Psychothérapie cognitivo-comportementale

traumatique I   Généralités et historique II  La clinique 1/ Le traumatisme 2/ Le temps de latence 3/ Les symptômes 1- Les symptômes spécifiques 2- Les symptômes non spécifiques 4/ Evolution III   Le traitement 1/ La prévention 2/ Thérapeutiques Les psychothérapies Les médicaments I   Généralités et historique L'idée que puisse se développer une maladie après un traumatisme en l'absence de toute lésion organique est maintenant ancienne. Des troubles névrotiques provoqués par un accident sans que n'intervienne

(avec dsm 4 toc) 4. Névrose d’angoisse (avec dsm 4 trouble anxieux) 5. Névrose traumatique (avec dsm 4 état de stress post traumatique) Définition de la névrose III. Conceptions actuelles Plusieurs courants théoriques : psychanalytique, cognitivo comportementaliste, neuro biologiques…théories qui « ne s’entendent pas » Classification commune : vers l’athéorisme (=comme il y a plusieurs théories différentes, on ne peut pas s’appuyer sur une théorie pour classer la maladie) Classification

efficace que CBT • Dépressions sévères: Médication • Avantage de combiner médication et psychothérapie – Suicidalité + – Anamnèse familiale + – Soutien social – Succès antérieurs de médication + – Relation avec affection médicale ou substance – Capacité d’apprentissage difficile + 6. Traitement 6.2 Psychothérapie • Plupart des recherches effectuées avec – Thérapie cognitivo-comportementale (CBT) – Psychothérapie interpersonnelle (IPT) • Activité démontrée dans des recherches contrôlées randomisées

Traitement et prise en charge thérapeutiques· Les traitements médicamenteux : les benzodiazépines anxiolytiques (tranquillisant) et les antidépresseurs (inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine).· Une psychothérapie : la thérapie cognitivo- comportementale (TCC) peut aider à gérer et réduire l’anxiété. Il s’agit d’un traitement très efficace et durable qui varie entre 12 à 20 semaines. 7.

la prise en charge. 1- Généralité 1-1-Définition -L’attaque de panique ou crise d’angoisse aigue correspond à la survenue brutale, imprévisible d’une sensation de peur intense qui s’accompagne de symptômes psychiques, physiologiques et comportementaux. -L’anxiété est une émotion pénible d’attente, de peur d’un danger imprécis. -Le trouble panique est caractérisé par la présence récurrente et inattendue de 4 attaques de panique en 4 semaines. 1-2-Intérêt -Epidémiologique car 5 à 10%

instrumental de Skinner aux composantes cognitives du comportement a permis à des auteurs comme Ellis, Seligman, Wolpe ou Beck de développer l'approche comportementale-cognitive en psychothérapie. Actuellement, les données auxquelles ce courant a donné naissance sont utilisées notamment dans les thérapies comportementales (ou cognitivo-comportementales), auxquelles elles continuent à apporter des données fondamentales. Cette approche a permis à la psychologie contemporaine de traiter des problèmes d'adaptation

difficile. La thérapie cognitivo-comportementale peut aider les personnes hypocondriaques car elle vise principalement à remettre en questions les fausses croyances et à tester certaines d’entre elles dans la réalité. Il est recommandé à ces personnes de consulter un spécialiste en psychothérapie ou en médecine psychosomatique. Ce dernier pourra déterminer les causes réelles des symptômes. Il leur prescrira une thérapie en dialogue ou une thérapie comportementale, une psychanalyse, des méthodes

doit jamais être sous-estimé1 . Le diagnostic peut être difficile, car l’adolescent dépressif ne présente pas uniquement les signes cliniques habituels de l’état dépressif majeur (EDM), mais peut aussi attirer l’attention au travers de troubles comportementaux ou relationnels, de difficultés scolaires, de passages à l’acte, de prise de toxiques... L’une des particularités de la dépression à l’adolescence est d’être souvent atypique, masquée ou précédée par ce que l’on appelle un syndrome de menace dépressive

naturelles, des abus sexuels… Les thérapies comportementales et cognitives (TCC) se sont développées dès la fin des années 50 dans les pays anglo-saxons et de l’Europe du Nord. Elles s’implantent d’abord dans les pays développés et arrivent en France au début des années 70. Le premier ouvrage publié en Français à ce sujet est l’œuvre du Dr Jacques Rognant (1970). Janet peut être considéré comme le précurseur français des thérapies comportementales et cognitives, son œuvre possède une grande influence

instrumental de Skinner aux composantes cognitives du comportement a permis à des auteurs comme Ellis, Seligman, Wolpe ou Beck de développer l'approche comportementale-cognitive en psychothérapie. Actuellement, les données auxquelles ce courant a donné naissance sont utilisées notamment dans les thérapies comportementales (ou cognitivo-comportementales), auxquelles elles continuent à apporter des données fondamentales. Cette approche a permis à la psychologie contemporaine de traiter des problèmes d'adaptation