Programme des Nations unies pour l'environnement

Constitution Centrafricaine Suite au lancement des travaux de rédaction de l’avant-projet de la Constitution, les Organisations de la Société Civile (OSC) centrafricaine, membres de la Plateforme pour la Gestion Durable des Ressources Naturelles et de l’Environnement (GDRNE) ; le Conseil Inter ONG Centrafricaine (CIONG-CA) ; le Réseau des Populations Locales et Autochtones de Centrafrique (REPALCA) ; la Conférence des Ecosystèmes de Forêts Denses et Humides de l’Afrique Centrale (CEFDHAC) ; Observatoire National

•  93 ans. C'est un peu la toute dernière étape.  La fin n'est plus bien loin.  Quelle  chance de pouvoir en profiter pour rappeler ce qui a servi de socle à mon engagement  politique : les années de résistance et le programme élaboré il y a soixante­six ans par  le Conseil national de la  Résistance! C'est  à  Jean Moulin que nous  devons,  dans le  cadre de ce Conseil, la réunion de toutes les composantes de la France occupée, les  mouvements,  les   partis,  les  syndicats,   pour  proclamer

d'énergie insiste sur la préservation de l'environnement. Aussi est-il important d'être bien clair sur les termes. Le développement durable a été défini comme « le développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre la capacité des générations futures à répondre aux leurs » selon le rapport Brundtland – du nom du Premier ministre norvégien – publié en 1987. Ainsi, le développement durable implique non seulement le respect de l'environnement, mais aussi la réduction des inégalités sociales

climatiques sont pourtant les plus vulnérables. D’autre part, les comportements individuels sont concernés au même titre que les FNT. Cette problématique a fait l’objet de nombreuses conférences internationales, notamment la Convention cadre des Nations Unies sur le changement climatique (CCNUCC), signé lors du sommet de la Terre à Rio en 1992, puis complétée par le protocole de Kyoto en 1997. I. Le rôle économique 1.1 L’impact du changement climatique Le développement économique désigne les évolutions

Etats, ça signifie que lorsqu’un Eta invoque pour mener une action internationale la satisfaction d’objectif altruisme. Selon eux, ce type de discours traditionnel dans la pratique des Etats doit être dépassé, tout Etat a des arrières pensées, un programme caché. Toute action vise à satisfaire ses intérêts. Ce discours réaliste est d’un pessimiste fort mais permet d’éviter des relations trop pacifiques. Cette pensée réaliste va être très largement remise en cause par la 2nde WW. Les réalistes se transforment

conclusion qualitative : Définition de l’Indice de Développement Humain (non valorisée) : L'indice de développement humain (IDH), développé en 1990 par l'économiste indien Amartya Sen est un indice statistique composite, créé par le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD) pour évaluer le niveau de développement humain des pays du monde. L'IDH se fonde sur trois critères majeurs : l'espérance de vie, le niveau d'éducation et le niveau de vie. Le tableau présenté dans le document

après la conférence de Stockholm, cette rencontre voit la consécration de la notion de développement durable et sa médiatisation auprès du grand public. Il en ressort également l’adoption de la Déclaration de Rio ainsi que la mise en place d’un programme d’action appelé Agenda 21. 1997 – Conférence de Kyoto Lors de cette conférence a été mis en place le protocole de Kyoto. Ce traité international visant la réduction des émissions de gaz à effet de serre, a été ratifié par 184 pays en 2009. Seulement

Matière : Institutions sociales Thème : Coopérations internationales (USAID, GTZ,AFD) Plan de l’exposé Introduction  I. Agence des états unis pour le développement (USAID) * Présentation de l’USAID * Principaux programmes mis en œuvre au Maroc III. Organisation de coopération technique allemande *  Présentation de la GTZ * La GTZ au Maroc * Etude de cas II. Agence Française de développement (AFD) * AFD, objectifs et partenaires. * Secteurs d’interventions

République de Djibouti Ministère de l'Habitat, de l'Urbanisme, de l'Environnement et de l'Aménagement du Territoire Direction de l'Aménagement du Territoire et de l'Environnement COMMUNICATION NATIONALE INITIALE DE LA REPUBLIQUE DE DJIBOUTI A LA CONVENTION CADRE DES NATIONS UNIES SUR LES CHANGEMENTS CLIMATIQUES RESUME Décembre 2001 SOMMAIRE 1. 2 3 Circonstances nationales .................................................................................................... 3 Inventaire

internationaux fondamentaux : la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC). Son traité fils, le protocole de Kyoto, a été ouvert à ratification le 16 mars 1998, et est entré en vigueur en février 2005. Il a été ratifié à ce jour par 172 pays à l'exception notable des États-Unis. Notons qu'une charte similaire, la Charte des Verts mondiaux, dans laquelle ils se sont engagés à poser des actions ciblés dans le domaine de l'environnement. Tous les pays membres de la convention