Protectionnisme Et Inflation

transports et com, éssort commerce biens manufact, intensité flux migratoiresinterdep économies. 2eme phase (1960) “capitalisme modial” : échange internat BS, montée en puiss firmes multinat, circulation flux capitaux. Liberation commerce + reduc protectionnisme concurrence forte compétitivité-prix, mobilité accrue capital, IDE. (TRIADE). Mise en concurrence des territoires offrant ≠ dotations. Décomposititon internationales des processus productifs: acteurs nomades (firmes, travailleurs qualifiés)

les exportations des autres. Du coup, l'effort de relance reste très insuffisant au global. Et les mesures finalement adoptées, comme le plan français de soutien à l'automobile annoncé mi-février, suscitent la colère des voisins qui crient au protectionnisme… Cette fuite en avant dans le chacun pour soi n'est guère surprenante. Les structures de l'Union européenne ne sont pas faites pour gérer une telle crise. Privée d'un budget fédéral digne de ce nom, l'Union reste avant tout un grand marché

politique, elles ne servaient pas en priorité absolu les marchés nationaux. Toutefois, en mettant au premier plan le marché national, la pandémie de la covid-19 a mis l’accent sur la réévaluation des offres des entreprises. La montée croissante du protectionnisme a amené les entreprises à relocaliser, en mettant à proximité les chaînes d’approvisionnement.En réponse au covid-19, différents gouvernements ont restreint le commerce transfrontalier. Celui-ci amenait les entreprises à prendre un risque important

c’est bien l’individu est lui seul qui influence le fonctionnement de la société. Macro > relations théoriques et empiriques entre les grandeurs globales (cad les grands agrégats nationaux (comme la conso, production, investissement, chômage, inflation, croissance, épargne, etc. …). Le point de départ de l’analyse en macro est de considérer tous les agents économiques d’une nation en même temps et pas un par un. La macro constitue l’outil essentiel d’analyse des politiques économiques menées par

2- L’échange comme moteur de croissance2018 : échanges = ¼ PIB mondial  centraux :· Accords Bretton Woods (juillet 1944) + GATT (1947) : système monétaire sur libre converbilité monnaies + fixité taux échanges  fin protectionnisme (responsable WW2)  échanges = facteur paix : "doux commerce"· Crise pétrole 1973 : spécialisation accélérée économies · Tankerisation + production modulaire  échanges répétés <> pays qui y ajoutent valeur ajoutée 3-

La rupture de 1973 s’est caractérisée par le ralentissement des gains de productivité et par la hausse des coûts des matières premières qui, en s’ajoutant à une gestion fordiste (maintien d’un haut pouvoir d’achat), s’accompagnent d’une forte inflation, alors que les marchés ne sont plus en expansion, la demande étant celle du renouvellement pour les biens durables. Il en résulte une stagflation, un lourd endettement des entreprises, à la suite des mesures monétaires adoptées pour combattre l’inflation

récession qu'en 2009). Cette crise est considérée parfois comme la pire depuis la grande dépression[7]. Sommaire[masquer] * 1 Le contexte * 1.1 Le dégonflement de la bulle immobilière * 1.2 Le boom des matières premières * 1.3 Inflation * 2 Les causes * 2.1 Débat sur les origines de la crise * 2.2 La crise financière comme cause de la crise économique * 2.3 Les déséquilibres mondiaux * 3 Les conséquences * 3.1 Les grands traits * 3.2 Entrée des

l’effort pour l’industrie de guerre et l’acceptation de condition médiocres, et de la poursuite des avancées dans les rapports égalitaires : mesures engagées par A Thomas avant guerre sont abandonnées, programme de réforme de la CGT de 1918 aussi. Inflation baisse de 20% de leur salaire Un espoir recherché tout de même dans le regain pour les syndicats qui remportent un franc succès, grèves importantes 1920 des cheminots arrêt total du trafic au 1er mai. Espoir inquiétant dans la «  grande lueur de

l'OCDE par les excédents d'épargne des pays émergents. Il ne faut pas non plus compter sur la coopération entre les pays de l'OCDE ; au contraire, ils risquent de mener les uns vis-à-vis des autres des politiques hautement non coopératives : protectionnisme déguisé, dépréciations des taux de change. Enfin, les politiques macroéconomiques de soutien de la demande (déficits publics, expansions monétaires) n'ont plus de marges de manœuvre, on le voit bien. Quant aux politiques structurelles (recherche

price taker 2 Homogénéité des produits : Tous de même qualité 3 Information parfaite : Transparence 4 Libre entré et libre sortie sur le marché : Consommateur ou producteur peut librement changé de marché. Pas de réglementation qui l’interdit (protectionnisme). Il n’y as pas de sank costs, hypothèse qu’on quitte et marché et que çà nous coûte rien 5 Libre circulation des facteurs, pas de loi réprimant l’immigration. Équilibre analytique : cadre de travail qui permet de comprendre ce qui se passe