Proposition relative

car. Elles ont pour fonction d’unir soit deux mots ou groupes de mots de même fonction soit deux propositions indépendantes.LES CONJONCTIONS DE SUBORDINATION : comme, lorsque, puisque, quand, que, quoique, si, afin que, après que, avant que, au moment où, bien que, dès que, parce que, pour que, si bien que, tandis que… Elles ont pour fonction d’unir une proposition subordonnée (enchâssée) à une proposition principale. |

déconcerter“ „qui n'avais jamais (…) attention“ Puis après la rencontre il devient personnage inverse : „éloquence“ „tendresse infinie“ „tant d'hardiesse et de facilité à m'exprimer“ + phrases longues, subordonnées disproportionnée avec la proposition principale + rythme binaire dans sub *2 moi *2 ni „et“ = axe „transport“ rejeté en fin de phrase → effet ravageur de la passion = hors de soir même Champ lexical de l'amour : „l'amour me rendait déjà si éclairé“„enflammé“ „amour naissant“ „divinité

s’exprimer. Tandis que pour le narrateur, il est vrai de dire qu’il est un peu désordonné, cependant il ne faut pas nier qu’il n’est qu’un humain et non pas un ange. Questions de langue : Une Proposition subordonnée de temps : « Lorsque » mon tour arriva, je voulus lui expliquer mon problème. Une proposition subordonnée de condition : « Si » vous aviez un billet, eh bien , vous le retrouveriez. Deux subordonnants : Qui Que Le train s’arrête avant que les passagers ne commencent à descendre

un COD : je me le rappelle Anaphore (figure de style)  : Répétition Les fonctions : 1. Le sujet : a) Attention au sujet éloigné et au sujet inversé b) Une proposition subordonnée peut-être sujet d’un verbe 2. Les compléments d’objets a) Un complément d’objet est essentiel et ne peut pas être supprimé b) Une proposition subordonnée peut-être complément d’objet c) Les pronoms personnels en, lui, leur, y peuvent être COI 3. Le complément d’agent Le complément d’agent se rencontre

empruntées au discours direct sont : • les types de phrases : exclamatives, interrogatives (! ?) ; • les marques d’expressivité de la langue orale (Non !) ; • les marques de subjectivité (les manières de parler du personnage) ; • pas de proposition subordonnée. b. Les caractéristiques empruntées au discours indirect Les caractéristiques empruntées au discours indirect sont : • les paroles ne sont précédées d’aucun tiret, ni guillemets ; • les repères de temps et de lieu (« là », « le

quatrains, car ceux-ci sont consacrés à la vision de la morte dans le tombeau, tandis que les tercets évoquent la punition que lui fera subir la mort. Examinons le poème strophe par strophe : Premier quatrain : En évoquant un avenir dans une proposition circonstancielle de temps commençant par «Lorsque tu dormiras», Baudelaire s’adresse à une femme qu’il tutoie, ce qui indique le lien (connivence, proximité) qui l’unit à elle. Il l’appelle «ma belle ténébreuse», ce qui n’est pas tant la féminisation

utilise des phrases injonctives (l.5,l.6 et l.7) construite par parataxe ce qui permet de dénoncer la curiosité des courtisans. La Bruyère utilise une proposition hypothétique (l.3-4 « si les hommes ….abandonnée ») pour montrer leregret que les hommes soient possédés par leurs passions, leur ambition, et leur orgueil au mépris des autres. La proposition subordonnée concessive (l.5 « si vous êtes touchés …en un sujet noble »)relève du conseil et de l’invitation à changer de nature humaine, à adopter

composé, imparfait, Présent Futur Il dit: Il dira: Passé* Il a dit: Il disait: Il avait dit : Il dit : passé simple, plus-que-parfait… Pas de changement du temps du verbe de Modification du temps du verbe de la pro- la proposition au discours rapporté (ex. 1) position au discours rapporté (ex. 2) temps du verbe au temps du verbe au discours direct discours indirect présent imparfait imparfait passé composé passé simple plus-que-parfait plus-que-parfait

a. Indicatif et subjonctif présent b. Les futurs (radical en –r ou –n / divers) 3. Passés simples et imparfaits du subjonctif a. Passés faibles b. Passés forts (en –i / en –s/ en –u). Syntaxe 1. Indicatif, subjonctif et impératif en proposition subordonnée 2. Pronoms relatifs et conjonctions de subordination 3. Passage du discours indirect au discours direct 4. Quelques problèmes d’accord du verbe 5. Syntaxe embarrassée de certaines phrases. Le Conte du Papegaulx, qui contient

du berceau de Berthe qui l’encadrent. Les deux rêves sont exprimés grâce au discours indirect libre, ce qui leur donne une grande proximité formelle. Le discours indirect libre : il se caractérise par l’absence de verbe introducteur ; ainsi, la proposition subordonnée qui contient les paroles rapportées ou les pensées est privée de la principale qui l’introduit habituellement et devient donc la principale de la phrase. Exemple : o discours direct : Elle se demanda : « Comment donc ai-je fait, moi