Qu Est Ce Qu être Républicain

du parlementarisme. « Le Parlementarisme, c’est une majorité décidée à suivre le Gouvernement, lui laissant l’étude et la choix des résolutions, et combattant derrière lui selon la tactique qu’il a arrêtée. » écrit Maurice Barrès, républicain, en 1902. Moins d’un siècle plus tôt, le Parlementarisme, régime visant à élargir les pouvoirs du Parlement face à l’Exécutif en détenant le pouvoir législatif, n’était pas considéré comme étant une bonne chose, en particulier pour les monarchistes

la IIIe République (1870-1896) fonde véritablement le modèle républicain, définissant une tradition et une culture politiques. Mais le fonctionnement du régime est fait aussi de crises : le boulangisme, Panama, l'affaire Dreyfus... La République naît, s'installe pendant le quart de siècle qui va de 1870 à 1896 : après un " faux départ " agité, Thiers et l'Ordre moral mettent sur pied une fausse République, puis les véritables républicains font la conquête du régime, dominé pour longtemps par ceux qu'on

non-révolutionnaires à propos de la guerre et de l’après-guerre n’étaient pas compatibles avec ceux des révolutionnaires et ont contribué à la domination des premiers sur les seconds. Il y a plusieurs explications confirmant cette affirmation qui peuvent être regroupées en deux catégories principales, soient la situation au plan national d’une part, ainsi que la conjoncture internationale de l’autre. Résumé des évènements Comme dans les pays ayant subi la montée d’un fascisme au XXe siècle, l’Espagne

lois constitutionnelles votées en 1875. Ces trois lois sont en fait un compromis entre monarchistes et républicains car profitant aux deux parties. En 1875 le régime n’est pas clairement défini et oscille entre monarchie et république. On nomme alors un président monarchiste : le maréchal Mac Mahon pour contenter les deux parties. En 1876 nouvelles élections législatives ; majorité républicaine. Cette majorité nomme J. Simon à sa tête en tant que 1er ministre. Le 16 mai 1877 Mac Mahon renvoie J

les valeurs républicaines à des enfants de divers milieux sociaux. Demandons-nous alors, dans quelle mesure l'enseignement, sous la IIIeme République, est-elle à la fois l'instrument d’ installation et de pérennisation de la République tout en étant le support d’une culture nouvelle et moderne ? D’ abord, la période de 1870 à 1890 voit la naissance de l’enseignement républicain, une période de grands changements. Ensuite de 1890 à 1918, l’enseignement républicain vacille entre

avantages du pouvoir depuis 1870 jusqu’à nos jours ; elle triomphe maintenant appuyée sur les Loges et le Ghetto, et, hostile à l’aristocratie comme elle l’est au peuple, elle ne se doute pas qu’elle peut être balayée par ceux mêmes dont elle est la complice. Les classes possédantes engourdies par le bien-être et la vie facile ont trop longtemps paru ignorer que leur fortune était en grande partie due au travail du peuple. Traitant celui-ci avec indifférence sinon avec dédain, ne se mêlant pas à lui, du

la sphère du privé. Débats politiques: idée de pluralisme politique. Droite et gauche ne peuvent être définies de manière absolue. Ces deux notions ne se définissent que l'une par rapport à l'autre et en fonction du contexte. Droite monarchiste/gauche républicaine. La question de la place de l'État dans les rapports sociaux pose celle des domaines d'intervention de l'État. (école républicaine, législation sociale, association). Problématique: En quoi la définition de l'État, c'est-à-dire

originaire de la crise. La crise du 16 mai 1877 est une crise institutionnelle de la IIIème République Française qui a opposé le président de la République le maréchal Patrice de Mac Mahon, monarchiste, à la Chambre des députés élue en 1876 à majorité républicaine, et à leur chef, Léon Gambetta. Si cette crise s'est bien ouverte le 16 mai, elle s'est de fait poursuivie tout au long de l'année 1877 et n'a trouvé sa fin que le 13 décembre 1877, lorsque Mac Mahon a reconnu sa défaite politique. La portée de

le fruit d’un compromis élaboré dans un moment de crise politique grave, entre De Gaulle, soutenu par les putschistes d’Algérie et les parlementaires, réticents à accepter son retour au pouvoir dans des conditions peu conformes aux traditions républicaines. Si la Ve République constitue donc une réaction vis-à-vis de la IV e (renforcement de l’éxécutif) elle se situe aussi en continuité avec celle-ci : elle cherche à conserver les principes du parlementarisme en mettant fin à ses défauts, reconnus

trouble : peur de l’autoritarisme => «  ordre Républicain sera maintenu » Pas de religion d’Etat (rejet consacré depuis Rev de 1830) => s’est affirmée laïque mais n’a pas fait de l’athéisme une vérité d’Etat Principal courant de pensée => Philosophie du droit naturel (Rationalisme optimiste, lumière des Philosophes, Droits de l’homme) Attraction du positivisme D’Auguste Comte => Contre l’enseignement dogmatique de l’Eglise. Etre républicain = Partisan d’un pouvoir non autoritaire, non