P'tit Loup

soit Mettant les autres animaux en émoi. Alors Minerve la Chouette dans sa sagesse Et qui voit plus loin que les autres animaux Prophétisa de sa voix réputée de devineresse : « Fenrir s’élèvera pour chasser celui qui cause nos maux! » Le loup, principal intéressé, Sortit de sa tanière excité Pour s’enquérir de la façon De chasser le dragon. L’effraie lui dit : « Tu devras, à l’aide de coéquipiers, Choisir ton chemin jusqu’à la caverne du léviathan ailé. Mais prend garde à qui

| Le loup et les sept biquets | Il était une fois une chèvre qui avait sept petits biquets.Elle dit : "Je pars à la ville. Comme le loup rôde dans les parages, je vous interdis d’ouvrir la porte avant mon retour".Ainsi parlait la maman des sept petits biquets."Je pars faire les courses." disait la chèvre, "Mais le loup aux yeux rouge sang et aux grandes dents, rôde dans les parages, ne lui ouvrez sous aucun prétexte, car il pourrait vous manger !" Ainsi parlait la maman des sept petits biquets

siècle, ses Fables sont un des plus grands chefs d’œuvres de la littérature française et sont composées de douze livres. Le loup et le chien est une des nombreuses fables écrites par Jean de La Fontaine, elle est la Ve fable du livre I de son premier recueil. Son premier recueil a été publié en 1668 et était dédié au Dauphin (Louis de France). Son inspiration pour Le loup et le chien lui est venue d’Esope, de Phèdre et de Térence. La Fontaine utilise les animaux pour corriger les défauts humains

grosseque le boeuf La grenouille jalouse un bœuf, de sa taille, sa grosseur. Elle se gonfle, pour essayer d’atteindre un corps équivalent, jusqu’à exploser. il ne faut pas chercher à ressembler aux autres, il faut rester soi-même explicite Le loup&le chien Un loup maigre et affamé jalouse un chien, gras et en bonne santé. Il veut devenir comme lui jusqu’à ce qu’il découvre que le chien vit attaché et préfère garder sa liberté Mieux vaut vivre affamé qu’attaché implicite Genisse & chevre & brebis

|Le loup et l’agneau : | | | |Un agneau se désaltérait | |Dans le courant d'une onde pure. | |Un loup survient à jeun, qui cherchait aventure, | |Et

palpite encore… » « Quelle chance ! Crient les mignons. Papa, laissez-nous l’achever. » « ils se portent bien, ils dévorent » Dit la louve, l’œil attendri. Et le couple, comblé, regarde Le joyeux carnage de ses chers petits. « Je n’ai jamais vu de loup plus dur, dit le garde. Pissant le sang partout, dix balles dans le corps Sur ses pattes brisées il se dressait encor. La louve près de lui était déjà ruée, Les louveteaux aussi. Il ne défendait plus Que des cadavres. À la fin pourtant on l’a eu

plupart des recueils de ses célèbres Fables, publiés de 1668 à 1696. Dans son œuvre « Le Lion, le Loup et le Renard » publiée en 1698 dans le Livre XIII des Fables, La Fontaine met en scène différents animaux, rappelant le Roi et ses courtisans. Le fabuliste montre de ce fait le caractère féroce, capricieux et naïf du Roi (ici, le Lion) face à ses courtisans méchants, lâches, hypocrites entre eux ! (le Loup et le Renard). Grâce à l’utilisation de la personnification animalière et de l’implicite, La Fontaine

Lycaon le reçut à sa table et lui fit servir de la chair humaine (son propre petit-fils Arcas dans certaines versions). Indigné, Jupiter foudroya ses cinquante fils (et ressuscita Arcas, qui monta ensuite sur le trône) et changea Lycaon lui-même en loup. Il y a aussi d’autres versions. Selon une autre version, il sacrifia un enfant à Jupiter sur le mont Lycée, ce qui provoqua l'ire du dieu. Selon une autre version Lycaon était innocent. D'après le récit d'Ovide, c'est l'impiété de Lycaon qui déclencha

quelque soit la circonstance, que la société est inexorablement envahie par le mal et la fourberie, qui sont naturels aux hommes. Rapprochement : « Le Coq et le Renard », « Le Renard et le Corbeau », (Renard : Hypocrite) « Le Loup et la Cigogne », « Le Loup et l’Agneau »(Le Loup profite de son statut). Certains ne changeront donc jamais.

pré de Moines passant, La faim, l'occasion, l'herbe tendre, et je pense Quelque diable aussi me poussant, Je tondis de ce pré la largeur de ma langue. Je n'en avais nul droit, puisqu'il faut parler net. A ces mots on cria haro sur le baudet. Un Loup quelque peu clerc prouva par sa harangue Qu'il fallait dévouer ce maudit animal, Ce pelé, ce galeux, d'où venait tout leur mal. Sa peccadille fut jugée un cas pendable. Manger l'herbe d'autrui ! quel crime abominable ! Rien que la mort n'était