Profit

Dans quelle mesure la demande est-elle un déterminant de l’investissement ? Les préoccupations actuelles des entreprises sont plus que jamais d’investir, afin de voir augmenter leurs profits. Qu’est-ce que l’investissement ? L'investissement est l'action d'investir, c'est-à-dire d'acquérir de nouveaux moyens de production, d'améliorer leur rendement ou de placer des capitaux dans une activité économique, dans une entreprise, etc.. La demande c’est-à-dire la quantité d’un produit ou service qui

est en fait partisan d’une évolution perpétuelle, et fait passer l’entreprise d’un cycle de production routinier sans bénéfice à un cycle vertueux d’innovation. Dans l’économie stationnaire le profit n’est pas envisageable, car la vente rembourse la production ; à l’inverse, l’innovation va permettre des profits du fait de la mise sur le marché de produits nouveaux, l’entrepreneur crée ainsi un monopole de rente qui lui permet de financer son investissement de départ. L’entrepreneur schumpétérien « galope

Chapitre IV - La maximisation du profit en concurrence pure et parfaite Section I - La maximisation du profit de la firme Afin de décrire le comportement de la firme, on va poser deux hypothèses fondamentales : - on suppose que l’objectif de la firme est de réaliser le profit le plus élevé possible - on suppose que l’entreprise considère les prix de facteurs de production qu’elle achète et le prix des produits qu’elle vend comme des données déterminées sur le marché et qu’elle ne peut pas modifier

PARTIE 2 : LA COORDINATION PAR LE MARCHE Chapitre n°5 : La décision de production de l’entreprise : La productivité et le profit. Pbq : Que peut améliorer l’entreprise en combinant ses différents facteurs de production ? 1. La combinaison des facteurs de production Les facteurs de production sont les ressources, matérielles ou non, utilisées dans le processus de production de biens et de services. Ils sont limités en quantité et entrent dans un processus qui demande du temps. Nous

productivité peut stimuler l’offre par les profits. La hausse de la productivité résulte du progrès technique et permet des profits. En effet les innovations permettent des gains de productivité : chaque unité coûte moins cher à fabriquer puisque la productivité a augmenté, si on maintient le prix à son même niveau qu’avant cette hausse, alors la marge de l’entreprise augmentera ! Celle-ci réalisera donc davantage de profits pouvant être utilisé différemment. Si les profits sont distribués aux actionnaires

qu’il existe un cercle vertueux de l’accumulation du capital. Π=>S=>K=>Y=>R L’accumulation du capital permet la croissance, pour accroitre le capital il faut épargner. L’épargne est soutenue par les profits ; la production engendre les revenus et donc les profits. Le capital chez les Classiques (et chez Marx) est tout ce qui permet de produire, le travail productif et le salaire versé au travailleur productif sont du capital. Chez les Classiques, le capital se décompose en

graphique), qui montre l’évolution du profit d’Apple depuis 1996, les innovations évoquées plus haut ont eu des répercutions importantes, même si elles se sont parfois faites attendre. En effet, le profit de la firme ne connait pas d’évolution remarquable rapidement après la mise en vente de l’iPod. Cependant, on peut voir qu’Apple a su profiter de l’effet de démocratisation de l’informatique qui se fait sentir depuis quelques années, car on remarque que depuis 2005 les profits augmentent et cette hausse est

leur désir d’être un peu plus riche, se verraient vendre leurs organes sous n’importe quel prétexte. Les détenteurs de capitaux pourraient abuser de leur pouvoir sur les donneurs potentiels, voire étendre les ventes d’organes pour augmenter leurs profits. Ainsi comme le décrit Rousseau dans les Discours de l’origine et fondements de l’inégalité : au rapport de l’Homme à la nature se subsistent les rapports de servitude des hommes entre eux, car la loi d’échange impose la rivalité économique et engendre

hypothèses du modèle néoclassique (maximisation du profit, rationalité parfaite, CPP, contraintes de prix et de technologie) Ø Les réponses aux critiques adressées à la théorie néoclassique (le « as if » de Friedman et le « pantin abstrait » de Machlup) 4 Chapitre 1: LA FIRME NEO-CLASSIQUE ET SES LIMITES 2. La remise en cause de l’approche néo-classique Ø La question de l’entrepreneur (Schumpeter) Ø La remise en cause du seul objectif de maximisation du profit (Berle et Means, Baumol) Ø L’hypothèse de

* le partage du profit : la règle des trois tiers ? Nicolas Sarkozy lors de sa conférence de presse à l'Elysée le 5 février dernier a déclaré : il faut que les entreprises partagent leurs bénéfices en trois tiers. Un tiers pour les actionnaires, un tiers pour les salariés sous forme d'intéressement et de participation aux bénéfices et un tiers qu'elles conservent pour financer leurs investissements et leur développement. Qu'en est-il dans les faits ? Un article d'Alternatives