Qom

il ne reviendra qu’à la fin des temps pour juger les Hommes. Les chiites placent la mort et les martyrs au sein de leur dévotion, c’est pourquoi ils pratiquent le pèlerinage sur les tombeaux des saints, principalement à Kerbala, Nadjaf, Mashad et Qom. Il existe au sein de cette communauté un clergé très organisé et hiérarchisé, qui a pour fonction de s’occuper de la vie spirituelle du peuple et qui dispose d’une autonomie non seulement institutionnelle, mais aussi financière par rapport à l’Etat

réussissent les premiers à rassembler de grandes masses contre le shah. En janvier 1978, la presse officielle publie une rumeur destinée à faire du tort à Khomeiny. Des étudiants et des meneurs religieux protestent contre ces allégations dans la ville de Qom. L'armée est envoyée, dispersant les manifestants et tuant plusieurs étudiants. D'après les coutumes chiites, un service religieux se tient en mémoire des morts après un deuil de 40 jours. Le 18 février, des groupes marchent donc dans nombre de villes

prodigué envers le pouvoir impérial en Iran. Celles-ci vont contribuer à encourager l'évolution des manifestations. Pendant toute l'année 1978, l'Iran a été le théâtre de violentes insurrections, notamment dans toutes les grandes villes comme Tabriz, Qom, Mechhed ou Téhéran. Celles-ci reçoivent le soutien des autorités religieuses chiites, les ayatollahs et surtout du célèbre Khomeyni .En effet, exilé depuis 1964 il appelle le peuple à renverser le Shah et par la suite à installer un pouvoir qui serait

contestation actuel. «Depuis l'avènement de la République islamique, les Iraniens avaient pris l'habitude de se replier dans l'espace privé. Aujourd'hui, on assiste à une reconquête des espaces communs, de Téhéran, la capitale, à la ville sainte de Qom», remarque Christian Bromberger, l'ancien directeur de l'Institut français de recherche en Iran. Et gare aux représentants du régime qui oseraient défier les contestataires. Mohammad Hossein Saffar Harandi, ex-ministre de la Culture pendant le premier

de Khomeiny En exile dans la communauté chiite de Nadjaf en Irak, Khomeiny s’érigera graduellement comme leader officiel de l’opposition face au régime monarchique. Transporté par ses convictions religieuses et sa popularité dans la ville sainte de Qom, Khomeiny appela le clergé à exprimer son mécontentement contre les politiques du shâh. Malgré son isolement, Khomeiny continuera d’entretenir des correspondances avec le clergé iranien. Avec l’aide de pèlerins qui faisaient le voyage jusqu’aux villes

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tests afin de s'assurer qu'aucun appareil ne sera abattu dans le cas d'une attaque israélienne et cela aurait déjà eu l'accord du département d'État américain. Toujours selon le Times londonien, les installations visées seraient situées à Natanz et Qom, ainsi qu'un réacteur à eau lourde à Arak et d'un site de stockage de gaz à Ispahan. Une source séoudienne a précisé au journal qu'en dépit des divergences, Israël et l'Arabie séoudite partagent les mêmes craintes envers un Iran nucléaire. « Si Israël

les propriétés que nous avons évoquées au paravant des sables aérés.   Les sables mouvants d’Iran : Il existe aussi les fameux sables mouvants iraniens qui fascinent les scientifiques tels que Daniel Bonn. Ils sont situés en plein désert, entre Qom et Téhéran. Les plages du lac sont composées de sable très fin (20 à 40 µm de diamètre), d'argile, et d'eau très salée. Les bergers des alentours racontent que de nombreux chameaux sont restés coincés dans les sables mouvants, faute d'avoir pu les libérer

N°34 - Rabî’ I 1433 - Janv. Février 2012 LE LIVRE DU MOIS Le Prophète de Grâce Trad. Farideh Mahdavi-Dâmghânî Ed.Université Internationale d’al-Mustafa à Qom Voici une biographie de la vie du Prophète Mohammed(s) rédigée il y a tout juste cinq ans par Sayyed Ali Mîr Charifi à la demande de l’ Université Internationale d’al-Mustafa à Qom en vue de servir d’ouvrage de référence pour un enseignement devant durer un trimestre. Mais qu’on ne s’y trompe pas, ce livre n’a rien d’un manuel d’histoire