Profit Marx Keynes Ricardo

conso effective (70% du PIB) on ajoute au conso payante les conso individualisables (services publics dont on peut identifier le conso) → Parler des pays du sud Les déterminants de la consommation 1) La loi fondamentale de Keynes et ses critiques a. La loi de Keynes n’est pas toujours vérifiée d’où les 1ères reformulations QD le revenu augmente la conso augmente mais ds une moindre mesure Propension moyenne à consommer = C/ Y (elle est décroissante car la constante pèse de moins en moins

La division du L dans la manufacture d’épingles permet d’être plus productif et par extension plus riche. Smith et Ricardo dans le théorème des avantages absolus. Ricardo prolonge avec celui des avantages comparatifs. Ces deux économistes sont d’accord sur la valeur L. Pour William Petty, on parle de quantité de travail incorporée dans une marchandise Smith et Ricardo distinguent le prix naturel (coût du travail) et le prix de marché (à combien est vendu un bien sur un marché). Le coût en

L’école classique ou l’avènement du capitalisme libéral ............................................. 10 1.2.3. Karl Marx et la pensée socialiste ................................................................................ 16 1.2.4. Les néoclassiques...................................................................................................... 18 1.2.5. John Maynard Keynes................................................................................................ 21 Conclusion du chapitre

réactions doctrinales contre l’école classique et néo-classique - FOURIER décrit une société idéale socialiste, socialisante, voir communiste -PROUDHON un plan d’organisation de la classe ouvrière -LES PROTECTIONNISTES la plus imp. réaction vient de MARX pour lui le socialisme à une base scientifique on parle de socialisme scientifique -L’ECOLE HISTORIQUE ALLEMEANDE de 1860 pour eux les économistes doivent: -partir des faits -les classer -les analyser - pas utiliser de lois générales

que ce créé le commerce triangulaire. Ici, il y a une imbrication très forte entre politique et économie. L'économie va imposer des décisions politiques. A partir du milieu du 18ème siècle, il va y avoir la révolution industrielle. D'ailleurs, Karl Marx dira que c'est grâce à la colonisation que la révolution industrielle apparaît. Il va y avoir une nouvelle structure sociale avec l'apparition des bourgeois (non pas les habitants de Bourg) économique, celui qui dispose du capital. Ce développement

caste. Dans la société traditionnelle, cette division est idéologique, tient du mythe c’est-à-dire que dans les sociétés non-capitalistes, celui qui profite du travail des autres doit avoir une bonne raison de le faire (par rapport à son statut) sans lui-même travailler. Dans les sociétés capitalistes, cette légitimité n’existe pas, celui qui profite du travail des autres est propriétaire, propriétaire des moyens de production et propriétaire des dettes. La légitimité ne s’appuie sur aucune logique

14) : le pouvoir du roi est voulu par Dieu. On voit peu à peu une pensée po. qui se détache de toutes règles morales, religieuse : ⇨ pour que tout aille bien il faut augmenter les richesses par le travail (le travail n’est plus un péché) et le profit. Il faut augmenter la possession de métaux précieux. Or à l’époque l’Espagne domine l’Europe et avec l’Amérique ils détiennent l’or. On débouche sur une pensée normative. On cherche des règles, des normes, quelque chose de concret. Cette pensée

libéraux contemporains Adam Smith (1723-1790) est le père fondateur de l’économie classique, son ouvrage « Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations ». David Ricardo (1767-1832), il a écrit « Les principes de l’économie politique et de l’impôt ». Jean-Baptiste Say (1767 – 1832), contemporain de Ricardo, il a écrit  « Traiter l’économie politique ». A. LE COURANT CLASSIQUE Les classiques et leurs idées : 1. La valeur des marchandises : La valeur en usage : elle résulte de l’utilité

économique commencent avec les auteurs des XVIIème (A. de Montchrestien, Boisguilbert, J. Bodin, G. Botero, W. Petty, J. Law, J.-B. Colbert, etc.), XVIIIème (A. Smith, Dr Quesnay, Vauban, J. Necker, etc.) et XIXème siècles (S. Mill, D. Ricardo, Malthus, J.-B. Say, K. Marx, G. de Molinari, etc.). Certains manuels évoquent bien quelques "lois" économiques identifiées par des auteurs plus ou moins anciens (la valeur d’usage d’un bien par Aristote et d’autres dans l’Antiquité, le traité sur la monnaie de

élus (Frondes des Princes et des Parlementaires en 1648, conjurations nobiliaires diverses...) déstabilisent l'administration du royaume - et enfin, la mauvaise situation financière du Roi en 1653 renforcée par des détournements de richesses au profit de l'Angleterre fait douter de ses capacités à gouverner. La France est alors dans une situation dominée par "l'esprit de vertige" (Voltaire). Le pays a néanmoins quelques atouts : - l'unification de la monnaie en 1640 autour du Louis et l'existence