Protectionnisme Et Inflation

résultait moins de l'étalon or en vigueur que de la politique monétaire de la Banque d'Angleterre (et, à un moindre degré, de la Banque de France), faisant ce qu'il fallait pour alimenter en devises le système monétaire international sans susciter inflation ou déflation. Le protectionnismen'empêche pas la croissance Reste que le raisonnement de Ricardo, qui s'appuyait sur l'hypothèse d'une absence de circulation des facteurs de production, devenait contestable dès lors que l'un des deux facteurs de

perfectionnistes jusqu’en 1914, ils commencent à avoir une balance excédentaire très centrée sur le marché intérieur. La part du commerce représente seulement 5% du PIB. Cette hiérarchie sera modifiée par les ruptures du XXème siècle. Malgré la reprise du protectionnisme des années 1881, le commerce extérieur n’a pas cessé de se développer. Au XIXème siècle, l’Europe est le centre de la mondialisation. Chapitre 3 : Le commerce extérieur face aux crises et aux grandes ruptures La première guerre mondiale

près de 322 millions d'habitants[1] font partie de la zone euro au 1er janvier 2011 Plusieurs critères sont nécessaires pour rejoindre la zone euro : un déficit public inférieur à 3 % du PIB, une dette publique ne dépassant pas 60 % du PIB, une inflation maîtrisée, une indépendance de la banque centrale du pays et une devise nationale stable pendant au moins deux ans au sein du MCE II. Le taux directeur de la zone euro fixé par la Banque centrale européenne est actuellement de 1,00 % depuis le 6

des pouvoirs du prince. Par conséquent, la doctrine mercantiliste va proposer un mélange de libéralisme ( les échanges doivent être stimulés, l’industrie doit se développer ) et d’intervention de l’Etat sur l’économie ( elle prend la forme de protectionnisme ou de monopole ou encore d’un système fiscal ). La doctrine mercantiliste repose sur un petit nombre de principes forts : les mercantilistes sont les premiers à affirmer que l’enrichissement est une fin louable. Les affaires sont désormais

mercantilistes prônent le protectionnisme. Il faut protéger la production nationale par des mesures protectionnistes. Le commerce est une guerre économique : Flotte de guerre protégeant les navires marchands, corsaires pillant les galions. C’est une économie dirigée, le « Colbertisme », ou l’Etat occupe une place centrale. En résumé : L’or est le fondement de la richesse. Il faut l’obtenir par le commerce de produits manufacturés. Et le conserver grâce au protectionnisme. Cette conception de la

1914, ces crises étaient limitées par la stabilité des monnaies, qui avaient chacune une valeur fixe en or (monnaie rattachée à l'étalon or). Cela change à partir de 1918 où elles vont devenir instables et être dévalorisée, ce qui aboutira à une inflation => il faut de plus en plus de monnaie pour le même produit. (ex : Le franc perd 99% de sa valeur entre 1914 et 1937 !) ¤ Pour résumer, ce modèle moderne est basé sur : Prédominance industrielle Transports très développés Industries très

Entre producteurs et consommateurs : 4 à 5 intermédiaires ( Produits trop chers, Il faut supprimer les intermédiaires Raisons de la grande distribution : - Comment va-t-on distribuer ces produits aux gens ? - Inflation - La grande distribution a eu comme alliés tous les hommes politiques français jusqu’au second quinquennat de Chirac. - Les deux pays qui plébiscitent la grande distribution : France/ Allemagne ( 87% des produits sont vendus dans

n’envisageait pas de ralentissement sensible de la croissance.   Une crise originale Notamment par rapport aux crises précédentes : alors que 1929 est liée à une surproduction et à une baisse du prix des actifs, 1974 voit apparaître chômage et inflation … La théorie économique viendra donc apporter de nouveaux éclairages (monétarisme en particulier). Plusieurs interprétations de la crise sont pourtant avancées : - Pour les monétaristes, c’est une politique monétaire laxiste qui est à l’origine

une forte concurrence et une guerre des prix limitent la menace de nouveaux entrants. – L’intensité capitalistique : Si de gros investissements sont nécessaires pour pénétrer une activité, le nombre d’entrants potentiel sera limité. – Le protectionnisme et les barrières légales : certaines activités sont protégées par des quotas, des droits de douanes ou une législation protectionniste qui limitent l’entrée de nouveaux concurrents. – La concentration du secteur et l’existence de leaders forts

finances publiques. Il faut également accroître l'effort de coordination des plans de relance pour que les pays s'entendent sur les instruments à utiliser, assurent la rapidité et l'efficacité de leur mise en œuvre et coupent court aux rumeurs de protectionnisme. La possibilité pour la BCE de créer une ligne de crédit spéciale pour l'achat de billets de trésorerie pourrait, par exemple, permettre de relâcher la pression sur ce point en limitant le recours aux Etats pour le refinancement des grandes entreprises