La densité de flux de chaleur traversant le mur s’en déduit par la dT relation : φ = −λ , d’où : dx λ (T1 − T2 ) (2.7) φ= e La relation (2.7) peut également se mettre sous la forme : ϕ = (T1 − T2 ) e , cette relation

froid est la résultante de trois phénomènes successifs: • Convection entre le fluide chaud et la face externe de la paroi solide. • • Conduction à travers cette paroi solide. Convection entre la face interne de la paroi solide et le fluide froid. profil de température lors de l’échange à travers un élément de surface dS 27 II.4 Évaluation du coefficient d’échange global la convection dans le fluide chaud est régie par un coefficient de convection hc permettant de définir une résistance thermique