Prose Du Transsibérien

Rogovine et devient son commis. Rogovine, vendeur de pacotille et aventurier, puis chercheur d'un vieux livre français l'habille de neuf et lui donne un revolver nickelé pour traverser la Sibérie. De ses aventures est né le grand poème: La Prose du Transsibérien. Ensuite il est envoyé par son père chez un correspondant, à Saint-Pétersbourg. En 1905, Cendrars assiste à maints épisodes de la Révolution. À vingt ans, il est en France, hante les milieux littéraires, se lie avec Gustave le Rouge, auteur

aux élèves. En effet, ces poèmes modernes pouvaient déconcerter à la lecture, notamment par leur forme : La Prose du Transsibérien de Blaise Cendrars est un poème en vers libre (et non en prose, contrairement à ce que laissait présager le titre : le terme « prose » était plutôt à comprendre comme relevant du récit, de la narration) et « L'adolescent souffleté » de René Char, un poème en prose (absence de vers). Voici quelques pistes possibles pour la correction. Il fallait évidemment entièrement rédiger

Paris. Désormais je suis Blais Cendrars pourquoi ce nom ? Blaise pour la braise et Cendrars pour les cendre j’aimais bien ce nom parce qu’il fait référence au phénix. En 1913, de mes souvenirs de jeunesse j’ai composé mon plus beau poème, Prose du Transsibérien et de la petite Jehanne de France. J’ai noué des amitiés avec des poètes et des peintres comme Robert et Sonia Delaunay. D’ailleurs elle a peint mon magnifique poème « LE TRANSIBERIEN » sur une fresque pliante de 2 mètres Mais un jour

quitte la Suisse pour un long séjour en Russie puis, en 1911, il se rend à New York où il écriT son premier poème Les Pâques. Il le publie à Paris en 1912 sous le pseudonyme de Blaise Cendrars. En 1913, il écrit son poème le plus célèbre, la prose du Transsibérien. Dès le début de la première guerre mondiale il s'engage comme volontaire étranger dans l'armée. En 1915, il est amputé du bras droit. Il est naturalisé français le 16 février 1916. En 1925, il écrit l'Or. Ce succès mondial va faire de lui

| |prose, vers libres | | | | |Aloysius BERTRAND invente le poème en prose, repris par | | | | |BAUDELAIRE Petits poèmes en prose, RIMBAUD Les | | |

RIMBAUD, CORBIERE, LAFFORGUE, MALLARME - thèmes : paysages-états d’âme où l’harmonie prime sur le sens : Romances sans paroles de VERLAINE - formes : recherche de formes nouvelles : poème en prose, vers libres Aloysius BERTRAND invente le poème en prose, repris par BAUDELAIRE Petits poèmes en prose, RIMBAUD Les Illuminations ; Gustave KAHN écrit le premier recueil en vers libres. XX° Le poète assume son statut marginal et réussit à le concilier avec une vie ordinaire ; il travaille avec

façon la plus évidente dans la forme. Ainsi, un des piliers de la tradition poétique, le vers, s’est défini par opposition à la prose. Mais les poètes s’attaquent à lui : fils révoltés des vers réguliers des poètes humanistes ou classiques, les vers irréguliers ont été détrônés par les vers libres d’un Prévert ou d’un Reverdy, eux-mêmes « contestés » par les poèmes en prose (par exemple ceux d’Aloysius Bertrand) qui sont pour Baudelaire les plus aptes à la « description de la vie moderne », jusqu’à

RIMBAUD, CORBIERE, LAFFORGUE, MALLARME - thèmes : paysages-états d’âme où l’harmonie prime sur le sens : Romances sans paroles de VERLAINE - formes : recherche de formes nouvelles : poème en prose, vers libres Aloysius BERTRAND invente le poème en prose, repris par BAUDELAIRE Petits poèmes en prose, RIMBAUD Les Illuminations ; Gustave KAHN écrit le premier recueil en vers libres. XX° Le poète assume son statut marginal et réussit à le concilier avec une vie ordinaire ; il travaille avec

façon la plus évidente dans la forme. Ainsi, un des piliers de la tradition poétique, le vers, s’est défini par opposition à la prose. Mais les poètes s’attaquent à lui : fils révoltés des vers réguliersdes poètes humanistes ou classiques, les vers irréguliers ont été détrônés par les vers libres d’un Prévert ou d’un Reverdy, eux-mêmes « contestés » par les poèmes en prose (par exemple ceux d’Aloysius Bertrand) qui sont pour Baudelaire les plus aptes à la « description de la vie moderne », jusqu’à

pessimiste, caractérisé avant tout par la laideur (en contradiction avec la nature plus protectrice qu’il avait pu peindre), le monde moderne ne semble pas enchanter le poète. b) Critique de la révolution industrielle / Blaise Cendras dans la Prose du Transsibérien qui en fait l’éloge.