Ptolémée IV

jour aux affaires d’état, rétablissant la notion de monarchie absolue et provoquant son énoncé le plus célèbre: «L’État, c’est moi». Louis voulait dominer de toute côté.   Il s’engageait dans plusieurs campagnes militaires, épousa la fille de Philippe IV d’Espagne (Marie-Thérèse, en 1660) et encourageait les sciences et les arts, surtout l’opéra.   La gloire de sa Cour qu’il déménagea à Versailles lui acquit le surnom «le Roi soleil» 1-  Le Roi  : Louis XIV    * Le roi avait beaucoup de controle

castille ➢ Isabelle de Castille : née en 1450 en Espagne ➢ Fille de Jean II de Castille et de Isabelle du Portugal. ➢ Elle vivait retranchée dans un couvent avec sa mère après la mort de son père qui laissa le pouvoir à son demi-frère Henri IV de Castille. Vie difficile car sa mère souffrait de démence, elle se console donc dans la religion dont son surnom Isabelle la catholique. ➢ Celui-ci destinait le trône à sa fille Jeanne, surnommée "la Beltraneja" parce que la rumeur affirmait

Paris après l'assassinat du Duc de Guise (1589) Ce document est une des lettre d’Étienne Pasquier compilés dans Lettres historiques pour les années 1556-1594 de Dorothy Thickett, édité en 1956. Né le 7 juin 1529, Étienne Pasquier un historien, poète et juriste français. Il est fils d'une famille renommée, toutefois on ne sait que peu de son enfance. Il s'agit d'un catholique convaincu, toutefois, traumatisé par les événements de la conjuration d'Amboise, il souhaite que Protestants et Catholiques

catholiques et protestants. Huit guerres vont se succéder sur une durée de 36 ans, entrecoupées de périodes de paix fragile. Elles s’achèvent avec l’édit de Nantes (30 avril 1598) qui établit une dualité confessionnelle. Pendant la fin du règne d’Henri IV, assassiné en 1610, le roi fait respecter l’édit, ce qui protège les protestants. 1ère guerre (1562-1563) Le massacre par le duc François de Guise d’une centaine de protestants assistant au culte dans une grange de la ville de Wassy, le premier mars

d'oreilles qui elles mêmes sont des boîtes de "Vache qui rit ». La mise en abyme en peinture MANET Édouard, Un bar aux Folies Bergère,1882. Huile sur toile, 96x130 cm, Londres, Courtauld Gallery. VELÁZQUEZ Diego, Les Ménines ou La famille de Philippe IV d'Espagne, 1656-57 Huile sur toile, 318x276 cm, Madrid, Museo del Prado. VAN EYCK Jan Les époux Arnolfini, 1434. Huile sur bois, 82x60 cm, Londres National Gallery. GUMPP Johannes, Autoportrait, 1646. Version rectangulaire, Collection privée. MAGRITTE

Henri IV, surnommé Henri le Grand3, né Henri de Bourbon le 13 décembre 15534 à Pau et assassiné le 14 mai 1610 à Paris, fut roi de Navarre (Henri III de Navarre, 1572-1610) puis roi de France (1589-1610), premier souverain de la branche dite de Bourbon de la dynastie capétienne. Il était le fils de Jeanne III, de son nom patronymique Jeanne d'Albret, reine de Navarre, et d'Antoine de Bourbon, chef de la maison de Bourbon, descendant du roi Louis IX et premier prince du sang5. En vertu de la «

La Révolte des Maccabées I) Les causes de la révolte a. L’Edit de Séleucos IV * Révolte face au Séleucide, mais aussi un conflit interne au Judaïsme * Un Edit a été récemment découvert en Israël * Qq années avant la révolte * Conduisant à l’indépendance de la Judée * Souverains Séleucides régnaient sur la Syrie-Phénicie depuis 200 AV JC * Les relations se sont dégradées lentement * Judéens lassés de la domination Lagide avaient favorisés la conquête de leur

Hardi en 1278. Le 28 juin 1593 : L'arrêt invite également Henri de Navarre, devenu « roi de droit » à la mort d'Henri III, à abjurer la religion réformée, pour devenir « roi d'exercice» L'abjuration a lieu en juillet 1593 et au mois de février suivant, Henri IV est sacré à Chartres La règle de catholicité prend définitivement rang parmi les lois fondamentales. La remontrance : Le droit de remontrances est, durant l'Ancien Régime, le droit du Parlement de contester un édit royal avant son enregistrement

Méthodologie Histoire Moderne Exercice n°3 Dissertation : La Saint Barthélemy Bibliographie : - JOUANNA, Arlette, Histoire et dictionnaire des guerres de religion, Paris, Robert Laffont, 1998. Introduction : « Eh bien soit ! Qu’on les tue ! Mais qu’on les tue tous ! Qu’il n’en reste plus un pour me le reprocher ! ». Ces mots prononcés par Charles IX, roi de France, le 23 août 1572, témoignent d’une tension grandissante entre protestants et catholiques, deux branches ennemies du catholicisme

Médicis qu’il reçoit sa première commande, La Force qui est une allégorie. Vers 1472, il s’initie à la peinture religieuse. L’adoration des Mages (1476-1477) est sa première grande œuvre. Il multiplie les œuvres, sa réputation est telle que le Pape Sixte IV l’appelle à Rome. Il peint trois fresques pour la Chapelle Sixtine, les Épreuves de Moïse, la Punition des lévites rebelles et la Tentation du Christ. Les Médicis sont de grands défenseurs de l’idéal humaniste et il trouve en Botticelli un représentant