Protectionnisme Et Inflation

anticipations). • Le « fil du rasoir » ou l’équilibre « hautement instable » Si g (taux de croissance effectif)gw, la pénurie de capital (d’épargne) se traduit par une nouvelle augmentation du taux de croissance, il peut y avoir des tensions (Keynes, inflation de croissance). Les économies sont fondamentalement instables. • Le taux de croissance naturel et le caractère fortuit du plein emploi de long terme gn est le taux de croissance du travail disponible (PA + productivité). Il est fortuit et très

limiter le libre-échange, créer de nouveaux emplois. Etat intervient ac la suppression du libre-échange. État va fixer un certain nbre de règles du jeu. 1. En Angleterre. Les secteurs : La première guerre mondiale va intensifier le protectionnisme. Les citoyens britanniques poussent les portes pr s’enrôler ds la guerre. Mécanisme complexe se met en place : nationalisme (nécessité par l'approvisionnement des armées) et autosatisfaction. Les Anglais veulent éviter que les occidentaux s'approvisionnent

stagnation, il perd du terrain. Les grands blocs continentaux, en Amérique latine, en Asie créeront-ils leur propre monnaie ? À long terme, l’apparente stabilité des monnaies du monde développé est-elle crédible ou sombrera-t-elle dans une nouvelle inflation pour trancher le conflit entre générations dans une Europe vieillissante ? Enfin, seronsnous capables de tirer parti de l’étroit couloir de temps qu’offre la démographie pour exploiter l’opposition entre les pays du Nord, développés, riches en capital

par rapport à la France, ainsi que le déficit de production dans le pays constituent globalement des attraits forts pour le marché Suédois. Par ailleurs, on peut remarquer également que l’homogénéité des comportements face à la France, le protectionnisme sur le secteur et le climat social Suédois laissent entrevoir une meilleure possibilité d’implantation (voir annexe 4). Lors de nos analyses des marchés Russes et Suédois, nous nous sommes aperçus que la Suède était le pays qui dégageait le

stagnation, il perd du terrain. Les grands blocs continentaux, en Amérique latine, en Asie créeront-ils leur propre monnaie ? À long terme, l’apparente stabilité des monnaies du monde développé est-elle crédible ou sombrera-t-elle dans une nouvelle inflation pour trancher le conflit entre générations dans une Europe vieillissante ? Enfin, seronsnous capables de tirer parti de l’étroit couloir de temps qu’offre la démographie pour exploiter l’opposition entre les pays du Nord, développés, riches en capital

différemment d’une personne à une autre. L’UE exerce un pouvoir d’attraction important sur des pays qui n’en font pas parti. Il y a une autre perception de l’UE, aux USA, on la voit souvent comme une forteresse commerciale, une manière de faire du protectionnisme. Du point de vue des membres de l’UE, un certain doute s’est développé car en 2005, on a proposé un projet de constitution européenne qui a été rejeté par les français dans le cadre d’un référendum. Plus récemment, le traité de Lisbonne a été

vers les marchés de capitaux (bourse) => Y’a eu pas mal de crises boursières liées à la spéculation financières des chemins de fer. On est dans un système de capitalisme concurrentiel (petites entreprises qui se font concurrence) Y’a un fort protectionnisme national (taxes) et beaucoup de querelles avec des gens qui voulaient libéraliser tout ça. Par la suite, les inventeurs étaient dans un cercle fermé de la société (élite), ils faisaient des repas (industriels, inventeurs) et les innovations naissaient

d’un quaker (protestant). Il travaille comme agent de change et va construire une fortune importante. Ricardo fut le premier économiste à systématiser les résultats qu'il obtenait et à leur donner une forme classique. Ses appels contre le protectionnisme et en faveur du libre-échange furent largement entendus à son époque. Dans le Bullion Report remis à la Chambre des communes en 1810, Ricardo dénonce l'émission excessive des billets de banque, source selon lui de l'inflation.Il préconise

économique à la crise sociale et morale B) La propagation internationale de la crise : 1 transmission rapide faute de régulation internationale : 1) 1 double choc initial a) Retrait des capitaux américains b) La contraction des échanges 2) Protectionnisme et rupture des échanges 3) Causes financières et ruptures monétaires C) L’approfondissement de la crise 1) Des politiques déflationnistes désastreuses 2) L’absence de régulation internationale 4) Fragmentation de l’espace

marché financier à la suite d’une vente massive de titre boursier (somme d’argent investie ou prêtée à une entreprise et cotée en Bourse.) En parallèle la Grande Bretagne est fragile à cause de la concurrence. Les Etats ont eu recours au protectionnisme, ils se sont repliés sur eux même = mise en place de barrières douanière dans le but de protéger le marché intérieur vis à vis des productions extérieurs. La reprise a été permise par la 2nd révolution industrielle allemande/américaine. Une