Protectionnisme Et Inflation

facteur K de production est fort Arguments en faveur du libre-échange : *** le libéral : protectionnisme constitue une entrave au libre jeu du marché *** dynamisme : liberté des échanges est un facteur de dynamisme et de progrès car dans contexte de concurrence , les producteurs sont poussés à produire et innover ( peut-être pas le cas si les E ont une rente qui les protège via le protectionnisme ) *** argument théorique : avec le libre-échange , il est réservé un maximum de bien-être

leur permettent de faire varier la demande globale, pour un niveau des prix donné. ? Ce sont ces outils qu’on désigne par les termes de « politiques de la demande » ou « politiques macroéconomiques ». 2-2) Effets nominaux vs effets réels ; inflation vs chômage υ Dans le cadre du modèle OG/DG, et de façon très simplifiée, les effets des politiques de la demande sont les suivants : ? Partant d’une situation d’équilibre (y0, P0), toute hausse de la demande globale (y0 _ y’), au niveau initial

exportations sont restreintes prennent des mesures de rétorsion contre le premier pays protectionniste. Le bilan des deux séries d’interventions sur les flux commerciaux n’a alors aucune raison d’être positif pour le pays qui a pris l’initiative du protectionnisme ; au contraire, les effets négatifs peuvent prédominer. Ce raisonnement illustre l’importance du commerce international, de l’origine du capitalisme à la période la plus récente. L’actualité est aujourd’hui celle des chiffres des échanges internationaux

le libre échange est la règle, le protectionnisme l’exception  Cela tend à faire du 19ème le siècle du libéralisme.  Au 20ème, « l’Etat est partout ». Interventionnisme à tous les niveaux, social, commerciale (taxe, régulation)  des freins et barrière s’accumule pour réguler le libéralisme. Libéralisme et protectionnisme Nous allons analyser la situation de manière plus pointue et plus nuancée : Au 19ème, les politiques tarifaires varient : - Protectionnisme (1830-1846) : forte barrière pour

économiques mises en place sont des politiques de rigueur, qui préconisent la maîtrise des déficits publics en freinant la création monétaire, en limitant les possibilités de recours un crédit et en freinant la hausse des salaires pour éviter une inflation par la demande. Les politiques de désengagement de l’Etat se traduisent par une déréglementation dont l’objectif de redonner une certaine liberté aux entreprises mais aussi de stimuler l’activité économique par la concurrence. Du « plus d’Etat

il va pouvoir acquérir d’autres biens. Dans ces conditions, l ‘industrie et le commerce jouent un rôle secondaire, ils sont hostiles à leur dvpm. Toute réglementation excessive freine la circulation agricole, ils s’opposent à toute forme de protectionnisme. D’un point de vue politique, la seule structure qui peut assurer le bon fonctionnement de l’eco, est la monarchie absolue. Car le Roi est au-dessus des conflits d’intérêts. C’est le point de départ du libéralisme, les physiocrates sont les premiers

|- Diminution du pouvoir d’achat du |- Diminution du pouvoir d’achat du |- Diminution du pouvoir d’achat | | |à la crise économique |à la crise économique |- Inflation | | |- Faible investissement dans la |- Accroissement du taux d’intérêt –|- Chômage | | |décoration/ameublement de haute |difficulté

inconcevable de gagner plus en travaillant moins. Cette théorie va recevoir un très grand nombre de critique mais malgré celles-ci, elle est un argument très fort en faveur du libre-échange. Théorie qui va longtemps justifier l’opposition avec le protectionnisme (EX : Europe avec les Traité de Lisbonne). CRITIQUES : Reconversion car pour ceux qui travaillaient dans le vin, il est difficile de se reconvertir dans le drap ; Il n’est pas indiffèrent de se spécialiser dans le vin ou dans le drap (dépend

dans le temps. Le taux d'actualisation dit combien valent aujourd'hui, dans l'esprit des investisseurs 100 euros attendus en 2001, 2002, 2003... Son point de départ est le rendement des obligations publiques, réputé intégrer les risques nationaux (inflation, qualité du management public...), auquel s'ajoutent la prime de risque du secteur et celle de l'entreprise qui incarnent le risque de non-réalisation des prévisions. À cela, et c'est un élément moins connu, s'ajoutent les valeurs d'option réelles

l'étalon-or, pour donner plus de liberté aux gouvernements pour décider leurs politiques monétaires. Volet extérieur : Critique des approches libérales, qui préconisent « l'exportation du chômage ». Keynes est contre le libre-échange absolu : Un protectionnisme mesure permet : -D'accroitre l'efficacité de l'intervention de l'état. -De ne pas creuser les déficits de la balance commerciale en cas de dépréciation de la monnaie. Critiques internes des approches keynésiennes. Le lien entre le taux d'intérêt