Proie

capture sa proie grâce aux gouttes de mucilage situées sur l’extrémité de ses cils. Les insectes, attirés par les reflets des gouttelettes (ce qui explique le nom de la plante qui signifie "couvert de rosée") et les couleurs souvent vives, croient venir se désaltérer et se retrouvent englués Plus ils essaient de s’en détacher, plus ils s’y collent. Les cils mobiles se recourbent alors autour de l’insecte pour commencer la digestion. Il arrive parfois que la feuille se déploie carrément sur sa proie pour

son milieu naturel. En effet, la fourrure fauve des autres lions leur permet de se camoufler dans la végétation, et d’approcher les proies discrètement. En revanche, le lionceau blanc, lui, a une robe particulièrement visible, et se trouve être une proie rêvée pour les prédateurs ; et le lion blanc, adulte, qui ne peut se fondre dans le paysage, est moins efficace à la chasse que ses congénères.UNE RARETE ZOOLOGIQUE La dizaine de lions blancs que le public peut admirer dans quelques rares parcs zoologiques

conflits armés et deux Intifada, la région est devenue une véritable poudrière prête à s'embraser à la moindre provocation. Aujourd’hui, elle est de nouveau en proie à une poussée de violences, et l’on craint l’éclatement d’une troisième Intifada. Comment le Proche Orient, qui au lendemain de la guerre n’était pas spécialement en proie aux troubles, est-il devenu à cause du conflit israélo-arabe la première zone de désordre au niveau mondial ? C’est la création de l’Etat d’Israël qui est

incontrôlable, qui éclate brusquement et envahie les protagonistes. La vue de l'autre est l'étincelle qui déchaîne cette puissance. Andromaque est notamment une tragédie très violente car les passions sont portées au paroxysme et tous les personnages sont en proie à la l’amour passionnel. La notion de mort, liée au tragique, est donc très présente. Dès les premiers vers Oreste parle de son amour pour Hermione en ces termes, v.28 « Mais qui sait ce qu’il doit ordonner de mon sort et si je viens chercher, ou

idéal » plus complexe que celui qui invite à s’élever vers des principes supérieurs. Moins manichéen que celui de Victor Hugo, le symbolisme de Baudelaire est aussi une « poésie du mal » inspirée par le « spleen ». Le poète révolté, « maudit », est en proie à la double postulation, Dieu et Satan, le « spleen » et l’ « idéal ». L’ « idéal » baudelairien peut être celui qui correspond à une vision métaphysique avec les « vivants piliers » des « forêts de symboles » d’une « Nature » comparée à un « temple

faiblesse, son infériorité flagrante face au Loup. L’Agneau est à l’autre extrême du règne animal. De ce fait il est compté comme étant un animal faible tout comme il l’est dans l’ordre naturel des choses : un petit herbivore n’étant qu’une simple proie pour plus fort que lui. Il est jeune : « je tette encore ma mère » et donc inexpérimenté, domestiqué et surtout très naïf. Il croit pouvoir négocier sa fuite avec une créature rusé sans foi ni loi, en le flattant : « Sire, répond l’Agneau, que votre

pourriture.  Le climat est de plus en plus menaçant, le poète est hanté par des présences menaçantes, "peuple muet d'infâmes araignées" (v. 11) => son cerveau n'est plus qu'une toile d'araignée. C)  La prison d'abord extérieur au poète en proie au spleen finit par être intérieur.  Le ciel est un couvercle qui enferme l'esprit à la manière d'un cercle .  La pluie dessine une immense prison, vaste (v.10) mais extérieur.  La prison finit par s'installer à l'intérieur de l'homme, de

de plus en plus menaçant, le poète est hanté par des présences menaçantes, "peuple muet d'infâmes araignées" (v. 11) => son cerveau n'est plus qu'une toile d'araignée. C) L’image de l’enfermement - La prison d'abord extérieur au poète en proie au spleen finit par être intérieur. - Le ciel est un couvercle qui enferme l'esprit à la manière d'un cercle . - La pluie dessine une immense prison, vaste (v.10) mais extérieur. - La prison finit par s'installer à l'intérieur de l'homme

Français OBS. OUTILS SENS AXES l.34/40 « Ah que cett taille est jolie », « haussez votre tête », « ouvrez vos yeux », « vois vos dents » –> Don Juan est un prédateur qui considère Charlotte comme sa proie, comme un objet de bétail, en faisant une autopsie « autre pièce nouvelle », « rien »x2, « vaut » –> Anaphore l.4 et 16 « Ah ! D'où sort cette autre paysanne, Sganarelle » Il oublie rapidement son malheur a la vue d'une autre paysanne, il

valeur « Il se retourna et jeta un lent regard au bien des Beauchemin. De ses petits yeux bridés à la façon du renard en contemplation devant une proie, il en mesura la richesse: vingt-sept arpents, neuf perches, par deux arpents, sept perches, plus ou moins.» (p.25). Cette métaphore compare les yeux de Pierre-Come à ceux d’un renard qui observe sa proie avant d’attaquer. Ce qui met en avant le souhait de Pierre-Come d’avoir la richesse et le succès que la terre fournit aux Beauchemin. Bref, il est