Prosper-Olivier Lissagaray

poudre révélant l'emploi récent d'armes à feu. Les trois principaux charniers à l'intérieur de Paris étaient au Luxembourg (3 charniers), à la caserne Lobau et au cimetière du Père-Lachaise. En 1876, le journaliste et polémiste socialiste Prosper-Olivier Lissagaray, ancien communard, estime de 17 000 à 20 000 le nombre des fusillés. En 1880, le journaliste et homme politique Camille Pelletan, membre du parti Parti radical-socialiste élève le nombre des victimes à 30 000. Pour l'historien britannique

les comités insurrectionnels des mairies périphériques· Radicalisation : · Le 21 mars, article du Journal officiel défendant le prolétariat = « la première note socialiste de cette révolution » selon Prosper-Olivier Lissagaray. · Heurts entre les radicaux et les « amis de l’ordre »· Versailles constitue encore une menace et vise à reprendre Paris· Elections du 26 mars· Opposition entre le « Comité des vingt arrondissements » radical (moins de la moitié)

quotidiens. Nouveaux journaux apparaissent : La Gazette de France, La Quotidienne, Le Journal des Débats, Le Constitutionnel, La Minerve libérale de B. Constant et Le Conservateur de Chateaubriand. 1829 : naissance de la Revue des Deux-Mondes de Prosper Mauroy et de Pierre de Ségur-Dupeyron, rendue deux ans plus tard à un chimiste imprimeur, François Buloz = 1er périodique fr. 1830 : le comte Jules de Polignac reprend le dessus et souhaite en finir avec cette timide ouverture. Polignac : « la presse

qui eut un rôle déterminant durant le congrès de Tours de 1920, dans l'opposition à Lénine et à la SFIC, futur PCF. Marx entretint des relations parfois conflictuelles avec ces deux gendres, ainsi qu'avec un prétendant d'Eleanor, Hippolyte Prosper Olivier Lissagaray, ancien communard comme Longuet. Marx écrivit d'ailleurs à Engels dans une lettre datée du 11 novembre 1882 : « Longuet, dernier proudhoniste, et Lafargue, dernier bakouniste, que le diable les emporte. » Karl Marx aurait également eu un

qui eut un rôle déterminant durant le congrès de Tours de 1920, dans l'opposition à Lénine et à la SFIC, futur PCF. Marx entretint des relations parfois conflictuelles avec ces deux gendres, ainsi qu'avec un prétendant d'Eleanor, Hippolyte Prosper Olivier Lissagaray, ancien communard comme Longuet. Marx écrivit d'ailleurs à Engels dans une lettre datée du 11 novembre 1882 : « Longuet, dernier proudhoniste, et Lafargue, dernier bakouniste, que le diable les emporte. » Karl Marx aurait également eu un

confiance (augmentation des salaires, diminution du temps de travail, interdiction du travail de nuit...) mais assez rapidement les plus lucides se rendent compte que l’éloge faite à cette part de la population n’est que « poudre aux yeux », car selon Prosper Enfantin « le peuple n’avait pas encore de chef, les bourgeois pouvaient dormir tranquillement ». Dès 1831 la classe ouvrière va commencer à s’organiser pour se battre pour ses idées. 2- Le combat de la classe ouvrière pour ses intérêts : la