Putto

les fresques de Michelangelo à la Chapelle Sixtine, son premier travail consiste en une copie d’un fragment de la fresque des Noces d'Alexandre et de Roxane du Sodoma dans la villa Farnésine et il reproduit le Putto de Raphaël etc…. De retour d’Italie, Gustave Moreau revient sur son rêve de devenir peintre d’histoire en faisant un «art épique qui ne soit pas un art d'école». Alors il se consacre à des projets monumentaux, très ambitieux, abondants

plus ou moins cachés, certaines idées générales en ressorte: une impression d'attente, d'un monde en suspend, on note également que beaucoup d'éléments font référence à l'apocalypse, au jugement dernier et à une fin proche. En effet, l'ange et le putto, qui semblent deux figures allégoriques (ils sont tous les deux assis, tournés dans la même direction et tiennent des objets semblables), sont en position d'attente (voire de réflexion pour l'ange), l'angelot s'est même assoupi. Il règne au premier

XIVe siècle, le thème de la sainte enfance s’amplifie. Pour l’auteur, ces signes sont la manifestation, dans la conscience collective, du progrès du sentiment d’enfance. Au XVIe siècle, le portrait de l’enfant mort fait son apparition, ainsi que le putto, un petit enfant représenté nu. Au siècle suivant, une nouveauté est soulignée : l’enfant est représenté seul. Il est représenté pour lui-même ; c’est lui qui est le centre d’intérêt de l’artiste. Dans un troisième temps, l’auteur s’intéresse à

: avec deux chevets de hauteurs égales en forme de crosse. S’appuie sur un coussin voluptueux, comme une odalisque. Miroir derrière, bibliothèque coiffée d’une pendule, cadran en chiffres romains, une lyre et des branches de laurier, angelots « putto », blason, tour héraldique des Pompadour. Meuble un peu à la grecque, peu importe les ouvrages. Représentée dans le luxe. Table à écrire en marqueterie de bois rose, meuble de Bernard Van Risen Burgh (1696-1766), le tiroir est un encrier, elle s’apprête

l'Éros-enfant apparaît concurremment à celui de l'Éroséphèbe. Dès cette époque, Éros perd sa signification religieuse pour devenir ornemental. À partir de la Renaissance, sa représentation est assimilée à celle des anges pour parvenir au type du putto. Son avatar romain, Cupidon, est souvent représenté sous les traits d'un jeune enfant espiègle, joufflu, avec deux petites ailes dans le dos et portant un arc, qui lui sert à décocher des flèches d'amour. On peut voir une statue supposée (à tort)

contracta la syphilis quelques années plus tard ) . L’angoisse hémophile est aussi représentée dans le poème « L’amour et le crâne » dont le point de départ est une gravure de l’artiste allemand Goltzius à laquelle il emprunte l’image de l’angelot (ou putto)représentant l’amour « l’Amour est assis sur le crâne de L’Humanité » ainsi que celle des bulles « Souffle gaiement des bulles rondes » le sens chez Baudelaire est changé, en effet l’auteur fait parler le crâne en lui prêtant une sorte d’angoisse hématologique

classique, celle de la Grèce et surtout de la Rome de la fin de la République et du Haut Empire, s’érige en inévitable modèle artistique. Donatello réalise la première statue équestre en ronde-bosse connue depuis la fin de l’empire carolingien et fait du putto (enfant nu semblable à un angelot) une des figures marquantes de la Renaissance. Dans le domaine de l’architecture réapparaissent les frontons triangulaires et les portiques (galeries à colonnades). C’est en se fondant sur l’exemple de Vitruve que

sur bois réalisée par Albrecht Dürer provenant de son ouvrage de 1528 Traité des proportions du corps humain. Sur la septième page : Allégorie de la Vertu et du Vice par Lorenzo Lotto. Dans ce tableau, il donne vie à ces deux notions à travers un putto occupé à tracer une figure géométrique sur le sol - symbole de la recherche intellectuelle – et un satyre ivre, personnifiant la vacuité des plaisirs charnels. Sur la douzième page : Erasme de Rotterdam par Albrecht Dürer en 1526. Bibliographie

XIVe siècle, le thème de la sainte enfance s’amplifie. Pour l’auteur, ces signes sont la manifestation, dans la conscience collective, du progrès du sentiment d’enfance. Au XVIe siècle, le portrait de l’enfant mort fait son apparition, ainsi que le putto, un petit enfant représenté nu. Au siècle suivant, une nouveauté est soulignée : l’enfant est représenté seul. Il est représenté pour lui-même ; c’est lui qui est le centre d’intérêt de l’artiste.   Dans un troisième temps, l’auteur s’intéresse à

d'un ange. Les putti peuvent se trouver essentiellement sur les monuments de la Renaissance italienne, en particulier sur tous les bâtiments relevant du baroque sicilien, dont ils constituent l'une des caractéristiques principales. Le personnage du putto est inspiré de l'art de la Grèce antique, mais fut redécouvert et réutilisé au début du Quattrocento. Ce sont des anges symbolisant l'amour. Le mot fresque vient de l'italien fresco "frais" qui fait partie de l'expression « dipingere a fresco »