Programme Musculation Lanceur De Poids

technologique série Accompagnement des programmes Éducation physique et sportive (II) classes de seconde, première et terminale Ministère de l’Éducation nationale Direction de l’Enseignement scolaire Seconde programme applicable à la rentrée 2000 Première programme applicable à la rentrée 2001 Terminale programme applicable à la rentrée 2002 Centre national de documentation pédagogique Ce document a été réalisé par des membres du groupe d’experts sur les programmes scolaires d’éducation physique

stéroïde peut interagir avec l’ADN des cellules et stimuler le processus de synthèse des protéines qui favorisent la croissance du muscle. Ce phénomène de croissance est appelé l’hypertrophie musculaire. Lorsqu’une personne s’entraîne en soulevant un poids, cela crée une minuscule micro déchirure dans les fibres musculaires. Le processus naturel de réparation du corps répare cette déchirure, puis la compense en ajoutant des cellules plus grosses afin de construire une fibre plus forte.4 Par ce processus

effets sur l’appareil cardio-vasculaire B. L’entraînement, facteur de progrès C. Le test de Ruffier 8. Les qualités physiques de base et leur amélioration A. Les qualités de base B. La puissance ou force Comment l’améliorer - Les procédés - La musculation - Circuit et fiche de progrès C. La vitesse Le système neurologique - Le système musculaire D. L’endurance Comment l’améliorer - Définition de la VMA - Connaissance et test - Procédés E. La souplesse Comment l’améliorer - Le streching F. La coordination

Ruffier Sommaire général 4 Chapitre 4 Sommaire Physiologie et entraînement p. 61 8. Les qualités physiques de base et leur amélioration A. Les qualités de base B. La puissance ou force Comment l’améliorer - Les procédés - La musculation - Circuit et fiche de progrès C. La vitesse Le système neurologique - Le système musculaire D. L’endurance Comment l’améliorer - Définition de la VMA - Connaissance et test - Procédés E. La souplesse Comment l’améliorer - Le streching F. La coordination

 Rationalité à finalité : forme dominante de la pensée scientifique : Dans ce cas de figure, c’est le but recherché à travers l’alimentation qui guide les décisions alimentaires manger pour être en bonne santé manger pour maintenir un certain poids , ou manger pour optimiser la performance physique . Les individus qui optent pour cette forme de rationalité sont conscients du lien existant entre alimentation et santé, alimentation et esthétique, alimentation et état spirituel… 7 8 JEAN

 Rationalité à finalité : forme dominante de la pensée scientifique : Dans ce cas de figure, c’est le but recherché à travers l’alimentation qui guide les décisions alimentaires manger pour être en bonne santé manger pour maintenir un certain poids , ou manger pour optimiser la performance physique . Les individus qui optent pour cette forme de rationalité sont conscients du lien existant entre alimentation et santé, alimentation et esthétique, alimentation et état spirituel… 7 8 JEAN

animateurs des écoles d’athlétisme de cerner au mieux les principes d’entraînement du jeune athlète en devenir (benjamins et minimes). Il est la suite logique du travail effectué dans les écoles primaires avec les enfants de 8 à 12 ans à travers le programme du Kids’ Athletics de l’IAAF. Il sera suivi d’un autre ouvrage concernant l’entraînement des cadets (16-17 ans) dans les Centres Régionaux de la Confédération Africaine d’Athlétisme (CAA), étape intermédiaire avant l’accès aux Centres de haut niveau

une question, des « blocs » à mettre en relation, des « mots-clés » dont il conviendra de préciser les définitions dès l’introduction. En toile de fond d’une périodisation implicite (reprenant l’intégralité des bornes chronologiques fixées par le programme du concours), une problématique centrale en EPS (contribution de l’enseignant à la construction identitaire de l’élève) et un objet sociologique et historique (le genre) faisant l’objet de nombreux débats, autour d’une abondante production scientifique

procédés. En effet, dés le VIème siècle avant J-C, les athlètes grecs en quelque sorte se dopaient. Ils mangeaient selon la discipline qu'ils exerçaient des viandes variées : les sauteurs mangeaient de la viande de chèvre, les boxeurs et les lanceurs de la viande de taureau et quant aux lutteurs, ils préféraient de la viande grasse de porc. Pour plus d'efficacité, ils mangeaient les testicules des bêtes qu'ils considéraient les plus fortes et l’hydromel avait la faveur de ce peuple. [pic]

laquelle nous adhérons en temps qu’étudiants STAPS, il ne faut pas perdre le vue le fait que cette définition ne correspond pas nécessairement à la manière dont la majeure partie de la population française définit le sport. Depuis les années 80 le poids des fédérations sur la vision que les français se font du sport, s'est grandement affaibli et aujourd'hui, la définition du sport dans le sens commun et de nouveaux très ouverte. Comme en témoigne celle qui figure Hachette de 1990 : « Comme activité