Proie

société, dit-on, au temps jadis, Et mirent en commun le gain et le dommage. Dans les lacs de la Chèvre un Cerf se trouva pris. Vers ses associés aussitôt elle envoie. Eux venus, le Lion par ses ongles compta, Et dit : "Nous sommes quatre à partager la proie. " Puis en autant de parts le Cerf il dépeça ; Prit pour lui la première en qualité de Sire : "Elle doit être à moi, dit-il ; et la raison, C'est que je m'appelle Lion : A cela l'on n'a rien à dire. La seconde, par droit, me doit échoir encor : Ce

femme est chalereuse, mais c’est un danger en même temps (l.10-11 „lune redoutable“ l.12 „sinistre“) -le front où „habite la volonté tenace“-expression métaphorique, une personification -il y a une certaine violence qui va jusqu‘ à l’amour de la proie -l’auteur est intéressé par le rire (l.19 „éclat le rire d’une grande bouche“) -cette femme inspire un bonheur spirituel, ce qui n’est pas commun -ce n’est pas seulement une passion amoureuse, c’est une femme de rêve -elle est intéressante

répand la terreur » : allusion à la peste  situation de crise qui permet de brosser un portrait de la société en analysant les réactions de chacun + accentué par le champ lexical de la violence et de la mort : « Achéron », « mourante », « guerre », proie », « terreur ». Allitération en « r » qui confirme cette atmosphère sinistre et macabre. -Référence explicite à la mythologie avec l’allusion à « l’Achéron ». -Idée du destin et de la fatalité, force supérieure qui guide le destin, très caractéristiques

sur la vie des SDF. II- Un témoignage bouleversant. I- Un texte qui nous renseigne sur la vie des SDF. (un texte informatif) Le danger est omniprésent : champ lexical du danger. L.2 « dangereuse » ; l.5 « risques » - « des dangers » ; l.9 « proie ». Pour survivre il faut suivre certaines régles. On ne peut pas rester longtemps au même endroit et on doit se fondre dans le décor. (1er paragraphe) Verbe de mouvement : marcher pour ne pas avoir froid et aussi pour ne pas se faire reprérer. Donc

mère qui habite une masure de Molines. Guillaume ramasse du bois, quand il aperçoit une grenouille dans une clairière. Une jolie grenouille verte aux yeux d’or mais en danger d’être avalée par un renard. Il fonce sur le goupil, l’oblige à lâcher sa proie et emporte le batracien chez lui. Lelendemain, la grenouille est assise sur la table et coasse. Elle saute par la fenêtre ets’enfuit dans la forêt, mais laisse derrière elle une bourse emplie de pièces d’or! Lamère tombe à genoux. Grâce à cet argent

évolution de celui-ci au cours du roman. En définitive le couvent est l'unique lieu où une victime telle que Cécile puissese sentir en sécurité. Ce n'est donc pas une surprise lorsque celle ci le réintègre à la fin. I Victime des libertins a) Une proie facile Cécile nous est décrite dès le début du roman comme "un bouton de rose, gauche et nullement manièrée" à la lettre 2 de la marquise de Merteuil. Merteuil caractérise d'emblée Cécile et ce avec une grande justesse. En effet tout au long du

violemment Oenone venue la réconforter (scène 6). Acte V Cet acte s'ouvre sur Hippolyte qui, ne voulant pas causer à son père un terrible chagrin, promet à Aricie de l'épouser hors de la ville. Cette dernière s'entretient avec Thésée (scène 3) qui en proie au doute, demande à voir Oenone (scène 4).La nouvelle du suicide de la servante lui parvient à cet instant, ce qui ne fait qu'augmenter ses craintes et le fait revenir sur ses malédictions. La scène 6 est celle du récit déchirant de Théramène annonçant

invitant ainsi à n'utiliser le mot qu'avec parcimonie. Nos deux oiseaux des îles ne sont donc pas tanguants sur je ne sais quel bateau (on n'est pas dans "L'Albatros") mais seulement en proie à un sévère délire (cf "implacable calenture") qui d'ailleurs les "torture" : Baudelaire aime bien que les anges soient en proie à la torture, c'est son côté "vilain garçon"; que voulez-vous ? c'est comme ça ! Et on n'y pourra rien changer... Oh bin oui, comme vous dites, Madame Michu... D'ailleurs, il faut qu'ils

être un animal ou autre. Dès la première ligne, le désir de Clélia et Fabrice est mis en avant puisque le narrateur par de "tous les genres de folies auxquels furent en proie, ce jour-là, les coeurs de Fabrice et Clélia", c'est le seul moment du passage que le narrateur montrera ce que ressentent les personnages. Fabrice est en proie de désir tout le long de l'extrait, il désire savoir qui lui a envoyé le billet, quand il découvre que c'est Clélia et lorsqu'ils se parlent. Ses désirs le font passer

qui se déplace. Cela peut rentrer dans les relations d'exploitation, pour l'être qui se fait tuer, mais aussi dans les relations de compétition dans le cas de deux prédateurs potentiels sur une même proie. Exemple animal : Le guépard est un mammifère qui chasse en individuel à la course et la proie profite au groupe. Exemple végétal : La plante carnivore chasse en individuel et sur place, de petits insectes. Ce phénomène induit un rôle régulateur car l'herbivore régule sa population par