Promenade De Picasso

eux, l’espace urbain prend une autre dimension en s’affranchissant d’une stricte fonctionnalité. Murs, palissades, trottoirs, chaussées, panneaux de signalisation, boîtes aux lettres, etc. deviennent supports de création et offrent au passant une promenade poétique. Certaines oeuvres nous font sourire, d’autres nous font réfléchir… Toutes suscitent en nous une réaction, entre émotion, interrogation et engagement… Soumis aux aléas de la rue, du climat et à l’érosion du temps, le Street art est un art

Pueblo Espanyol Déjeuner : panier repas/ visite du quartier gothique + Cathédrale Dîner + nuitée Dernier jour : Vendredi25 mars 2011 10h00- 10h10- 10h20 : visite du musée Maritime Déjeuner : panier repas 13h15 : visite de l’Aquarium 16h15 : promenade en golondrinas (45min) 18h30 : dîner au restaurant Micky’s 20h30-> 21h : spectacle de Flamenco/ 21h15 départ pour le retour 4)Description du 1er jour avec mon avis : Lundi 21 mars 2011 : Ce premier jour il ne s’est pas vraiment passé

certains tableaux de Picasso et de Braque mais aussi des toiles puristes en lien avec l’architecture défendue par Le Corbusier. Le banquier habite donc cette villa et y reçoit régulièrement ses hôtes, venus entre autres pour admirer sa collection d’œuvres. Le Corbusier conçoit d’ailleurs la villa comme un lieu d’exposition : les pièces et les espaces s’organisent de manière à ce que le visiteur suive un chemin précis le menant vers la galerie des tableaux, tout en traversant une « promenade d’architecture » :

parfois comme un point de contact entre les corps et les individus. Certains personnages ont les yeux grands ouverts et Man Ray excelle alors à traduire l'intensité de ces regards. C'est le cas dans les « Portraits », et notamment, dans ceux de Pablo Picasso ou de Paul Éluard lui-même. Et, dans « L'Évidence », face à ce regard qui ne se cache pas, le titre prend tout son sens. Cependant, les yeux ne sont pas toujours présents sur les corps représentés par Man Ray. Ils brillent alors par leur absence.

déstabilisantes de la très grande ville une certaine lenteur revendiquée. Cette lenteur même qui fait du déplacement plus qu’une simple translation, conformément à l’idée défendue par le philosophe allemand Karl Gottlob Schelle, selon laquelle « la promenade engage avec elle quelque chose de l’esprit ». 8 Mon sujet constitue assurément le point de rencontre entre ce rapport intime à l’espace et au déplacement, patiemment construit sur le mode du vécu, et cette écriture « du lointain » portée entre

amis, c’est tout naturellement qu’il soutient financièrement la diffusion de la revue Portrait de Raoul La Roche l’Esprit Nouveau qu’ils publient de 1920 à 1925. À Photo Sartiny partir de 1921, Raoul La Roche fait l’acquisition d’œuvres de Picasso, Braque, Fernand Léger, Juan Gris, et Jacques Lipchitz. Alors que sa collection s’enrichit considérablement, il est confronté au problème d’accrochage de ses tableaux d’avant-garde. Son appartement rue de Constantine ème dans le 7 arrondissement

scénographie plutôt réussie. Mais décidemment non, Cindy Sherman ne nous parle pas. Tant pis !! Nous redescendons les niveaux successifs et prenons notre dose de Matisse, Klimt, Jasper Johns, Daniel Spoerri, Giacometti, Van Gogh, Jackson Pollock, Picasso et tous les autres !! Tant d'oeuvres d'art majeures dans un aussi bel espace, ça vous donne le tournis !! Puis, pleines de courage, et profitant d'une éclaircie nous décidons de longer Central Park pour nous rendre au Guggenheim Museum. Son architecture

surréalistes américains, considéré comme le pionnier de l’assemblage et se fait connaitre dans les années 30’ pour ses collages surréalistes d'objets et d'images, qui prend forme de boîtes vitrées rassemblant les objets urbains collectés lors de ses promenades. De leur mise en présence naissent des juxtapositions irrationnelles et des rapports poétiques. Appliquant sa rêverie et sa méditation personnelle au cinéma, Cornell a également réalisé des courts-métrages expérimentaux. Le collage est considéré

de la vie elle-même. Ils préconisent donc les promenades sans but. Du côté pictural, Breton considère que la peinture n’a d’intérêt que si elle peut «faire faire un pas à notre connaissance abstraite proprement dite», indépendamment de son rapport au goût. Les contemporains admirés par les surréalistes furent notamment le peintre italien Giorgio de Chirico, les artistes français Marcel Duchamp et Francis Picabia, le peintre espagnol Pablo Picasso… bien qu'aucun d'eux ne fût jamais officiellement

britanniques... Alexandre Dumas déclarait en 1851 que Nice était une ville anglaise où l'on pouvait même rencontrer des Niçois ! Loin de prendre ombrage de cette véritable colonisation, ces derniers baptisèrent beaucoup de rues - outre la fameuse « promenade des Anglais » - en hommage à leurs étranges « invités », comme la « rue Smollett »... Menton était si célèbre pour son climat que les médecins anglais y prescrivaient des séjours à la moindre petite toux ! La rive française du Var fut délaissée