Psychisme

représente une tâche ardue. On peut avancer une définition sommaire : la conscience est cette pensée qu’a l’esprit de ses états et de ses actes. La conscience est, pour Descartes, la preuve même de notre existence, et elle est dans l’analyse du psychisme une instance fondamentale. Est-ce par elle que l’individu se connaît ? Si la conscience permet au sujet de se saisir de lui-même, est-elle pour autant un savoir ? Car à l’opposé d’une conscience révélatrice de soi existe la « mauvaise » conscience

D’après les théories de Freud (XIX) l’inconscient est le réservoir des distincts fondamentaux que l’homme hérite de sa nature animale ; c’est un maillage d’idées , de perceptions, d'émotions, de mots, de signifiants , de pulsions constituant le psychisme, qui influe sur nos conduites, et reste inaperçues par la conscience. Il est dynamique et actif et tente d’envahir la conscience ; cette inconscient rencontre des résistances d’origines sociales ou mentale (refoulement, censure) qui, le plus souvent

actions. La conscience a pendant longtemps été considéré comme le seul élément composant le psychisme, l’esprit. Cette théorie admet des limites, il est indéniable que nous ne pouvons pas toujours avoir pleinement conscience de tout. Les actions automatiques, rendues machinales par les habitudes par exemple, ou encore tout ce qui vient à nous par nos 5 sens. Freud sera le premier a briser l’unité du psychisme en définissant l’inconscient. Ainsi quelque chose contrôle la CS sans son consentement. À

pulsions, peut avoir des conséquences pour les individus. D’abord, elle modifie profondément leur psychisme, puisqu’ils ne peuvent plus exercer leur agressivité sur les autres, les individus souffrent de la perte de cette satisfaction, ce qui peut engendrer des frustrations ou des maladies mentales appelées névroses car les désirs refoulés ou les formes de satisfactions interdites ronge de l’intérieur le psychisme des individus et les désorganisent dans leur rapport aux autres ainsi qu’à eux même. Donc,

de ce qui nous vient à l’esprit et par la suite en passant outre toutes les réticences qui voudraient exclure de la communication maintes pensées et souvenirs. »(p.34) Chapitre II Après avoir posé le cadre de la cure, Freud pose le cadre du psychisme, en expliquant son fonctionnement et son organisation. Avant cela, il enfonce un peu plus le clou des divergences entre la psychanalyse et le cursus universitaire de psychologie. Il différencie les deux domaines afin de mettre en relief la partie

du conscient latent; il est séparé de la conscience par la censure et est le résultat d'un refoulement*. Dans une deuxième topique, et à partir de 1920. Freud, tout en maintenant la première différenciation du psychisme en conscient, préconscient, inconscient, présente le psychisme comme constitué de trois pôles ou instances: le ça*, le moi* et le surmoi*. Le ça est le pôle pulsionnel inconscient, gouverné par le principe de plaisir. Le moi cherche à satisfaire les pulsions du ça, tout en tenant

manque dont on parle, cette incohérence. A partir d'ici nous avons deux choix : Continuer de prétendre que tout acte psychique est perçu par la conscience, mais ne pas parvenir a expliquer ces manques et donc abandonner toute étude scientifique du psychisme, ou alors accepter que cette cause peu échapper a la conscience. D'après Freud, ces actes psychiques nécessitent l'inconscient pour être expliqués. Et de plus, ces actes n'aurait rien de pathologiques, il précise en effet "Aussi bien chez l'homme

mais aussi par tout ce qu’il sait de lui, son vécu, ses savoirs, mais est-il possible de connaître absolument tout de soi-même ? D’après Freud non, car il existerait dans le psychisme une part de conscience, le « soi » que l’on connaît, et une part d’inconscient ; des choses oubliées, refoulées, censurées par le psychisme, qui font pourtant partie de nous, et qui nous sont inaccessibles. Ainsi, il est impossible de se connaître totalement, alors comment être « soi » sans se connaître, cela ne relève-t-il

fondateurs de la psychologie clinique moderne : les différents stades de développement de l'enfant ; les rêves des patients pour décrypter les messages de l'inconscient ; le rôle de la libido et du désir en général dans le psychisme ; les mécanismes de protection du psychisme, notamment le refoulement (le fait de verser dans l'inconscient ce que l'on ne veut pas conserver à la conscience). En savoir plus : psychologie du développement La psychanalyse freudienne s'est élaborée à partir des patients

du conscient latent; il est séparé de la conscience par la censure et est le résultat d'un refoulement*. Dans une deuxième topique, et à partir de 1920. Freud, tout en maintenant la première différenciation du psychisme en conscient, préconscient, inconscient, présente le psychisme comme constitué de trois pôles ou instances: le ça*, le moi* et le surmoi*. Le ça est le pôle pulsionnel inconscient, gouverné par le principe de plaisir. Le moi cherche à satisfaire les pulsions du ça, tout en tenant