Présidence Pompidou

l'initiative, dissout l'assemblée. Les Gaullistes triomphent, la gauche dépassée par le mouvement est laminée. - Les conséquences : C'est surtout Pompidou, le 1er ministre, qui a géré la crise(accords de Grenelle le 27 mai sur la hausse du SMIC de 10% et la 4ème semaine de congés payés). De Gaulle a paru dépassé. Pour reprendre son autorité, de Gaulle remplace Pompidou et lance des réformes (participation, régionalisation) et comme souvent utilise pour les faire passer et se relégitimer la tactique du référendum-plébiscite

la Premier ministre. Mais la collaboration semble tout de même être en faveur du Président de la République. B/ La suprématie du président de la république Cette primauté présidentielle était celle qui primait sous la présidence de De Gaulle, Pompidou et Valéry Giscard d’Estaing, même si cette prééminence avait tendance à s’affaiblir. Cette suprématie du Président était voulu par De Gaulle, un des principaux auteurs de la Constitution, pour lui, le ministre exécute, le chef d’Etat

ne sont pas réunies, la dissolution ne peut être prononcée. * Ainsi, le droit de dissolution de l’Assemblée nationale est soumis à trois conditions de fond : * l’intérim de la présidence de la République (Art. 7 al.4)  lorsque le président du Sénat ou le Gouvernement assurent la suppléance de la présidence de la République. Les situations de transition sont toujours dangereuses et il est bon que la continuité de la représentation nationale soit sauvegardée. L’Assemblée dispose alors de ses

l'indépendance et la gloire de la France dans le monde, ainsi que «l'unité intérieure» de la France au service du projet patriotique. De Gaulle possédait néanmoins un certain conservatisme sociétal : il était contre l'avortement (mais c'est sous sa présidence que la pilule contraceptive fut autorisée par la Loi Neuwirth), et pour la peine de mort; cependant il graciera toutes les femmes condamnées à mort. Le Gaullisme a commencé pendant la guerre (1940-1944), considéré comme un mouvement uniquement

plutôt penser un système dans lequel le président serait en retrait. On peut le penser car entre le 3 juin et le 28 septembre 1958 les choses n’étaient absolument pas claires. Le général De Gaulle n’a pas annoncé son intention d’être candidat à la présidence, d’autres pensaient qu’il serait 1er ministre et donc gouvernerait et le président aurait eu un rôle secondaire. Cette hyp est possible car De Gaulle a attendu le résultat aux élections législatives pour annoncer sa candidature. Ces élections législatives

bilan positif, en assurant le retour à la démocratie après la guerre et la France de Vichy, en redressant l’économie et en entamant la construction européenne avec le rapprochement franco-allemand. Problématique Pourquoi peut-on dire que la présidence de Gaulle sous la Vème République, régime politique actuel de la France, se place-t-elle en rupture avec les régimes républicains qui l’ont précédée ? La République gaullienne (1958 – 1969) 1. Une nouvelle constitution De Gaulle est revenu

la charge de l'église. 1930 : crise économique européenne. 1936 : Front populaire. Entrée en guerre le 3 septembre 1933, ligne Maginot inutile, défaite de 1940, fin de la 3e république. _ Régime de Vichy (1940-1944). PDT Reynaud démissionne présidence du conseil suite à la défaite. Chef du gouvernement est Pétain désigné par PDT de la république Lebrun. Il est pour arrêt des combats. Discours du 17 juin 1940 appel à cesser les combats. 18 juin 1940, appel à la résistance de De Gaulles. 25 juin

donc au chef de l’Etat lui-même d’en décider. Ainsi, on peut voir une multiplication des scrutins plébiscitaires sous la présidence de De Gaulle (1), mais on peut également remarquer l’existence d’un contreseing ministériel : un instrument servant à reporter la responsabilité politique sur le Premier Ministre (2). 1) La multiplication des scrutins plébiscitaires sous la présidence de De Gaulle De Gaulle avait mis à contribution son mandat lors de chacun de ses référendums, menaçant de se démissionner

d'un pouvoir exécutif fort qui soit au-dessus des partis et il désapprouve la volonté qu'affichent les partis, de gauche notamment, de donner l'essentiel des pouvoirs à l'Assemblée Nationale où ils sont représentés ; ainsi, il démissionne de la Présidence du GPRF dés janvier 46. Ce départ encouragea un non au 1er référendum sur la constitution, mais c'est par lassitude que les Français répondront oui à un second projet à peine modifié en octobre 46. La quatrième république est un régime d'assemblée

cohabitations, a été quelque peu entaché par des scandales politico-financiers, ainsi qu'une violente polémique sur son rôle dans le gouvernement Pétain. François Mitterrand meurt, rongé par un cancer, peu après que Jacques Chirac lui ait succédé à la présidence. François Maurice Adrien Marie Mitterrand, né le 26 octobre 1916 à Jarnac en Charente et mort le 8 janvier 1996 dans le 7e arrondissement de Paris, est un homme d'État français. Il est le 21e président de la République française du 21