Pétrarque Canzoniere

plus, tout le monde connaît cette forme poétique à travers le recueil de Shakespeare mais bien peu de personnes savent comment le sonnet, poème d’origine italienne, est arrivé en Angleterre ou encore, de quelle façon il est passé de la forme de Pétrarque à celle utilisée par l’auteur des Sonnets. De même, la plupart des gens ignorent la manière dont le sonnet a évolué par la suite. Dans le but d’apporter une réponse à ces inconnues, je me suis penchée sur l’histoire du sonnet en Angleterre

l’espagnol comme la musique et l’équitation où elle excelle. Elle participera à plusieurs tournois.  Elle s’initie aux traditions poétiques dominantes de l’époque, le pétrarquisme et le néo-platonisme.  Rappelons que Pétrarque (1303-1374) dans son recueil de poèmes la Canzonière, dédié à Laure de Noves, célèbre l’amour platonique.  Le pétrarquisme consiste à imiter cette façon de chanter l’amour.  Pour Platon (427-374 av. JC), sa conception de l’amour est développé dans le Banquet « Eros est

l’espagnol comme la musique et l’équitation où elle excelle. Elle participera à plusieurs tournois.  Elle s’initie aux traditions poétiques dominantes de l’époque, le pétrarquisme et le néo-platonisme.  Rappelons que Pétrarque (1303-1374) dans son recueil de poèmes la Canzonière, dédié à Laure de Noves, célèbre l’amour platonique.  Le pétrarquisme consiste à imiter cette façon de chanter l’amour.  Pour Platon (427-374 av. JC), sa conception de l’amour est développé dans le Banquet « Eros est

Francesco Pétrarca, en français Pétrarque, (Arezzo, 20 juillet 1304 – Arquà, 19 juillet 1374) est un érudit, un poète et un humaniste italien. Avec Dante Alighieri et Boccaccino, il compte parmi les premiers grands auteurs de la littérature italienne. Pétrarque est passé à la postérité pour la perfection de sa poésie qui rime son amour pour Laure. Horace, en latin Quintus Horatius F., (Vénose, 8 décembre -65 – Tivoli, 27 novembre -8) est un poète romain. Les satires littéraires d’Horace : Horace

première noces la veuve d'un cordier prospère,Jacques Humbert dit Labé ou L'Abbé. Pierre donne une éducation "à l'italienne"à sa fille :elle apprend le Latin,quelques rudiments(2) de grec, s'inpire d'auteurs de nationalité italienne ( notamment Pétrarque), chante et joue du luth(3), devient habile cavalière et sait se servir d'armes,un art traditionnellement réservé aux hommes.On racontes qu'en 1542, c'est justement en homme qu'elle se déguise,pour prendre part à un tournoi à Perpignan,aux

_ Un refus de l’imitation _ Référence aux anciens, et à Ronsard, pour les belles choses. « les exemplaires Grecs » v.1 ; « La voix d’un Ronsard » v.4, avec des adjectifs et substantif mélioratif : « les beaux traits d’un Horace» v.2 « d’un Pétrarque la grâce » v.3 _ Sonnet métapoétique : « mes Regrets » v.4 « ce livre » v.12 _ Une conception de la poésie opposé : « ceux qui », « moi qui » .v.5 et 7. >>> Du Bellay ne vise pas un poète en particulier, mais une forme poétique : La théorie de

hautain, se veut l'acte de fondation de la poésie française. Aventure courageuse, qu'il mèneront avec intelligence, talent, et aussi ironie. Puis du Bellay publie un recueil d'une cinquantaine de sonnets, l'Olive. Ces sonnets "à la manière" de Petrarque, connaissent un grand succès. Malgré des problèmes de santé, du Bellay accompagne son oncle le cardinal Jean du Bellay à Rome pour une mission diplomatique. Cet exil de quatre ans commencera dans l'enthousiasme. Mais Rome qu'il avait tant magnifié

rendre le ciel jaloux. » Rendre le ciel jaloux de sa vive couleur (v. 3). Cet enjambement sur le vers 3 allonge le rythme et fait se déployer la rose dans l'espace. Le thème de la jalousie du ciel est celui de la Belle Matineuse (qui vient de Pétrarque). On l'a déjà rencontré dans « Marie, levez-vous, ma jeune paresseuse » : la beauté de la femme aimée surpasse celle de la nature, qui a honte d'elle-même. L'adjectif « jaloux » (= envieux) rappelle discrètement la présence de la femme sous la rose

ce titre.) Pour ce qui est du quatrième sonnet, il a un incipit qui est également un refus, une recusatio. S onnet 4 Je ne veulx feuilleter les exemplaires Grecs, Je ne veulx retracer les beaux traits d’un Horace, Et moins veulx imiter d’un Pétrarque la grâce, Ou la voix d’un Ronsard, pour chanter mes regrets. Ceulx qui sont de Phoebus vrais poëtes sacrez, Animeront leurs vers d’une plus grand’ audace: Moy, qui suis agité d’une fureur plus basse, Je n’entre si avant en si profonds secretz

femmes de son époque et une des premières féministes de l’histoire. S’inspirant en grande partie du modèle du grand poète italien Pétrarque, la poétesse décortique ses sentiments, exalte tous ses sens, et met à nu les secrets de son âme en traitant de l’amour, un des grands thèmes humanistes, qui est pour elle une source de souffrance. Par contre, contrairement à Pétrarque, c’est la femme qui chante son amour et l’homme est l’être cruel qui l’a fait souffrir. Nous tenterons justement, dans la présente