Pustule

presque médicale : Le champ lexical de l’horreur y est souvent présent « C’était un charnier, un tas d’humeur et de sang, une pelletée de chair corrompue, jetée là, sur un coussin. » La description de son visage y est abominable, presque immonde « Les pustules avaient envahi la figure entière, un bouton touchant l’autre […] sur cette bouillie informe, où l’on ne retrouvait plus les traits. Un œil, celui de gauche, avait complètement sombré dans le bouillonnement de la purulence » Par contre, Zola décrit

vers l'ouverture formant un comédon, soit vers la rupture des parois dans le derme avec inflammation et formation de papules et de pustules. 4Papules (élevure rouge ferme, de moins de 5 mm de Ø, parfois douloureuse, issue de l'inflammation d'un micro-kyste) L'évolution se fait soit vers la résorption, soit vers la formation de pustule. 5Pustules, souvent papulo-pustules (élevure au sommet de laquelle apparaît un du pus jaune.) 6Nodules (lésion inflammatoire profonde, par convention de plus de 5 mm

il est dehors, sans toit ni vivres : ch. 2 (l.4-5) « il se coucha sans souper au milieu des champs entre deux sillons » - la maladie, avec sa première retrouvaille avec Pangloss, où il le retrouve dans un état pitoyable : ch4 « tout couvert de pustules, les yeux morts, le bout du nez tout rongé, la bouche de travers, les dents noires et parlant de la gorge… » - les catastrophes naturelles, premièrement le tremblement de terre à Lisbonne, que des savants prirent pour un avertissement divin, la

de se faire vacciner en faisant des rappels réguliers (tous les 5 à 10 ans) ?INFORMATION : L'histoire de la vaccination La pratique de la vaccination a débuté longtemps Les mains des vachers se recouvraient de pustules. avant qu'on en connaisse les principes. Des vieux lls étaient alors protegés de la variole. Jenner manuscrits arabes et chinois mentionnent déja la donne a cette technique le nom de vaccination. vaccination contre la variole. Pour protéger les Dans

représentation d'une crucifixion (c'est à dire du Christ sur la croix) que GRÜNEWALD choisit de peindre sans rien voiler de la déchéance du corps crucifié : corps amaigri, déformé, creusé par la douleur, chairs grises et meurtries par les clous, sang, pustules. Ainsi, en utilisant la forme du triptyque Otto DIX cite très directement le retable d'Issenheim et par cette évocation ajoute une strate d'horreur à l'horreur déjà représentée dans son oeuvre.*Triptyque : oeuvre en trois parties**Retable : Dans

les oreillons. * 1796: découverte du vaccin de la variole * mai 1796, Edward Jenner, après de longs travaux sur la vaccine (maladie du pis des vaches), prélève le contenu d'une pustule sur la main d'une servante de ferme contaminée et l'inocule dans le bras d'un jeune de garçon. Dix jours après, une pustule apparaît et guérit simplement. Dans un second temps, il lui inocule la variole, sans aucun effet néfaste. L'expérience ayant parfaitement réussi, la méthode se répand avec rapidité dans

grêlées de petite vérole". La structure métonymique montre que c'est le lot commun de toute une région. La force des images souligne la violence du constat. * Césaire recourt aux métaphores de la maladie: "eschare sur la blessure des eaux", "pustules tièdes", "lèvres ouvertes d'angoisse désaffectées", "petite vérole", "vénérien" ; maladies infectieuses ou "honteuses", laissant des marques visibles sur la peau, signe de déchéance. B) La condamnation des populations antillaises *

comme la lèpre donc on ne peut pas vraiment savoir combien de victime la lèpre a faite ! La Variole Cette maladie est grave, infectieuse, contagieuse et épidémique ; elle se caractérise par des plaques rouges devenant des vésicules puis des pustules. Elle refait son apparition au Moyen-âge après une accalmie et revient en force en Europe. De nombreux malades sont soi-disant soignés grâce à des ventouses posées aux épaules et aux jambes qui font apparaître et crever les tumeurs. 2ème jour

représentation d'une crucifixion (c'est à dire du Christ sur la croix) que GRÜNEWALD choisit de peindre sans rien voiler de la déchéance du corps crucifié : corps amaigri, déformé, creusé par la douleur, chairs grises et meurtries par les clous, sang, pustules. Ainsi, en utilisant la forme du triptyque Otto DIX cite très directement le retable d'Issenheim et par cette évocation ajoute une strate d'horreur à l'horreur déjà représentée dans son oeuvre.*Triptyque : oeuvre en trois parties**Retable : Dans

représentation d'une crucifixion (c'est à dire du Christ sur la croix) que GRÜNEWALD choisit de peindre sans rien voiler de la déchéance du corps crucifié : corps amaigri, déformé, creusé par la douleur, chairs grises et meurtries par les clous, sang, pustules. Ainsi, en utilisant la forme du triptyque Otto DIX cite très directement le retable d'Issenheim et par cette évocation ajoute une strate d'horreur à l'horreur déjà représentée dans son oeuvre. DESCRIPTION : ce qui est représenté Panneau de