Prévert La Gloire

du val", d'Arthur Rimbaud, "Le déserteur", de Boris Vian, "Ce cœur qui haïssait la guerre...", tiré de "Destinée arbitraire" de Robert Desnos, "Les enfants", de l'œuvre "Les Orientales" de Victor Hugo, et de "Barbara" issu de "Paroles" de Jacques Prévert. {http://www.academon.fr/Expos%C3%A9-La-po%C3%A9sie-engag%C3%A9e-et-son-esprit-satirique/16936 {http://negrel.pagesperso-orange.fr/hommes/victor_hugo.htm Sur Victor Hugo et son engagement politique contre Louis Napoléon. Ecrivain inclassable

lampe sourde on ne saurait puiser  Il faut, comme le cœur, l'ouvrir ou la briser. Aux bourreaux, pauvre André, quand tu portais ta tête,  De rage tu frappais ton front sur la charrette,  N'ayant pas assez fait pour l'immortalité,  Pour ton pays, sa gloire et pour sa liberté.  Que de fois, sur le roc qui borde cette vie,  Ai-je frappé du pied, heurté du front d'envie,  Criant contre le ciel mes longs tourments soufferts  Je sentais ma puissance, et je sentais des fers ! Puissance,... fers,... quoi donc

au lyrisme et à l’effusion du moi avec un goût marqué pour la mélancolie : les poètes vont donc exprimer leur mal de vivre et leurs souffrances affectives en méditant sur la mort, sur Dieu, sur l’amour et la fuite du temps, sur la nature et sur la gloire, et au-delà de ces thèmes lyriques traditionnels sur la fonction du poète (Hugo) et sur une perception plus originale du fantastique avec Nerval, Nodier ou Aloysius Bertrand. Les poètes romantiques revendiqueront un assouplissement de l’expression

Disney en 1929. Ce dernier envié et plagié par Lantz, Tex Avery est par vocation et par carrière l'Anti-Disney. Disney a donné son nom à tout le genre animé, alors que Avery a vécu sans grade, sans royalties un oubli typique des injustices de la gloire. Disney tout en innovant, s'approprie d'innombrables livres de l'enfance : Alice, Peter Pan, Pinocchio, Les Contes de Perrault. Tex à l'inverse n'a rien fait pour protéger son œuvre totalement originale. Il sera exploité toute sa vie par des sous-Disney

le réel et un dans l’irréel) La littérature est les arts illustrent les grandes préoccupations de l’humanité : * A quoi aspire l’homme ? (l’amour, la richesse, le bonheur, l’immortalité) * Ce que l’homme admire (la beauté, la force, la gloire) * Ce que l’homme redoute (l’incompréhension, la souffrance, la mort) Deux dieux président aux arts : * Apollon à la poésie (Platon) * Dionysos au théâtre (Aristote) Origines de la poésie La poésie antique va de paire avec la

saigné, Ce n’est plus une ardeur dans mes veines cachée : C’est Vénus tout entière à sa proie attachée. J’ai conçu pour mon crime une juste terreur ; J’ai pris la vie en haine, et ma flamme en horreur. Je voulais en mourrant prendre soin de ma gloire, Et dérober au jour une flamme si noire : Je n’ai pu soutenir tes larmes, tes combats ; Je t’ai tout avoué ; je ne m’en repens pas, Pourvu que de ma mort respectant les approches, Tu ne m’affliges plus par d’injustes reproches, Et que tes vains

individualités produiront des œuvres qui feront apparaître des approches différentes avec l'onirisme touche à tout de Jean Cocteau (Plain-Chant, 1923), les recherches d'expressivité d'Henri Michaux (Ailleurs, 1948), le jeu verbal repris par Jacques Prévert, poète du quotidien et des opprimés (Paroles, 1946-1949) ou par Francis Ponge (Le parti-pris des choses, 1942) à la recherche d'une poésie en prose descriptive. Tous traduisent des émotions et des sensations dans la célébration du monde avec Jules

Les Amours jaunes ). L'interrogation est une marque de la déchirure et de l'indécision (lyrisme). Mais on retrouve aussi des figures dans la poésie d'humour (" Un certain Blaise Pascal/ etc. etc. ", Jacques Prévert, "Les paris stupides") 7. Les tropes : métaphores, métonymies, synecdoques Tropes : figures où les mots " sont pris dans un sens détourné, autre qu'un sens propre, c'est-à-dire dans une signification qu'on leur prête

philosophique (1764) : « La fable est la soeur aînée de l'histoire. » XIX°s : Lautréamont, Les chants de Maldoror (1869) : « Le meilleur moyen depersuader consiste à ne pas persuader.» Victor Hugo, Les Misérables (1862) : « Rien n’est stupide comme vaincre ; la vraie gloire est convaincre. » Elisabeth Wolff : « Tenter de persuader, c'est démontrer que l'on n'a pas d'arguments pour convaincre. » Alexandre Dumas fils : « Ne discutez jamais, vous ne convaincrez personne. Les opinions sont comme des clous ; plus on tape

un obscur chemin. (Baudelaire, poète maudit) Effet : mettre en évidence une réalité paradoxale qui nous oblige à revoir des « contraires », ce qui invite à la réflexion. Homonymie Allons allons pressons Pressons sur la gachette (Jacques Prévert, désillusions) C’est pas dur la politique comme métier! Tu fais cinq ans de droit, et tout le reste de travers. (Coluche, révol.) La santé ça passe avant tout! » Et c’est vrai qu’elle passe la santé. Même que des fois elle nous dépasse…