Progestérone

: somathormone CRF : CRH=stimulant Somatostatine=inhibant Axe de la lactation PIF(prolactin inhibiting factor):dopamine Axe de la pigmentation ? MSH Gonade (follicules, spermatogénèse Tissu interstitiel:oestrogènes, progesterone, testostérone. Somatomédine = IGF1(insulin like growth factor) mélanocytes Tableau 1 : hormones des axes hypothalamo-hypophysaires et périphériques • Les hormones hypothalamiques hypophysiotropes: hormones sécrétées par l’HT et agissant

que la testostérone est une hormone faisant partie de la famille des androgènes, ayant un rôle crucial dans la stimulation de la libido. Débutons par la femme. La FSH et la LH stimuleront la production de progestérone et d’une certaine quantité de testostérone par les ovaires. La progestérone inhibe une partie de la testostérone donc, une moins forte libido. Du côté des hommes, la LH et FSH stimuleront eux aussi la testostérone, mais par la prostate et les testicules. Comme mentionnée plus haut

des zones réticulée et fasciculée. La zone glomérulée en est indépendante. Les molécules de la corticosurrénale sont lipidiques mais peuvent entrer directement dans la cellule. Cholestérol Aldostérone Prégnénolone Progestérone DéoxyCorticostérone Corticostérone Prégnénolone Progestérone DihydroxyProgestérone 38 Cortisol Les sécrétions (d’aldostérone et surtout de cortisol) sont rythmiques, à cause de l’ACTH qui est libéré par flash de 10 minutes toutes les demi-heures. On trouve en plus, un

STERILET LIBERANT DES HORMONES : il libere une hormone progestative qui empeche la proliferation de l'endometre, perturbe la mobilité des spermatozoides et la consistance de la glaire cervicale. (MIRENA) Dans le cas de celui avec l’hormone progestérone, il provoque un épaississement de la glaire cervicale bloquant le passage des spermatozoïdes et il modifie l’endomètre. Chez certaines femmes, le dispositif hormonal intra-utérin peut empêcher la libération d’ovules. Le stérilet est un contraceptif

préférable, soit d’attendre, soit d’utiliser la méthode médicale, l’anti-progestérone, le RU 486. IVG chirurgicaleL'IVG effectuée par la méthode chirurgicale consiste à vider l’utérus de son contenu par aspiration. L’acte est d’autant plus simple qu’il est pratiqué tôt dans la grossesse, à partir de 10-15 jours de retard de règles. Avant ce terme, il est préférable, soit d’attendre, soit d’utiliser la méthode médicale, l’anti-progestérone, le RU 486. Hospitalisation, anesthésieL'acte, ne nécessite pas

Spermatogénèse : ensemble des étapes qui aboutissent à la production des spermatozoïdes. Flagelle : permet la mobilité du spermatozoïde et des mitochondries. Follicule : petit sac pluricellulaire qui renferme un ovocyte. Corps jaune : sécrète la progestérone. Progestérone : hormone de gestation. Ovogénèse : transformation progressive d'une cellule diploïde appelée ovogonie en une cellule haploïde appelée ovule ou ovocyte II. Aménorrhée : absence de règles. Ménaupose : arrêt des cycles menstruels. Régulation

pilules contiennent une ou deux hormones similaires aux hormones féminines naturelles mais il en existe deux types : - les pilules «combinées» (PC) (ou oestroprogestatives), sont les pilules qui contiennent deux hormones (l’œstrogène et la progestérone). Elles bloquent l'ovulation au bout de 7 jours. C’est la méthode la plus proposée aux femmes. Son efficacité approche les 99%, à la condition de la prendre régulièrement. - les pilules microprogestatives (PP) contiennent seulement un progestatif

contraceptive hormonale qui modifie les taux d'hormones chez la femme, empêchant ainsi la libération d'ovules par les ovaires.  La plupart des pilules associent deux types d'hormones, identiques à celles produites par la femme : l'oestrogène et la progestérone, hormones participant au cycle de la femme. La pilule empêche la survenue d'une grossesse dans presque 100 % des cas, si elle est correctement utilisée. Ses avantages : - Elle permet de régulariser les règles et de les rendre parfois moins abondantes

taux d'hormones chez la femme, ce qui empêche donc la libération des ovules par les ovaires. La plupart des pilules contraceptives assemblent deux types d'hormones présentent chez la femme : l'œstrogène et la progestérone. Il y a différentes pilules qui ont différentes doses de progestérone et d'œstrogène. La pilule est efficace dans presque 100% des cas. Les désavantages de la pilules sont qu'elle ne protège pas des IST ni des MST (Infections & Maladies Sexuellement Transmissibles) donc en

premier traitement contraceptif qui utilise des hormones ovariennes. Ce traitement ne rencontre pas de succès, car les hormones doivent être injectées, ce qui rend leur emploi malaisé. Toutefois, il est démontré que les hormones oestrogènes et progestérone, si elles sont présentes en grande quantité dans le corps, empêchent ʻovulation (ainsi que le déclenchement des règles: souvenez-vous  ; cʼest la baisse de la quantité de ces hormones dans le sang qui déclenchait les règles, cf chap. 10). ! 15