Préface Des Rougon Macquart

dialogues philosophiques. Il existe aussi des romans populaires, des romans « noirs » ou « gothiques », au scénarios mélodramatiques. Le roman n'a alors pas de règles précises. C'est un genre encore en marge. Il faut attendre 1826 pour que, dans la préface de son roman Cinq Mars, Alfred de Vigny suggère quelques règles pour le roman. Dans De la littérature, Mme de Staël ne mentionne que le roman anglais. Pourtant quelques romans précurseurs commencent à paraître, comme en Allemagne, avec Les souffrances

Gargantua de Rabelais Un nouveau type de roman inclassable, difficile à cerner qui propose une réflexion sur l’homme à travers des personnages principaux hors-norme. Ce sont des géants parfois comiques car pour Rabelais comme il l’a écrit dans sa préface : « le rire est le propre de l’homme » XVIIe siècle. Le Roman comique de Scarron Les personnages se diversifient. Les romans sont écrits en prose et en langue française. Les romans français sont influencés par des romans picaresques venus d’Espagne

locomotive. Emile Zola raconte cette transformation de Paris dans La Curée (1971), deuxième roman des Rougon-Macquart. Le contexte littéraire, culturel et artistique : grande diversité et richesse artistique, culturelle et littéraire. → Emergence de plusieurs mouvements littéraires et artistiques au cours du XIXe siècle. Le romantisme : principal courant de la 1ere moitié du XIXe siècle. La Préface de Cromwell de Victor Hugo en 1827 constitue une sorte de manifeste du romantisme. Des recueils poétiques

Corrigé du commentaire sur La Curée (rédigé) La Curée, deuxième volume des Rougon-Macquart, raconte l’ascension d’un spéculateur sans scrupule, Aristide Saccard, pendant les grands travaux d’Haussmann sous le Second Empire. Avant d’épouser Renée, jeune femme richement dotée, Saccard était marié à Angèle, une brave femme que la maladie allait emporter. La scène que nous allons étudier raconte, sous la forme d’un retour en arrière, une sortie au restaurant de Saccard et de sa première femme

authentique. Ensuite, la psychologie est également une connaissance dont le roman peut nous apprendre quelques aspects, aussi bien au niveau des sentiments amoureux qu’à la compréhension de nous-mêmes. Madame de Staël, dans la préface de son roman Delphine, déclare que « Les fictions doivent nous expliquer, par nos vertus et nos sentiments, les mystères de notre sort ». Elle estime que les romans se doivent de nous montrer la vérité, qu’ils doivent montrer « l’influence de la morale

vie de Gervaise Macquart mais fait comprendre le quotidien du monde ouvrier. De la même façon, Céline confronte Bardamu aux différents aspects de son époque, toujours montrés avec un point de vue commun qui est celui des victimes et des écrasés pour faire prendre conscience de la misère du monde. Finalement, le romancier reste subjectif. En effet, il décrit le réel selon son point de vue et en fonction de la visée critique qu’il veut développer. Dans les Rougon-Macquart, la vision de Zola

» (Henry Fielding, Tom Jones, 1749) - « C’est rendre un service aux mœurs que de dévoiler les moyens qu’emploient ceux qui en ont de mauvaises pour corrompre ceux qui en ont de bonnes. » (Pierre Choderlos de Laclos, Les Liaisons dangereuses, La Préface du rédacteur, 1782) - Dans l’Antiquité, le roman consiste à « raconter des récits remplis d’aventures imaginaires arrivant à des amants ». (Macrobe, Commentaire au songe de Scipion) La vie / la mort - « La vie est une affaire dont le revenu est

exprimé cela dans sa série de livres les Rougon Macquart ( c'est la famille d'où vient le personnage d'Octave, voir arbre généalogique à la fin). Émile Zola , arrive à nous faire nous imaginer à Paris avec ses grands magasins(voir le passage à la fin) grace à ses descriptions très detaillé sans être trop longue. Il utilise aussi un vocabulaire assez diversifié sans être trop compliqué, des phrases assez longues avec de nombreux adjectifs. Dès qu'on a lu la préface du livre on est accroché et on a envie

naturaliste choisit les mêmes types de sujets et adopte les mêmes méthodes de travail que l'écrivain réaliste mais il les radicalise. C'est Émile Zola qui est le représentant le plus illustre de ce mouvement. • Zola est ainsi l'auteur du cycle des Rougon-Macquart, un ensemble constitué d'une vingtaine de romans et qui porte le sous-titre : " Histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire ". L'écrivain y étudie les déterminismes héréditaires et sociaux sur une famille. • Sa méthode de

d’impuissance à imposer des valeurs authentiques dans une société dominée par l’argent. » Mouvement gagné par le « mal du siècle » → désillusion face au monde. Les grandes figures du romantisme Hugo, Victor (1802-1885) : Hernani, Notre-Dame de Paris, Préface de Cromwell, etc. Chateaubriand, François-René (1768-1848) : Mémoires d’Outre-tombe, Atala. Vigny, Alfred (1797-1863) : Les Destinées, Chatterton. Musset, Alfred (1810-1847) : On ne badine pas avec l’amour, Lorenzaccio, etc. Lamartine, Alphonse